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Le monde paiera "le prix de la guerre" en 2023, prévient l'OCDE

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emi00 emi00
27/09/2022 09:09:11
0

Quand on voit une poupée fanatisée demander la mort de tous les Russes au hasard d'un zapping tardif on se dit que cette boucherie n'est pas prête de finir. Et on comprend que Poutine ait du intervenir pour arrêter le massacre des Russophones du Donbass

  
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JMPBW JMPBW
26/09/2022 22:58:02
0

Je suis allé voir par curiosité le site de l'OCDE.

Les objectifs prioritaires de cet organisme sont de "renforcer la résilience sociétale et économique, améliorer la productivité et réduire les inégalités".

La démarche me semble donc clairement tournée vers la gestion du risque, alors que l'Accord de Paris avait pour objectif de réduire le risque .

Finalement avec des médecins de cette espèce à son chevet la planète est mal barrée.

  
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JMPBW JMPBW
26/09/2022 21:09:38
1

Plaçons nous du point de vue environnemental.

Une croissance mondiale de 2.2 % entraînera une augmentation des émissions CO2 de 1.76%.

Alors que pour respecter l'Accord de Paris, il faudrait chaque année une réduction des émissions annuelles de 5 % .

L'OCDE si elle se préoccupait un tant soit peu du réchauffement climatique devrait déplorer que les prévisions de croissances soit encore aussi élevées.

Le seul pays à s'approcher des objectifs de l'Accord de Paris sera la Russie avec une croissance négative.

Quel paradoxe.

  
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papygaga papygaga
26/09/2022 19:37:14
0

@dub,

c'est vrai, mais le - 0,5 me semble un peu artificiel....

donc, un peu de mauvaise foi ne fait de mal à personne....

  
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emi00 emi00
26/09/2022 13:35:07
0

Le prix à payer ne devra sans doute pas être si terrible que ça. Sinon elle souhaiterait sans doute que le conflit cesse et que le nombre de victimes cesse d'augmenter. Il faut savoir décrypter toutes les infos


Ursula von der Leyen s'oppose aux appels à un cessez-le-feu en Ukraine : "Il y a beaucoup en jeu, pas seulement pour l'Ukraine"

https://www.lalibre.be/international/europe/guerre-ukraine-russie/2022/09/22/ursula-von-der-leyen-soppose-aux-appels-a-un-cessez-le-feu-en-ukraine-il-y-a-beaucoup-en-jeu-pas-seulement-pour-lukraine-HLR5YSYOSZC6HCRGKGHIFFBC5E/



  
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JMPBW JMPBW
26/09/2022 13:16:09
3

Jusqu'à maintenant, à court terme, la crise énergétique a coûté 500 Mds€ à l'UE.

Soit 1000 € par citoyen.

Nous allons maintenant voir arriver les conséquences à moyen terme que seront l'inflation, la baisse de la croissance; la hausse des taux des dettes souveraines.

Sans oublier un cours élevé et durable du GNL, car concernant l'approvisionnement de l'Europe nous sommes simplement passés d'une dépendance à une autre sans aucune modification significative de notre indépendance énergétique. L'incapacité de l'UE a mettre sur pied une politique énergétique nouvelle et audacieuse me semble constituer le facteur le plus grave de la situation actuelle. Il constituera un handicap majeur pour l'Europe pendant au moins une décennie.


  
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Dubaisan Dubaisan
26/09/2022 12:47:55
0

Papygaga,

Entre l'Espagne et la France ( le classement est par ordre alphabétique).

  
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papygaga papygaga
26/09/2022 12:28:30
0

Curieux tout de même....

Je ne vois pas le graphique des U.S.A....

Se pourrait que les ricains soient les grands gagnants de la guerre à l'insu de mon plein gré ?

  
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Bob1000 Bob1000
26/09/2022 12:17:02
0

Le monde paiera "le prix de la guerre" en 2023. Certes. L'idéal la capitulation de la Russie en vue (n'ont pas d'alliés militaires cette fois les cruels tartares russes à nouveau envahisseurs)

  
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Bob1000 Bob1000
26/09/2022 12:16:52
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Le monde va payer le prix de la guerre en 2023, prévient l'OCDE
Le monde va payer "le prix de la guerre" en 2023, prévient l'OCDE (AFP/Archives/Eric PIERMONT)

La guerre va continuer à coûter cher aux Etats du monde: l'OCDE a nettement dégradé sa prévision de croissance mondiale l'an prochain devant les effets plus durables qu'anticipé de la guerre en Ukraine, l'Europe payant la plus grande facture.

"Les perspectives de croissance mondiale se sont assombries", a écrit l'Organisation de coopération et de développement économiques dans un rapport publié lundi et intitulé "payer le prix de la guerre".

