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Le Parlement adopte le dernier budget du quinquennat Macron sous le fe

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sergiobress sergiobress
17/12/2021 14:20:32
1

Merci Fipuaa, c’est une bonne nouvelle, je ne souhaite pas que ce rigolo ne se représente pour un second mandat pour plusieurs raisons que je ne vais pas énumérer ici car il y aurait de quoi écrire un livre, beaucoup trop de sujets négatifs.

Les trois quart qui se présentent c’est du déjà vu et n’ont aucune chance, et pour la photo il y à Taubira en plus, lol

  
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fipuaa fipuaa
17/12/2021 14:01:15
2

beaucoup de français sont très contents (attention aux sondages pipés hein!)

4 français sur 10 (seraient) convaincus?? Plus terrifiant que la menace d'une 3ème guerre mondiale (si c'était vrai)

https://www.bfmtv.com/politique/elections/presidentielle/interview-de-macron-6-francais-sur-10-pas-convaincus-par-le-chef-de-l-etat-selon-un-sondage_AN-202112160547.html

  
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Anjou49 Anjou49
16/12/2021 19:54:50
1

@jipes

Tu as vu en bas de page je précisais « % au pif » et en plus je m’aperçois avoir oublié involontairement le PS… (c’est peut-être l’effet soporifique Hidalgo). Bref c’était juste un (mauvais) exemple.

Bonne soirée.

  
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jipes jipes
16/12/2021 17:23:58
1

Au fait, tu y vas fort avec 20 % pour LaRem. Avec la proportionnelle, elle tombera en dessous de 10 % (et je suis généreux).

  
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jipes jipes
16/12/2021 17:16:33
3

Pour qu'une loi soit votée, c'est qu'elle doit être une bonne loi. Une loi qui desservira l'ensemble des aspirations de la population. Et si cela est, une majorité la votera quelle que soit la composition de l'Assemblée.

Pour en revenir à la Vème République, si dans un premier temps elle a apporté une certaine stabilité, force est de reconnaître que, par ses Institutions, elle a fragmenté le pays en deux (le PS et Les Républicains, le Centre se laissant balloter entre les deux) et a rejeté ceux que l'on appelle (à tort) les extrêmes.

Pour chaque loi votée, il ressortira forcément de l'Assemblée un consensus. Et, de cette façon, le Président sera réduit au rôle de spectateur pour le bien du pays.

  
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Anjou49 Anjou49
16/12/2021 16:35:11
3

@jipes

Ok pour la proportionnelle mais avec quelle majorité serait voté une loi ?

Imaginons une Assemblée constituée de :

20% LREM

11% RN

9% Reconquête

18% LR

16% La France insoumise

12% EELV

5% PC

3% NPA

3% LO

1% Chasse et pêche

2% Divers

(Partis et % au pif)

Avec un tel panel qui décide dans l’hemicycle ? Et avec quelle légitimité ?


  
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jipes jipes
16/12/2021 16:11:23
3

Salut Anjou,

**L’hypocrisie est peut-être de nous faire croire que le parlement a une influence et une importance qu’en fait il n’a pas.**

Pour que le Parlement ait sa raison d'être, il n'y a qu'une solution, revenir à une élection à la proportionnelle des députés qui pourront à eux seuls représenter les souhaits du peuple en son entier.

  
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Anjou49 Anjou49
16/12/2021 12:01:00
0

@dubaisan(bonjour)

De toute façon le temps que notre administration organise le référendum et que nous nous mettions d’accord sur le libellé de la question, nous serions déjà pulvérisés…

  
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Dubaisan Dubaisan
16/12/2021 11:41:54
0

Puisque le débat s'oriente vers le référendum:

Un pays disposant de forces nucléaires nettement plus importantes que les nôtres nous intiment l'ordre de lui remettre sous 3h, clés, codes et pouvoirs de nos forces nucléaires sous peine d'un nettoyage radioactif complet de la France?

La question doit-elle faire l'objet d'un référendum?

  
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Anjou49 Anjou49
16/12/2021 11:10:43
4

@moicmoi

Ne te méprends pas, je suis d’accord avec toi. Mais les députés visent aussi « à faire carrière » et du coup la prudence les amènent à « rester dans l’équipe ». Ne pas voter en « godillot » c’est s’exposer à se faire virer de l’équipe et du coup c’est fin de carrière…

C’est moche, je suis d’accord.

