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@fipopivot
Moi c’était Moralès mais comme dans la chanson de Didier Benureau, il a fini éparpillé 😉😉😉
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A l'armée, il y avait un adjudant Martinez, et c'était, de loin, le plus sympa !
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« Je veux » a dit le roi Martinez. Même pas nous voulons qui engloberait la masse de ses camarades. Non ! Carrément « Je veux ».
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Ça faisait longtemps qu on avait pas vu sa tronche le yakafaukon
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Smic au Luxembourg, 3000.
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martinez/cgt/pcc/crédit social, il est là où il faut quand il faut
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La Fascination, à négocier, avec des syndicalistes, dont l'importance n'est que l’ombre d’eux même !!!
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dans notre nouveau monde vaut mieux réfléchir sur un plafond
salaire minimum interprofessionnel de croissance = salaire maximum interprofessionnel des serfs
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Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a demandé lundi une loi "qui rende automatique le relèvement des minima de branche quand le Smic augmente", alors que des négociations salariales sont en cours dans plusieurs branches professionnelles.
"Dans les branches, il ne devrait pas y avoir de négociations, ça devrait être automatique", a martelé le responsable syndical sur Sud Radio. "Dans certaines branches, cinq ou six niveaux sont en dessous du Smic, et ça touche principalement les femmes", a déploré Philippe Martinez.
Interrogé sur la pertinence de l'"indemnité inflation" de 100 euros prévue par le gouvernement pour 38 millions de Français, le patron de la CGT a jugé que "les primes, c'est la cerise sur le gâteau."
"L'indemnité inflation est une bonne chose, à condition qu'on ait de quoi manger avec son salaire", a-t-il encore affirmé.
Face à la hausse des prix de l'énergie et la reprise de l'inflation, le gouvernement appelle depuis plusieurs semaines patronat et syndicats à se réunir pour conclure des accords de branche salariaux.
"Toutes les branches qui ont des minima de branche en dessous du Smic doivent revaloriser les salaires", avait intimé mi-septembre la ministre du Travail Elisabeth Borne.
Une première réunion formelle de négociations s'est ainsi tenue le 18 novembre dans le secteur de l'hôtellerie-restauration, confronté à des difficultés de recrutement.
Selon les chiffres du ministère du Travail, en septembre, 45 branches avaient un minima conventionnel inférieur au Smic.
© 2021 AFP
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