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A l'Assemblée, Borne appelle à "bâtir ensemble" des compromis, met en

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hellforthem hellforthem
07/07/2022 20:06:55
4

"Nous mesurons tous l’ampleur de la tâche: les Français à protéger, la République à défendre, notre pays à rassembler...


'' Les Français à protéger... '' en organisant le déclassement de l'hôpital public pendant qu'on le remplit de malades qu'on a obligé à se laisser injecter des produits expérimentaux


'' La République à défendre... '' alors qu'ils passent leur temps à l'outrager, à la trahir et à la vendre depuis 5 ans


'' Notre pays à rassembler... '' alors qu'ils insultent la majorité qui ne veut pas d'eux, mais qui ne peux pas s'en débarrasser à cause d'une constitution indigne qui verrouille le système !!!


Ca mériterait un triple stand up au Marrakech du rire. J'ai même plus besoin d'en lire plus. Je savais qu'on nous avait calé une tatcher bis pour 5 ans et j'en ait définitivement la preuve

  
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fipuaa fipuaa
07/07/2022 19:41:49
1

“La guerre aux portes de l’Europe et la menace terroriste nous le rappellent: nous devons pouvoir nous défendre, nous devons pouvoir faire entendre notre voix. Au Levant, au Sahel, sur le flanc est de l’Europe, sur terre, dans les airs, sur les mers, dans le cyberespace, partout et dans tous les milieux, nos armées se battent pour notre liberté, parfois au péril de leur vie! ”

une surdouée à n'en pas douter si on fait gaffe à la fin de cette phrase tirée de son discours

pour sortir ça faut sortir de polytechnique ce qu'elle a fait ! Trop forte l'iguane !

  
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Fibopivots Fibopivots
07/07/2022 11:50:18
3

L'égalité à la française, c.est 56 régimes de retraite (?), tous différents les uns des autres.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
07/07/2022 10:41:54
3

C'est quand même ultra marrant (ironie) d'entendre des potentiels retraités craindre une réforme des retraites alors que Macaron a reçu de nombreux bulletins de leur part...

Et qui plus est, si réforme il y a, c'est les actifs la cible visée..

je ne ferai pas un raccourci sur le pourquoi de ces votes ...

c'est relativement simple à comprendre par le commun des mortels !


On arrive de plus en plus près de l'étape : changement de slogan français

Liberté, Égalité, Fraternité ==> aucunes raisons d'être mit en avant à notre époque.



  
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fipuaa fipuaa
07/07/2022 09:35:35
4

@jipes

pas que les retraites pour créer le désordre mais la pik pik des gamins le retour du covidshow saison7 l'inflation galopante l'accélération de la pauvreté qui s'en suit la faim pour certain les rationnements à venir plus de chauffage l'hiver les pénuries...bref l'effondrement dont parlait le champion bruno mais pour nous quoi!

  
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jipes jipes
06/07/2022 20:43:44
4

Aurait elle quand même dépassé les bornes tout au long de son discours ?


**Borne a appelé mercredi les oppositions à "bâtir ensemble" des "compromis"**

Pas très sérieux quand on a voulu ne pas entendre parler de la droite et de la gauche.


**mettant en garde contre "le désordre et l'instabilité"**

Devinez qui va créer désordre et instabilité avec les "retraites" ?


**Énumérant les défis qui se posent au pays (guerre en Ukraine)**

Les Français ne veulent pas la guerre, par contre que veut notre Président ?


**Borne a exhorté les députés à dépasser les clivages et à redonner "un sens et une vertu au mot compromis".**

En aurait il été de même si Renaissance avait eu à elle seule la majorité ? Permettez-moi d'en douter.


**déplorant que la vie politique ait été "trop longtemps (...) faite que de blocs qui s'affrontent".**

Et le Président en rejetant et la droite et la gauche a lui-même mis le feu aux poudres contre son propre parti.



  
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gars d'ain gars d'ain
06/07/2022 19:00:45
1

Vous doutez du niveau de pipeau ?


Le réveil va être douloureux pour certains ...

CRISE CLIMATIQUE ET ÉNERGÉTIQUE : REGARDER LA VÉRITÉ EN FACE - Jean-Baptiste Fressoz


https://www.youtube.com/watch?v=mMQwdUxF_bQ

  
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gars d'ain gars d'ain
06/07/2022 18:43:39
1

Du pipeau hélas sans avoir fait le conservatoire...

Les fausses notes s'entendent de loin... je vais éviter de me rapprocher pour préserver mes oreilles.

.

  
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cigale11210 cigale11210
06/07/2022 18:39:01
0
Députes Nupes …….tous des ……clac sot…..++++++ impolitesse.
  
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cigale11210 cigale11210
06/07/2022 18:38:21
0
La Première ministre Elisabeth Borne devant l'Assemblée nationale, le 6 juillet 2022
La Première ministre Elisabeth Borne devant l'Assemblée nationale, le 6 juillet 2022 (AFP/Bertrand GUAY )

La Première ministre Élisabeth Borne a appelé mercredi les oppositions à "bâtir ensemble" des "compromis" pour répondre aux défis économiques ou climatiques, mettant en garde contre "le désordre et l'instabilité" lors de sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale.

"Nous mesurons tous l’ampleur de la tâche: les Français à protéger, la République à défendre, notre pays à rassembler, la planète à préserver", a énuméré Mme Borne en ouverture d'un discours de 01H25, régulièrement interrompu sur les bancs de la gauche, qui avait peu auparavant déposé une motion de censure en signe de "défiance".

