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Un producteur de piquette nous explique des leçons d'économie à 2 balles...
2 balles, c'est peau de balle...
Ne pas confondre "Cambouis" et "Méthanol" : le méthanol pour les contrefaçons de piquette fait mal à la tête et est dangereux.
Comment sauver un intoxiqué par le méthanol ?
L'apport hydrique doit être important pour compenser la polyurie osmotique et maintenir une élimination rénale efficace du méthanol. La perfusion de bicarbonates est nécessaire en cas d'acidose métabolique sévère (pH < 7.2) et doit être administrée le plus précocement possible
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Raisonnement de nupistes...
Et puis comparez l'auto entrepreneur et l'entrepreneur prouve bien que les cc nivellent la cervelle par le bas...
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Ceux qui prônaient l'auto-entreprise sont ceux qui refusaient de payer les services au juste prix, et le low coast chez les fournisseurs afin d'augmenter ou de préserver les marges...
Ce sont toujours ceux qui n'ont jamais eu à gérer une entreprise qui nous font de leçons de morale à 2 balles sur les vertus de l'auto-entreprenariat pendant qu'ils ont eux une retraite parfaitement cotisée et au plafond...
On continue de se foutre de la gueule de monde...
Dans le même d'idée, on a viré le personnel de contrôle à la DGCCRF : comme on peut libéraliser les marchés et comme ça on peut quasi mettre n'importe que sur le marché.
Suffit de voir récemment, les abus de dénominations produits sur les produits végan...
Pitoyable et affligeant...
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vous oubliez à l'époque que tout le monde prônait l'auto-entreprise, que ces boulots permettaient à certains de trouver un job, que beaucoup de personnes pensaient que les chauffeurs de taxi abusaient au niveau des tarifs ...
Qui aujourd'hui refuserait de prendre un Uber pour rentrer alors que les taxis vivaient sur une rente en voulant garder le monopole.
Ces histoires sont alimentées par la NUPES et le RN, comme l'affaire Mc Kinsey. En fait, ce cabinet a touché 1% du fameux milliard . Il faut toujours que ces élus montent les personnes les unes contre les autres au lieu de travailler pour les français.
Maintenant, nous sommes heureusement en France, les Uberistes disposent de syndicats pour améliorer leurs conditions de travail. Heureusement pour nous, même si Mr Melenchon rêve du Venezuela, nous avons un état qui protège ces administrés au regard des autres pays.
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Le député LFI Alexis Corbière envisage déjà la création d'une commission.
Très bonne idée cela va lui donner l'occasion de faire un peu d'exercice.
Pour bien juger les méthodes d'Uber il faudrait qu'il fasse le livreur Uber Eats pendant quelques jours.
Vu son profil après cinq ans à l'assemblée nationale cela ne lui ferait pas de mal.
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Ah je me souviens, tarte molle l'avait prévue celle là !!!
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Pendant que d'autre se remplissent les poches sur le dos des travailleurs
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Aux soutiens affichés au Hamster jovial en chef, roi du bonneto fiscal et chef de patrouille de la patrouille des magouilles à la roue de la Fortune...
ICIJ, Cellule investigation de Radio France dispose de 124 000 documents.
On vous écoute nous expliquer qu'il y aurait erreur sur la personne.
On est tout ouï...
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Les oppositions à gauche et au RN, mais aussi la CGT, ont haussé le ton lundi après la révélation par la presse d'échanges privilégiés entre Uber et Emmanuel Macron quand il était à Bercy, sommant désormais le président de s'expliquer.
Le député LFI Alexis Corbière envisage déjà la création d'une commission d'enquête parlementaire, tandis que le RN demande un "droit de suite" à une précédente commission sur l'affaire Alstom, après les informations des "Uber Files", une enquête reposant sur des milliers de documents internes à Uber adressés par une source anonyme au quotidien britannique The Guardian et transmis au Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) et à 42 médias partenaires.
Dans ce cadre, Le Monde s'est intéressé aux liens entre la société américaine et Emmanuel Macron à l'époque où il était ministre de l'Economie (2014-2016). Le journal conclut à l'existence d'un "deal" secret entre Uber et Emmanuel Macron à Bercy.
"C'est très grave, l'idée que Monsieur Macron a, dans ce pacte secret avec une entreprise, dérégulé la réglementation en matière de taxis", a accusé le député de Seine-Saint-Denis.
"J'ai une certaine idée de la République, qui fait que le président ou celui qui veut être président, ne peut pas être un lobbyiste au service d'intérêts privés et d'une entreprise nord-américaine", a poursuivi M. Corbière.
"Quelles leçons en tirer? Evidemment poser la question lorsqu'on peut s'adresser au gouvernement, une commission d'enquête également", a-t-il suggéré.
"Vu l'ampleur de la chose, ça peut bousculer peut-être un calendrier qu'on avait prévu, ça nécessite une discussion politique", a précisé M. Corbière. Le groupe LFI à l'Assemblée comptait initialement utiliser son droit de tirage pour une commission d'enquête sur l'inflation.
-"Scandale Uber"-
Selon lui, "c'est la moindre des choses" que le président s'exprime sur ces révélations et "s'il ne le fait pas, on est dans l'irresponsabilité présidentielle de la Ve République".
Le député RN Sébastien Chenu a dénoncé lors d'une conférence de presse "le premier scandale du quinquennat d’Emmanuel Macron, le scandale Uber".
Selon son collègue Jean-Philippe Tanguy, les élus RN demandent "un droit de suite" sur l'affaire Alstom qui avait fait l'objet d'un commission d’enquête parlementaire présidée par Olivier Marleix (LR), ce dernier ayant saisi la justice en 2019.
Ils ne sont "pas contre" une commission d’enquête sur Uber mais pour M. Tanguy, il "n'a sans doute pas beaucoup de sens de refaire une commission d'enquête puisque l'essentiel des éléments d'enquête d'investigation et de témoignages ont été faits par la commission Marleix entre 2017 et 2018".
"Une mission d'information pourrait ressortir ces éléments et les remettre au goût du jour", a ajouté M. Tanguy.
-"Pas de contrepartie"-
"Le minimum, c'est qu'il explique ce qu'il a fait et comment il a contribué à non seulement faire en sorte qu'Uber s'implante en France, mais, grâce à une loi qui s'appelle la loi Macron, découdre une partie du code du travail pour favoriser ce type d'activité, et notamment les conséquences sociales sur les salariés", a déploré le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez.
"Ce n'est pas une nouvelle qu'Uber soit à ce point dans une logique de lobbying pour déréguler, pour se faire de l'argent en tenant assez peu compte de ce qui existe en terme de droit dans les pays et surtout en terme de droits des travailleurs concernés", a relativisé en revanche le patron de la CFDT Laurent Berger.
Pour le communiste Fabien Roussel, Emmanuel Macron "fait le choix du monde des affaires, de ces multinationales, au lieu de penser à la protection des Français, la protection du travail".
La patronne des députés LREM Aurore Bergé a balayé ces critiques, jugeant "formidable un pays qui s'offusque qu'un ministre de l'Économie reçoive des chefs d'entreprise de manière totalement public dans un débat qui était un débat parlementaire".
"Il n'y a pas de deal, il n'y a pas de contrepartie, il y a un ministre qui a reçu de grands chefs d'entreprise et c'est normal", a-t-elle ajouté.
© 2022 AFP
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