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Et l’hécatombe est loin de voir « le bout du tunnel ».
C’est la conséquence des concessions consenties aux verts pour gratter quelques voix : fin de la motorisation thermique (automobiles) , suppression graduelle du nucléaire, interdiction prochaine du chauffage par le gaz et le fioul, etc…sans se préoccuper le moins du monde des dégâts collatéraux : faillite de pans entiers de l’industrie et de l’artisanat (sous-traitants) et par contagion, des commerces et des communes, chômage en pagaille. Et taxes « vertes » pour payer encore plus nos z’élus.
Et à tout ceci vient évidemment se rajouter les suites non avouées (car non avouables, c'est pas bon pour le moral) de la crise sanitaire, qui va nous laisser de gros, de très gros, bobos.
L’important pour macron est le bon déroulement de la feuille de route qui lui a été assignée en 2017 par le patronat et Bruxelles : rogner le social (retraites, chômage, santé, aide au logement pour les étudiants, la démonétisation qui se prépare en coulisses, loi sapin 2 qui autorise les banques à piocher dans notre épargne, …), paupérisation et asservissement du Peuple des travailleurs, (qui se « battront » entre eux pour un quignon de pain) , asservissement des mêmes, aidé en cela par une immigration massive pour disposer de salariés peu exigeants et corvéables à merci, à bas coût, (non pas en remplacement mais comme moyen de pression sur les autres), et…un gouvernement Européen qui verra bientôt le jour, , un vrai, avec tout le pognon que cela implique.
Comprendre qu’un soulèvement de 450 millions de citoyens contre une poignée de dictateurs est quasi impossible. Beaucoup moins possible que 60 millions de petits Français !
Enfin, moi, ce que j’en dis…..
(Je crois que je vais encore me faire traiter de Con Plotiste.)
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Je note : ""C'est quoi le putain de projet industriel en France? Il n'y en a aucun avec vous, aucun. Vous êtes à la rue, vous êtes un gouvernement de merde", a hurlé un manifestant face à la ministre."
c'est plutôt très exact, mis à part faire du bonneto fiscal, retaper l'Arc de Triomphe, et instaurer le régime de la peur "Travail, Pâtes et PQ" , c'est assez limité...
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La ministre déléguée chargée de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher a été chahutée vendredi par des salariés de l'usine Bosch de Rodez, après une réunion consacrée à l'avenir du site où la direction veut supprimer 750 emplois.
"C'est quoi le putain de projet industriel en France? Il n'y en a aucun avec vous, aucun. Vous êtes à la rue, vous êtes un gouvernement de merde", a hurlé un manifestant face à la ministre.
"Vous n'apportez rien. Elle est où la relocalisation que vous promettez à tout le monde? Elle est où pour Michelin? Elle est où pour Renault? Que dalle!", a-t-il lâché.
"Je suis de votre côté, je veux vous parler les yeux dans les yeux", a lancé la ministre sans parvenir à calmer les sifflets et les protestations de 1.200 manifestants, selon les syndicats, 800 selon la police, venus exprimer leurs inquiétudes.
- "Engagements pas satisfaisants" -
"Aujourd'hui, les engagements n'ont pas été satisfaisants", a-t-elle admis face à des salariés qui estiment que le gouvernement a lâché la filière diesel.
Le 5 mars, l'équipementier automobile allemand a annoncé qu'il allait supprimer d'ici à 2025 quelque 750 emplois dans son usine aveyronnaise qui produit des injecteurs pour moteur diesel. Le site ne conserverait ainsi que 500 salariés.
"Le projet qui est proposé n'est pas suffisamment étayé, pas suffisamment crédibilisé", a estimé la ministre après avoir rencontré la direction de Bosch et son PDG France, Heiko Carrie, en présence des représentants des salariés.
Selon Mme Pannier-Runacher, l'équipementier a exprimé "plusieurs pistes de diversification", la première en rapatriant "des éléments confiés à d'autres sites", la deuxième "en faisant de Rodez l'usine mère pour des procédés hydrogènes pour des solutions frigorifiques", ou encore en implantant "un incubateur pour d'autres industriels".
Elle a marqué sa volonté "de passer en mode commando" en organisant un suivi mensuel de la réorganisation de l'usine de la banlieue ruthénoise, s'engageant à revenir "dans les trois mois".
La ministre a également participé à une seconde réunion réunissant le comité de suivi avec la participation des élus locaux, notamment la présidente de la Région Occitanie Carole Delga et le maire de Rodez, Christian Teyssèdre.
"La réunion a été très utile pour fixer un cap", a affirmé l'édile, regrettant cependant que la direction de Bosch n'ait pas répondu "depuis trois ans" aux souhaits de diversification voulus par les élus locaux.
- "Eviter les départs volontaires" -
Dans la soirée, l'équipementier a confirmé dans un communiqué "son souhait de confier au site de Rodez la responsabilité globale de l'industrialisation d'une solution hydrogène innovante pour les containers frigorifiques (...) en vue d'une potentielle production sur le site".
Sur le plan social, Bosch indique que "des discussions (vont être engagées) dans les prochaines semaines" et affirme vouloir "éviter les départs contraints" au moyen "d'un plan de départ en retraite anticipée et d'un programme de départs volontaires".
La présidente de la Région Occitanie, Carole Delga souligne qu'elle restera "inflexible quant à des licenciements secs". "J'ai d'ailleurs demandé à la direction de formaliser cet engagement. La Région ne sera accompagnante que si tout licenciement contraint est exclu d'ici 2027", a-t-elle indiqué.
Carole Delga demande ainsi au groupe allemand de "préciser" son projet d'incubateur : "une telle initiative n'a de sens que si elle dispose d'un socle industriel qui permette d'essaimer des savoir-faire et créer de l'activité localement", assène-t-elle.
© 2021 AFP
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