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L'UE tente, dans la douleur, de réduire les factures d'énergie

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moicmoi moicmoi
03/10/2022 13:39:45
1

Les dirigeants à la tête de l’E.U., cons à bouffer du son, par leurs décisions empreintes de « sans-cervellisme » , ont provoqué et/ou organisé la crise énergétique , l’inflation des denrées alimentaires, et autres.

Et je prie tous les jours pour que cela ne nous amène pas à une guerre étendue à une grande partie de l’europe, ce qui n’est pas assuré du tout.
Et maintenant, ces mêmes dirigeants (non élus ou choisis, donc qui ne représentent rien d'autre que eux mêmes) cherchent à colmater les fuites en rejetant la faute et les taxes-remèdes sur les particuliers et les entreprises.

C’est l’un des « bienfaits » de l’E.U. .

A part ça ? Ils nous apporté quoi ? Des milliers d’individus inutiles grassement rémunérés par nous, qui décident tout à notre place sans avoir la moindre légitimité, ….
Mais, si ce que mon esprit facho, droite-extrémiste, complotiste, nationaliste, révolutionnaire, eurosceptique, peste-noiriste, (nomenclature complète dans le dictionnaire de la bien-pensance)….leur objectif est de paupériser les citoyens d’europe pour mieux les asservir, de plus (+) détruire le tissu industriel de l’europe au profit du donneur d’ordres U.S., ... tout ceci est très cohérent.

Mais, qu’est-ce que les européens attendent pour balayer toute cette racaille qui nous coûte cuir et poils ?
Des dizaines de milliards à économiser, et tout le monde ferme sa gueule !

  
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JMPBW JMPBW
03/10/2022 11:07:28
3

L'UE s'est finalement mise d'accord sur trois mesures coercitives.

Réduire la consommation, ponctionner les énergies renouvelables, taxer les super-profits.

Concernant le plafonnement du prix du gaz, entre l'Allemagne qui veut sécuriser ses approvisionnements, l'Italie qui se débrouille seule, et la France qui va généreusement céder une partie de ses stocks à l'Allemangne à titre de solidarité, aucune avancée.

La démarche entreprise à grands coups d'annonces par Ursula Von Der Leyen est manifestement un fiasco.

Le volet incitatif concernant les énergies renouvelables a disparu, comme la révision de la tarification de l'énergie.

Les Européens en sont réduits à racketter leurs entreprises pour arrêter l'hémorragie avant de faire de même avec leurs citoyens.

Mais ces mesures ne seront qu'une goutte d'eau par rapport aux centaines de milliards d'euros que la crise énergétique a déjà fait perdre à l'Europe.

  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
30/09/2022 13:09:41
0

On aurait dû laisser le marché éolien se réguler par lui même.

Les producteurs d'énergie renouvelable ont lancé de gros investissement, ce n'est pas le moment de sortir de nouveaux impôts.

Sinon ont risque de voir le cours de l'électricité rester longtemps cher.

  
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JMPBW JMPBW
30/09/2022 11:12:12
3

Sans oublier les intermédiaires qui achètent à la Russie, transvasent, mélangent, raffinent et nous revendent avec une belle plus-value.

L'Union Européenne est devenue grâce à Mme Van Der Leyen le plus grand mécène planétaire.

Seul problème cela se fait avec notre pognon et en direction des mauvais pays.

  
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jlccasa jlccasa
30/09/2022 10:50:29
0
Pendant ce temps la Russie est la grande gagnante en vendant son pétrole et gaz au prix fort !
  
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JMPBW JMPBW
30/09/2022 10:12:27
1

Effectuer une projection sur les résultats des entreprises du secteur de l'énergie à partir des décisions de l'UE sera un exercice de haut vol.

D'autant plus si chaque pays membre dispose de latitudes importantes, ce qui est probable compte tenu des grosses divergences d'intérêts que l'on peut constater.

Les élections au Brésil et les midterms américaines auront également un impact important sur les entreprises ayant des parcs au Brésil et les pétrolières.

  
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MAXIMILIAN MAXIMILIAN
30/09/2022 09:54:27
0

Voltalia et Neoen ont perdu de l'argent au S1 2022.

L'union Européenne va taxer les pertes ?

  
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Bob1000 Bob1000
30/09/2022 09:48:51
2

L'UE tente, dans la douleur, de réduire les factures d'énergie. Effectivement les calculs savants du prix fixé de l’électricité sont résultats du délire bureaucratique de crânes d’œuf hauts fonctionnaires UE, qui est devenue une machine infernale à normes pondues par des Commissions ad hoc pléthoriques et coûteuses (certes ça fait des postes administratifs à pourvoir = vache à lait UE). Conclusion «un plafonnement des prix de gros du gaz sur le marché européen » serait contenir puis réduire les idioties bureaucratiques évoquées ci-dessus et revenir vers la simplicité et le bon sens ?

