Macron "ne pense pas" que la réforme des retraites "puisse être repris

Toutes ces questions me dépassent.

Par expérience (qui est le peigne des chauves) la seule chose dont je sois sûr c’est que les présidents ne sont populaires qu’une fois leur mandat terminé. Ah le général, ah l’homme à la Rose, ah Jacquot au salon de l’agriculture... On trouvera bien dans le futur du positif à notre Jupiter.

Alors pas la peine de nous exister.

Message complété le 04/06/2021 08:42:25 par son auteur.

Exciter bien sûr

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Marine lol, sans moi

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macron qui aime et qui signe les lois a la télé en direct et bien quel belle image qui nous attend en 2022 lorsque marine sera sur le pignon a l'Élysée lors de la passation de pouvoir .

Message complété le 03/06/2021 18:48:08 par son auteur.

voici un conseil a macron commence a préparer tes valises !!!

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On y apprend que Macron "pense" c'est en soi déjà énorme, c'est un début louable à priori mais "en même temps" j'ai peur qu'il ne puisse penser

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@ jtavern,

Si son conseil scientifique avait été « pro-chinois », il n’y aurait jamais eu plus de 100000 morts dont à 99% que des vieux « retraités ».

Et en l”état, les finances des caisses de retraite devant structurellement très nettement s’améliorer, il n’est effectivement pas besoin de continuer cette réforme.

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@ZeuspanCrace13,

Attention au hors sujet, le prof de philo t'aurai mi ici un 0/20 :D

Je conçois que tu ais besoin de parler de l'écologie, de religion minoritaire et de financement étranger. Tu l'as fais, félicitation. Mais je ne pense pas que c'est sur cette file que tes paroles aurons le plus d'impact !

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Il a raison, il faut d'abord vérifier comment les citoyens en activité retrouvent leur travail, leur carrière et quelle trajectoire suit l'économie de tout le pays après la pandémie. Le virus a quand même causé une crise, que nos gouvernants ont essayé d'amortir, que nos industriels ont essayé de contourner ou de dépasser, mais "volens, nolens" elle a quand même touché tout le pays. Après, le nouveau paysage en politique fait que tous les partis sont maintenant conscients de l'impératif écologique. Mais c'est une écologie à long terme dont nous avons besoin pour préserver notre vie, celles du maximum d'espèces naturelles (animaux, insectes etc...), pas de petits farceurs qui pensent avant tout à se faire de la pub ou de la promotion en "graciant" un sapin de noël ou en offrant des hectares en plein centre ville d'une grande ville depuis le moyen-âge, pour y construire de gigantesques bâtiments religieux, dédiés à une religion minoritaire en France métropolitaine. Bref toute petite histoire d'un sapin, alors qu'il y a plus important et urgent, ou grandiloquente déclaration de chantier mal venu, totalement déplacé même en ce lieu, et accueillant l'ingérence financière d'un pays extérieur à l'UE. Alors les premiers écolos n'ont pas su être sérieux, maintenant nous voulons l'écologie et le sérieux comme d'autres partis s'en soucient.Point trop n'en faut.

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Mr Macron "ne pense plus" que la réforme de son "conseil scientifique pro chinois (restez chez vous et économisez!) " ou que l'enfermement des français puisse être repris en l'état"?

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une sacré pourriture

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Qu'il commence par réduire les retraites des fonctionnaires et de les ajuster sur les retraites du privé.....Un oeil.....une oreille et tout le monde en ligne....ce ne serait que justice.....c'est plus facile de taper sur les salariés du privé qui pour la plupart sont sans défense ( sauf réaction épidermique imprévisible style "gilets jaunes" )......

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Les boomers d'abc en folie, reformons le chômage des actifs, privatisons nos fleurons industriels mais ne touchons pas aux acquis de nos vieux. Quitte à définitivement enterrer la soutenabilité à long du système par répartition. Les vieux applaudissent, houra le roi !

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Emmanuel Macron a estimé jeudi dans le Lot que la très controversée réforme des retraites ne pouvait pas "être reprise en l'état", après sa suspension en mars 2020 au début de la pandémie de Covid-19.

"C'est une question que nous devons collectivement nous poser. Je ne pense pas que la réforme qui était initialement envisagée puisse être reprise en l'état", a déclaré le chef de l'Etat devant la presse à Martel.

"Elle était très ambitieuse, extrêmement complexe et, du coup, était porteuse d'inquiétude", a-t-il rappelé, en jugeant important de "prendre en compte" ces "peurs" et le contexte créé par la crise sanitaire.

"Il est trop tôt" pour se prononcer sur l'avenir de la réforme pour laquelle "rien n'est exclu", a ajouté le président au second jour de son déplacement dans le Lot.

Il a précisé que la priorité actuelle du gouvernement était "la reprise d'activité" après la crise mais aussi "de voir comment la solidité de nos finances publiques est assurée".

"C'est dans le débat avec les Françaises et les Français, avec les représentants des organisations syndicales et patronales, avec les forces politiques que je veux forger un peu cette conviction", a-t-il ajouté. En précisant qu'il attendait aussi les préconisations du rapport demandé aux "meilleurs experts internationaux pilotés" par les économistes Olivier Blanchard et Jean Tirole sur la stratégie "pour le futur de la France".

La majorité est divisée sur le bien fondé de relancer, à l'approche de la présidentielle de 2022, le débat sur ce projet de réforme ultra-sensible, à l'origine d'un mouvement social et fauché net par la crise sanitaire.

Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a récemment estimé que la France en avait besoin "pour que son système des retraites par répartition soit financièrement viable".

© 2021 AFP

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