L'absence d'accalmie sur le terrain au huitième mois de l'invasion russe en Ukraine, symbolisée par la récente mobilisation de réservistes par Moscou, incite l'organisation internationale au pessimisme quant au futur proche de l'économie.

Après une année 2022 éprouvante pour les ménages et les entreprises surtout en raison de la flambée inflationniste qui en a résulté, "la croissance mondiale devrait continuer à s'affaiblir en 2023", souligne l'institution basée à Paris.

Les prévisions de croissance de l'OCDE
Les prévisions de croissance de l'OCDE (AFP/Valentin RAKOVSKY)

Celle-ci table sur une progression du PIB mondial de 2,2% contre 2,8% anticipés lors de précédentes prévisions en juin, bien qu'elle ait maintenu sa prévision pour cette année à 3% après l'avoir nettement réduite ces derniers mois.

"Les pressions inflationnistes sont de plus en plus généralisées, la hausse des prix de l'énergie, des transports et d'autres coûts se répercutant sur les prix", souligne l'OCDE qui a revu en baisse ses prévisions 2023 sur la quasi-totalité des pays membres du G20 à l'exception de la Turquie, de l'Indonésie et du Royaume-Uni dont l'économie connaîtra une stagnation.

- 2.800 milliards -

Pour montrer l'ampleur du choc de la guerre sur l'économie mondiale, l'OCDE a évalué à 2.800 milliards de dollars les pertes financières à anticiper l'an prochain par rapport aux prévisions antérieures à l'arrivée des chars en Ukraine.

Une épaisse fumée noire au-dessus de la ville de Koupiansk, le 24 septembre 2022 dans la région de Kharkiv, en Ukraine
Une épaisse fumée noire au-dessus de la ville de Koupiansk, le 24 septembre 2022 dans la région de Kharkiv, en Ukraine (AFP/Archives/Yasuyoshi CHIBA)

Ce sont logiquement les pays voisins de Kiev et de Moscou qui subiront les coûts les plus importants d'après l'OCDE: la croissance en zone euro subit la révision la plus importante de toutes les régions du monde avec une croissance attendue à 0,3% contre 1,6% anticipé en juin. La raison principale est la flambée des prix de l'énergie, l'inflation étant anticipée cette année à 8,1% et à 6,2% l'an prochain.

Agitée depuis des mois comme un risque majeur par les principaux prévisionnistes mondiaux, la récession est le scénario anticipé par l'OCDE pour l'Allemagne: la première économie européenne verrait selon l'OCDE son PIB reculer de 0,7% l'an prochain, un plongeon de 2,4 points en comparaison avec la précédente prévision.

Ses principaux voisins y échappent: une croissance de 0,4% est attendue en Italie, de 1,5% en Espagne, et de 0,6% en France, là où gouvernement table encore sur 1%.

De son côté, le Fonds monétaire international prévoyait dans ses dernières prévisions remontant à juillet 0,8% de croissance en Allemagne, 1% en France et 1,2% en zone euro, mais il pourrait revoir ses anticipations à la baisse en octobre.

Parmi les autres grandes régions, la croissance américaine est attendue par l'OCDE à 0,5% contre 1,2% anticipés en juin, et la croissance chinoise à 4,7% contre 4,9%.

- "Incertitude importante" -

"Une incertitude importante entoure ces projections économiques", concède l'OCDE, notamment devant le risque de pénuries d'énergie pendant l'hiver.

La hausse vertigineuse des prix menace déjà l'activité d'un nombre croissant d'entreprises dont certaines sont contraintes de réduire leur activité.

Prix du gaz naturel en Europe
Prix du gaz naturel en Europe (AFP/Archives/Patricio ARANA)

Selon l'organisation, des pénuries plus importantes que prévu en gaz risqueraient par un effet en cascade de réduire le PIB de la zone euro de 1,25 point supplémentaire l'an prochain, ce qui pousserait alors de nombreux Etats en récession.

Ce scénario est d'autant plus inquiétant que les banques centrales des pays développés et émergents sont fermement engagées à remonter leurs taux d'intérêt pour contenir l'inflation, avec le risque de saper là aussi la croissance.

Les hausses de taux sont "un facteur clé" dans le ralentissement en cours, relève l'OCDE, qui appelle toutefois les banquiers centraux à continuer, pour éviter de les remonter plus fortement si l'inflation poursuit son envol.

Les mesures budgétaires ciblées et temporaires aux ménages et aux entreprises font partie de la solution face à l'urgence, souligne l'institution, affirmant que jusqu'à présent les mesures prises contre la hausse des prix de l'énergie ont été "mal ciblées" car profitant souvent à trop de ménages et d'entreprises.

© 2022 AFP

  
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