  
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pcottaz pcottaz
30/09/2022 09:46:23
2
oui ... je suis d accord sur l'incompétence des institutions a prevoir, et a agir... Avec des salaires et des responsabilités enormes ... cest desesperant
  
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JMPBW JMPBW
30/09/2022 08:11:56
5
Les tergiversations de l'Union Européenne vont encore continuer jusqu'au 7 Octobre. Après le Covid, la commission prouve une nouvelle fois avec la crise énergétique l'inefficacité de l'UE, son incapacité à solutionner les divergences entre pays membres et objectifs de la commission. La constitution Européenne mériterait une grosse révision pour remédier à une telle situation.
  
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JMPBW JMPBW
30/09/2022 08:11:52
0
Un compteur d'électricité à Lille, dans le Nord de la France, le 14 septembre 2022
Un compteur d'électricité à Lille, dans le Nord de la France, le 14 septembre 2022 (AFP/Archives/DENIS CHARLET)

Les ministres européens de l'Energie vont s'efforcer vendredi d'adopter des mesures d'urgence pour enrayer la flambée des prix du gaz et de l'électricité pour faire face aux risques de crise sociale et de faillites d'entreprises à l'approche de l'hiver.

Les récentes fuites sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, dénoncées par l'UE comme des actes de "sabotage", ont suscité de nouvelles inquiétudes au sein du bloc, déjà ébranlé par l'envolée des prix liée à la guerre déclenchée par la Russie en Ukraine.

Réunis à Bruxelles, les ministres des 27 devraient valider des propositions présentées à la mi-septembre par la Commission européenne, visant à récupérer une partie des "superprofits" des producteurs d'énergie pour les redistribuer aux consommateurs, et réduire la demande d'électricité.

Mais une majorité d'Etats membres --quinze, dont la France, la Belgique, l'Italie et l'Espagne-- estiment qu'il faut s'attaquer au "problème le plus grave": ils réclament un plafonnement des prix de gros du gaz sur le marché européen.

Ces pays veulent que la mesure s'applique à toutes les importations de gaz, pas seulement celles qui proviennent de Russie. Et certains "sont de plus en plus nerveux" face à l'attitude de la Commission, selon un diplomate européen.

L'exécutif communautaire, tout comme l'Allemagne, est réticent à une telle mesure, redoutant qu'une limitation des prix menace l'approvisionnement des Européens, en dissuadant les "partenaires fiables" comme la Norvège ou les Etats-Unis de livrer l'UE en gaz, au profit de l'Asie.

La Commission propose de fixer un prix maximum pour le gaz russe --transporté par gazoduc ou gaz naturel liquéfié (GNL)--, qui représente à l'heure actuelle 9% des importations européennes. La Russie était historiquement le premier fournisseur de gaz de l'UE, acheminant plus de 40% du gaz dans le bloc.

Bruxelles mise sur des négociations avec les autres fournisseurs de gaz acheminé par pipeline pour faire baisser les prix, mais estime que pour le GNL, la capacité de négociation est restreinte par la concurrence internationale.

La Commission envisage aussi de plafonner le prix du gaz utilisé pour la production d'électricité.

- "Question de survie" -

Ces options seront discutées par les ministres, et devraient donner lieu à un plan plus détaillé, avant un sommet des dirigeants des Vingt-Sept le 7 octobre à Prague.

Un navire de transport de gaz liquéfié quitte le port de Wilhelmshaven, en Allemagne, le 29 septembre 2022
Un navire de transport de gaz liquéfié quitte le port de Wilhelmshaven, en Allemagne, le 29 septembre 2022 (AFP/FOCKE STRANGMANN)

En attendant, les ministres devraient se mettre d'accord vendredi sur un projet de règlement prévoyant de plafonner les revenus des producteurs d'électricité à partir du nucléaire et des renouvelables (éolien, solaire, hydroélectrique) qui engrangent des bénéfices exceptionnels en vendant leur production à un prix très supérieur à leurs coûts de production.

Le plafond serait fixé à 180 euros par megawattheure et la différence avec le prix de gros du marché serait récupérée par les Etats pour être redistribuée aux ménages et aux entreprises. Une "contribution temporaire de solidarité" est aussi prévue pour les producteurs et distributeurs de gaz, charbon et pétrole.

Au total, des recettes d'environ 140 milliards d'euros pourraient ainsi être reversées, selon la présidente de la Commission Ursula von der Leyen.

La proposition de loi fixe aussi aux Etats un objectif contraignant pour réduire leur consommation d'électricité "d'au moins 5%" pendant des heures de pic de la consommation. Les Vingt-Sept sont aussi appelés à réduire leur consommation mensuelle d'électricité de 10%, un objectif indicatif.

De nombreux pays de l'UE ont déjà mis en place des dispositifs d'aide au niveau national pour soulager les ménages et entreprises étranglés par les factures.

La France et l'Espagne notamment appliquent des plafonds aux prix de l'énergie. De même, l'Allemagne, première économie de l'UE, a annoncé jeudi qu'elle allait débloquer jusqu'à 200 milliards d'euros supplémentaires pour limiter les prix du gaz et de l'électricité.

L'association patronale européenne BusinessEurope a averti jeudi que les prix du gaz et de l'électricité faisaient peser un "risque imminent" de "pertes de production" et "d'arrêts de milliers d'entreprises européennes". Atténuer l'impact de ces prix est "une question de survie", a-t-elle estimé.

© 2022 AFP

  
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