Les référendums populaires, l’idée est séduisante dans la théorie mais dans la pratique c’est à coup sûr exacerber les divisions jusqu’à la base de l’électorat.

Mais bon c’est à essayer.

Bonne journée à toi.


  
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moicmoi moicmoi
16/12/2021 10:39:30
3

Anjou49
« « Mais comment un système politique quel qu’il soit pourrait-il fonctionner autrement ?
» »

Peut-être en instaurant des référendums populaires sur les grands sujets ?

Je pense que les électeurs élisent l’homme , le plus compétent sur leur territoire, avant de voter pour un parti.

Bien souvent, on peut entendre ou lire : « nos députés nous ont trahis ».

Ne faut-il pas y voir là l’une des principales raisons de la désaffection des électeurs ? Et donc, du fort taux d’abstention, qui est en fait un boycott , parce qu'aucun candidat ou programme ne conviennent aux électeurs ?

D’autre part, un parti politique est il un défilé militaire ? Tous habillés pareil, tous au pas de l’oie ? Des robots ?
Si c’est le cas comme il y paraît : est-ce cela la démocratie ?

  
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MMManson MMManson
16/12/2021 10:18:25
4

"Un député adhère à un parti. Un parti porte des idées. Le « chef » de ce parti si il est élu met en place ces idées. Du coup les députés ou autres représentants de ce même parti votent les propositions du chef."

Logiquement c'est vrai, mais ça ne veut pas dire qu'on est des robots et qu'on n'a pas le droit d'avoir un cerveau qui nous permet de réfléchir.

  
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Anjou49 Anjou49
16/12/2021 10:02:00
2

@moicmoi

Tu as raison, tu décris le fonctionnement habituel du système.

Mais comment un système politique quel qu’il soit pourrait-il fonctionner autrement ?

Un député adhère à un parti. Un parti porte des idées. Le « chef » de ce parti si il est élu met en place ces idées. Du coup les députés ou autres représentants de ce même parti votent les propositions du chef. Directives qui en principe sont les leurs et sur lesquelles ils se sont fait élire. CQFD.

Donc rien d’étonnant à ne trouver dans une majorité parlementaire que des « valideurs » des propositions du gouvernement dont elle est la représentation.

L’hypocrisie est peut-être de nous faire croire que le parlement a une influence et une importance qu’en fait il n’a pas.

Je ne suis peut-être pas très clair dans mon raisonnement,

  
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MMManson MMManson
16/12/2021 09:11:46
3

"Les députés de LaRem qui, pour la plupart, ne connaissent rien à l'économie, ont voté, comme il se doit, selon les instructions qu'ils ont reçues."

Tu as très bien résumé le fonctionnement du système politique en France...

  
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moicmoi moicmoi
16/12/2021 00:05:04
5

jipes
« « Les députés de LaRem qui, pour la plupart,.. // .. selon les instructions qu'ils ont reçues.
» »

Ce ne sont pas des consignes, mais des injonctions, des ordres.

En fait, bien souvent, et de quelque bord soient-ils, la plupart d’entre eux, votent les budgets les yeux fermés.
Ils font ce que leur chef de file leur dit de faire.

  
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jipes jipes
15/12/2021 22:49:32
4
Les députés de LaRem qui, pour la plupart, ne connaissent rien à l'économie, ont voté, comme il se doit, selon les instructions qu'ils ont reçues.
  
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jipes jipes
15/12/2021 22:49:10
0

L'hémicycle de l'Assemblée nationale le 9 février 2021 à Paris (AFP/Archives/Ludovic MARIN)

Le Parlement a adopté mercredi le dernier projet de budget du quinquennat Macron, avec un ultime vote de l'Assemblée où les oppositions ont tiré à boulets rouges sur la politique économique du gouvernement, dans une ambiance de pré-campagne.

Au moment d'entamer la dernière ligne droite vers la présidentielle, gauche et droite ont redoublé leurs critiques, quand la majorité s'est attribuée un satisfecit, encouragée par les bonnes prévisions de croissance (+6,25% pour 2021, +4% pour 2022).

Le projet de loi de finances pour 2022 a été adopté par 142 voix pour, 50 contre et une abstention.

