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C'est surtout depuis 1992
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ol99
« « de mieux en mieux depuis quand Bruxelles décide pour les pays c est n'importe quoi « «
Depuis le traité de Bruxelles (signé en 1975) , suivi par les traités d'Amsterdam (signé en 1997) qui lui a donné beaucoup plus de poids en lui permettant de colégiférer avec le Conseil dans toute une série de domaines couverts par le droit communautaire (comprendre : suppression de la souveraineté des états membres), puis le traité de Lisbonne, entré en vigueur le 1er décembre 2009.
Sans oublier les traités de Maastricht et celui de Luxembourg. Qui donnent tous pouvoirs de décision à Bruxelles.
A chaque traité, un pan entier des prérogatives des états leur est supprimé pour ne plus relever que de Bruxelles.
Nos « Présidents coqs de combat » ne sont que les soubrettes de l’oligarchie bruxelloise, et à ce titre, ils ont gagné le droit absolu de dire OUI à Bruxelles, mais pas à leur peuple..
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Le quoiqu'il en coûte devient la norme,, mais cela coûte pour les générations futures.
On distribue des "chèques", selon des critères très socialistes ( plafond de revenus notamment, sur des bases critiquables)
La question reste le montant des taxes et contributions en France. Chacun et chacune voit quotidiennement des chantiers avec 3 , voire 4 personnes, et on peut se demander si l'efficacité des interventions n'est pas un sujet qui devrait être pris en considération...
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Eureka !!!!!
ils ont peut être trouver la solution. O_O
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25/01/2022 | 11:43
Saint-Léonard-de-Noblat (AFP) -- Emmanuel Macron a indiqué mardi que l'exécutif travaillait à de nouvelles mesures pour amortir la hausse des carburants pour les Français, mais reconnu que "très peu de mesures ont un impact substantiel sur quelque chose qui ne dépend pas de nous".
"Il faut accompagner nos compatriotes de la manière la plus efficace, la question va se poser pour le gouvernement de savoir s'il faut faire davantage", a-t-il dit lors d'un bain de foule à Saint-Léonard-de-Noblat (Haute-Vienne), à deux mois et demi de la présidentielle.
Face à l'envolée des cours, le gouvernement est déjà en train de distribuer des chèques "anti-inflation" de 100 euros à 38 millions de Français, après avoir bloqué ou freiné les prix du gaz et de l'électricité.
"Le gouvernement continue de travailler sur ces sujets avec les producteurs et les distributeurs, en fonction de l'évolution des cours, pour chercher des mesures pratiques. Mais il y a très peu de mesures qui ont un impact substantiel sur quelque chose qui ne dépend pas de nous et qui sont les cours mondiaux", a-t-il déploré. "Et si on veut le faire dans un temps utile, les instruments sont assez réduits".
A plus long terme, il a jugé que la clé était de moins dépendre des énergies fossiles et des importations.
Bercy confirme de son côté qu'une solution émergera "peut-être dans la semaine". Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire doit être reçu par Jean Castex à Matignon mardi en fin de journée, pour un entretien qui pourrait permettre d'en préciser les détails.
De sources concordantes au sein de l'exécutif, cela pourrait passer par le relèvement du barème utilisé pour le calcul de l'indemnité kilométrique, qui concerne 2,5 millions de foyers imposés déclarant leurs frais réels.
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ils sont vraiment, ridicules avec des mesures idiotes encore une usine à gaz pour justifier l emploi de bureaucrates!!!
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Face à la flambée des prix de l'énergie qui pèse sur le pouvoir d'achat, Bruxelles recommande d'aider directement "ceux qui en ont le plus besoin", en versant des "chèques spécifiques", plutôt que d'abaisser uniformément la TVA sur les carburants, a indiqué le Commissaire européen Thierry Breton sur l'antenne de BFM/RMC lundi.
"Ce qui pèse le plus sur les ménages et notamment les ménages défavorisés c'est l'augmentation de l'énergie, et là il faut vraiment accompagner très vite cet impact mondial sur ceux qui en ont le plus besoin", a dit M. Breton, commissaire au Marché intérieur et à l'Industrie.
"D'où notre recommandation, qui a été mise en oeuvre notamment en France, c'est d'avoir des chèques spécifiques pour accompagner. Et il faudra le faire encore vraisemblablement jusqu'à l'été", a-t-il ajouté.
Interrogé sur l'aide de 100 euros pour les Français gagnant moins de 2.000 euros nets par mois, annoncée à l'automne par le Premier ministre Jean Castex, le Commissaire a estimé "qu'il ne faudra pas hésiter à le refaire".
En revanche, sur la possibilité d'une baisse de la TVA à 5,5% sur les carburants --que Bruxelles pourrait accepter en considérant l'essence comme un produit de première nécessité-- M. Breton a dit que son "impact" était "peu élevé pour le budget et pour les consommateurs par rapport à d'autres solutions évoquées plus directes".
"Je pense qu'aujourd'hui ce qui est vraiment nécessaire, c'est vraiment d'aider ceux qui en ont le plus besoin, il y a au moins 25% de la population française qu'il faut aider, et je crois que c'est beaucoup plus efficace plutôt que de faire quelque chose d'uniforme" a-t-il dit.
© 2022 AFP
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