Tout en défendant le bilan social ou économique du premier quinquennat Macron, la Première ministre a assuré avoir entendu "le message" des électeurs qui ont privé le camp présidentiel d'une majorité absolue lors des législatives. "Par le résultat des urnes, ils nous demandent d'agir et d’agir autrement. Par leur message, ils nous demandent de prendre collectivement nos responsabilités", a détaillé Mme Borne, dont c'était le grand baptême de feu à l'Assemblée, avant le Sénat à 21H00.

Énumérant les défis qui se posent au pays (guerre en Ukraine, prix de l'énergie ou "urgence écologique") et appelant à reprendre le "chemin de l'équilibre" des finances publiques, Mme Borne a exhorté les députés à dépasser les clivages et à redonner "un sens et une vertu au mot compromis".

"Nous ne sommes peut-être pas d’accord sur toutes les solutions. Mais nous avons toutes et tous conscience de l'urgence et de la nécessité d’agir", a-t-elle dit. "Les Français nous demandent de nous parler plus, de nous parler mieux, et de construire ensemble", a-t-elle insisté.

La Première ministre a ainsi mis en garde contre tout blocage des institutions. "Face à de tels défis, le désordre et l'instabilité ne sont pas des options", a-t-elle mis en garde, déplorant que la vie politique ait été "trop longtemps (...) faite que de blocs qui s'affrontent".

Rejetant tout statut de "femme providentielle", Mme Borne a assuré, souvent avec le sourire, ne pas être une "femme de grandes phrases et de petits mots", qui ont, selon elle, nourri "les postures, la défiance et la crise de notre démocratie". Parsemant son allocution de références à ses prédécesseurs à Matignon, Mme Borne a aussi invoqué sous de vifs applaudissements la mémoire de grandes figures féminines à qui "la République a ouvert la voie".

La Première ministre Elisabeth Borne devant l'Assemblée nationale, le 6 juillet 2022
La Première ministre Elisabeth Borne devant l'Assemblée nationale, le 6 juillet 2022 (AFP/BERTRAND GUAY)

Sur le fond, la Première ministre a assuré que le projet de loi pour le pouvoir d'achat, qui sera présenté jeudi en Conseil des ministres, comporterait des mesures "concrètes, rapides, efficaces" contre l'inflation et pour aider "les plus vulnérables".

- Appel à réformer les retraites -

Sur le climat, Mme Borne a plaidé pour des "réponses radicales" pour transformer nos manières "de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer", tout en rejetant la voie de "la décroissance".

Elle a aussi annoncé son intention de renationaliser à 100% EDF, actuellement détenu à 84% par l’État, en affirmant que "la transition énergétique passe par le nucléaire".

Défendant une triple responsabilité (environnementale, budgétaire et fiscale), la Première ministre a appelé à mettre en œuvre des "solutions structurantes" pour l'hôpital et a également abordé le dossier explosif des retraites, mis en sommeil depuis la claque reçue par le camp présidentiel lors des dernières législatives.

"Notre pays a besoin d’une réforme de son système de retraite. Elle ne sera pas uniforme et devra prendre en compte les carrières longues et la pénibilité", a déclaré Mme Borne, avant de réaffirmer la volonté de l'exécutif de relever l'âge de départ à la retraite, chiffon rouge pour la gauche.

"Oui, nous devrons travailler progressivement un peu plus longtemps", a-t-elle assuré sans donner plus de précisions, déclenchant une bronca à gauche qui a alors brièvement interrompu son discours.

Abordant le "combat de la sécurité", angle d'attaque récurrent de la droite et l'extrême droite, la Première ministre a promis la "fermeté" et apporté son soutien aux forces de l'ordre.

"Honte à ceux qui attaquent systématiquement nos policiers et nos gendarmes. Honte à ceux qui tentent de dresser les Français contre ceux qui les protègent", a-t-elle lancé, dans une allusion transparente au leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon, qui avait accusé la police de "tuer".

- Défiance -

Peu avant le début du discours, les députés de la coalition de gauche de la Nupes avaient, comme annoncé la veille, déposé une motion de censure en signe de "défiance" à l'égard du gouvernement.

La Première ministre Elisabeth Borne devant l'Assemblée nationale, le 6 juillet 2022
La Première ministre Elisabeth Borne devant l'Assemblée nationale, le 6 juillet 2022 (AFP/Bertrand GUAY )

"En l'absence de vote de confiance", qui n'a pas été demandé par la Première ministre, "nous n'avons d'autre choix que de soumettre cette motion de défiance", justifient les groupes LFI, PS, écologiste et communiste, alliés dans la coalition Nupes, dans leur texte remis à la présidence de l'Assemblée nationale et transmis à la presse.

Craignant d'être renversée ou maintenue avec l'aide du RN, Mme Borne avait renoncé à ce vote, rejoignant ses sept prédécesseurs de gauche comme de droite qui avaient renoncé à solliciter la confiance lors de leur déclaration de politique générale.

La motion de censure, qui ne sera pas examinée avant vendredi et requiert un vote à la majorité absolue, n'a toutefois quasiment aucune chance d'être adoptée.

Le RN et ses 89 députés ont d'ores et déjà affirmé qu'ils ne s'y associeront pas. "On attend déjà que Mme Borne nous dise où elle veut emmener le pays", avait justifié un des porte-paroles du parti, Sébastien Chenu.

S’affichant en "formation responsable", le groupe LR ne joindra pas non plus ses voix à la motion de censure de la Nupes, car "l'objectif des Républicains n'est pas de réaliser un coup politique", selon la présidente par intérim du parti Annie Genevard.

© 2022 AFP

  
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