"Nous ne pouvons pas cautionner ce budget de campagne", a cinglé Véronique Louwagie (LR), qui a fustigé un texte "désastreux pour les finances de la France", avec une augmentation de la dette de plus de 680 milliards d'euros sous le quinquennat.

A l'autre bout de l'hémicycle, le communiste Jean-Paul Dufrègne a vu "l'expression de président des riches inscrite de manière indélébile" sur cette législature.

"C'est un budget électoraliste doublé d'un budget de classe", a abondé la socialiste Christine Pires Beaune.


Gauche et droite vont saisir le Conseil constitutionnel sur le projet de loi de finances pour 2022 (AFP/Archives/BERTRAND GUAY)

Gauche et droite vont saisir le Conseil constitutionnel. Le Sénat dominé par la droite a lui rejeté par deux fois l'examen d'un budget qui "hypothèque sérieusement l'avenir".

Dans une assemblée où les expressions s'aiguisent à mesure que s'avance la campagne, les "marcheurs" se sont montrés requinqués par ces "entreprises qui embauchent", ces "ménages qui consomment" et un taux d'emploi au plus haut depuis 1975.

Le député LREM Alexandre Holroyd a ainsi fustigé "les Thatcher de pacotille qui écument les plateaux TV" en accusant le gouvernement d'"avoir cramé la caisse", visant explicitement la candidate de LR Valérie Pécresse.

"Il reste beaucoup de choses à faire (...) On ne règle pas 40 ans de décrochage en un quinquennat", a-t-il ajouté.

Après avoir ouvert les vannes de la dépense publique pour sauvegarder l'économie face au Covid, le projet de budget 2022 avait la délicate mission de la canaliser tout en tenant compte de la menace épidémique persistante.

Selon ses prévisions, le déficit sera ramené à 5% du PIB, mais l'endettement du pays atteindra des niveaux record à 113,5% du PIB l'année prochaine - loin des promesses de début de mandat d'Emmanuel Macron, épidémie oblige.

- "Tournée générale" -

Pour le rapporteur général LREM Laurent Saint-Martin, la feuille de route est claire: "le prochain quinquennat sera un quinquennat d'assainissement de nos finances publiques".

En attendant, le gouvernement a multiplié les promesses et annonces en les rajoutant au fil de l'eau de la discussion budgétaire: plan d'investissement France 2030, plan pour Marseille, contrat d'engagement jeune pour les moins de 25 ans, mesures du bouclier tarifaire pour lutter contre la flambée des prix de l'énergie.


Le président de la commission des Finances, Eric Woerth (LR), le 9 février 2021 à l'Assemblée nationale à Paris (AFP/Archives/Ludovic MARIN)

204 amendements gouvernementaux ont été adoptés, creusant le solde de l'Etat de 12 milliards d'euros supplémentaires par rapport au projet de loi initial, a mis en avant le président de la commission des Finances, Eric Woerth (LR).

Le gouvernement a construit ce budget "en +live+ au fur et à mesure des évènements", a complété M. Woerth, critiquant les mauvaises manières de Bercy vis-à-vis du travail parlementaire.

"Ca a été une calamité démocratique", a déploré Eric Coquerel (LFI).

Charles de Courson (Liberté et Territoires) a lui particulièrement ciblé les amendements relevant du bouclier tarifaire.

"A la fin de l'open bar, vous nous avez offert une autre tournée générale non-chiffrée", a déploré ce vieux routier des discussions budgétaires, s'inquiétant d'un hypothétique coût de ce bouclier de 12 milliards d'euros pour les finances publiques.

Alors qu'existe une quasi-unanimité pour sanctuariser les budgets des ministères régaliens, l'exécutif a défendu son bilan en affichant les augmentations promises pour l'Intérieur, la Défense, l'Education ou la Recherche mais aussi la Justice.

Au total, l'enveloppe pour les ministères a grimpé de 11 milliards d'euros.

Gouvernement et majorité se sont en outre targués d'avoir allégé la fiscalité des ménages et des entreprises de 50 milliards sur le quinquennat, au grand dam de la gauche qui s'offusque de ces "cadeaux" aux plus riches et au patronat. Autant de banderilles politiques qui annoncent les joutes de la campagne.

© 2021 AFP

  
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