Coût du ferroviaire: la région Grand Est évoque des fermetures de lign

quand on sait le cinéma des politiques pour réouvrir des lignes inadaptées c est cloche merle la SNCF . tout le monde l utilise a des fins politiques . rien de cohérent dommage et ravage

Répondre

jamariuscky
« « Ce serait, en effet, peut être une bonne idée que de fermer non seulement les lignes régionales, mais l'ensemble de ce gouffre financier qu'est la SNCF. » »

Une autre solution plus judicieuse, je pense : faire payer (et adapter en permanence) aux usagers le vrai prix .

Ce qui aurait pour effet de ne plus faire payer aux contribuables, ce service dont ne bénéficient qu’une petite minorité des Français. Donc, économie pour l’état.
Logique :

Je prends un taxi, je paye le vrai prix .
Je me déplace avec ma voiture personnelle, je paye le vrai prix .
J’achète une baguette de pain , je paye le vrai prix . (alors que beaucoup plus de contribuables mangent du pain, que ceux qui prennent le train)
J’appelle le plombier pour une installation chez moi, je paye le vrai prix .
Je fais construire mon habitation, je paye le vrai prix .

Répondre

Ce serait, en effet, peut être une bonne idée que de fermer non seulement les lignes régionales, mais l'ensemble de ce gouffre financier qu'est la SNCF. Si encore le service rendu était à la hauteur...Mais le seul point où on peut trouver la SNCF en tête de quelque chose, c'est le nombre de jour de grève ...

Répondre

Des régions françaises seront forcées de "fermer les lignes" ferroviaires si l’État leur répercute la flambée des prix de l'électricité, a averti le président du Conseil régional du Grand Est, Jean Rottner (LR).

"A partir de 2024, c'est 8% de droit de péage supplémentaire qui va s'exercer sur les régions", a déclaré M. Rottner lors d'un entretien avec des journalistes, avant une session jeudi du Conseil régional à Strasbourg. "Là, on dit stop, on ne peut pas".

Le ministre des Transports Clément Beaune a indiqué le mois dernier que l’État n'envisageait pas a priori d'aide pour les régions, qui sont engagées par contrat à couvrir la hausse des prix de l'énergie pour les transports publics qu'elles organisent, comme les TER.

"Beaucoup de présidents de région sont en train de dire que si à un moment donné il n'y a pas une forme de remise en cause du système (...), on va à notre perte, c'est-à-dire qu'on va fermer les lignes, clairement", a relevé M. Rottner.

Le président de la SNCF Jean-Pierre Farandou a estimé le mois dernier le surcoût de la facture d'électricité entre 1,6 et 1,7 milliard d'euros en 2023.

La moitié de ce surcoût est imputable aux trains régionaux.

Or, la Première ministre Élisabeth Borne, lorsqu'elle était ministre des Transports, avait exigé en 2018 que SNCF Réseau, le gestionnaire des voies ferrées françaises, revienne à une génération de trésorerie positive à partir de 2024.

M. Rottner a par ailleurs fait savoir que sa région allait "recommencer à payer" ce qu'elle devait à la SCNF, après avoir annoncé en avril dernier une suspension des paiements pour l'exploitation du réseau TER. Le président de région dénonçait alors des "dysfonctionnements" dans le service.

"Il y a un certain nombre d'améliorations qui se sont faites" depuis, a-t-il dit.

© 2022 AFP

Répondre