Deux-Sèvres: le chantier de la "bassine" n'a pas encore repris

Oui, ce sont principalement les pluies (longues et abondantes) d’automne et d’hiver (sauf en cas de sol gelé) qui sont les « meilleures » pour refaire le niveau des nappes phréatiques. Y pomper de l’eau en hiver pour alimenter des « bassines » qui seront déstockées en été n’est donc pas (du point de vue niveau de nappe) une aberration. Au contraire, une bonne gestion aurait plutôt tendance à augmenter le volume d’eau disponible puisque, une fois la nappe « pleine », elle s’écoule.

L’impact environnemental de ces bassines est un autre sujet sur lequel je n’ai pas d’éléments et donc pas d’avis 🤔

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Vous croyiez avoir atteint le fond ? Non non les khmers verts continuent à creuser

https://www.ornikar.com/code/cours/route/types-voies/chaucidou

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les nappes phréatiques se reconstituent en hiver( pas complètement les années sèches et plus que complètement les années humides). L'évaporation de novembre à avril est plus que compensée par les pluies;celle de mai au 15 aout varie selon les années sachant qu'une piscine non couverte perd 1cm par jour avec une température de 28 à 30 degrés le jour et 13,15 la nuit......soit 1OO CM maxi sur 100 JOURS sans pluie

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Le but est moins de sauver la planète que de détruire le capitalisme et le remplacer par …. ben rien, des ZAD, du bordel, un peu d’herbe. La belle vie quoi.

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FLOPSY1
« « Intérêt évident d'un tel projet depuis le temps des romains ..//.. des processions de débiles écologistes qui s'autoflagellent au nom de l'urgence climatique. » »

Et le pire c’est que les kmers verts se sont infiltrés dans tous les rouages de l’ état. Et ceux que l’on croit nos z’élites mais qui sont cons comme des valises sans poignée, ont laissé entrer les loups dans la bergerie.

Et tout ça , pour quoi ? Pour gagner quelques voix des verts aux élections !

Parce que leur seul souci, ce n’est pas la France et les Français, …non non, ça ils s'en foutent. C’est leur carrière. Battre les autres, mais pas combattre les emmerdes des Français.
Et le gugus qui a été placé à la tête de l’état actuellement, c’est encore pire. Lui, il reçoit ses ordres directement des U.S., en plus des écolos teutons.
Une ministre de l’environnement, en un langage indigne d’un ou d'une ministre, a dit un jour : les anti énergies renouvelable sont des cons.
C’est marrant parce que moi qui ne suis pas ministre , j’avais la même réflexion à l’encontre des écolos, à une nuance, à un qualificatif, près ; … les écolos sont des cons décérébrés.

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https://www.valeursactuelles.com/monde/video-italie-des-militants-dextinction-rebellion-bloquent-le-peripherique-et-se-font-deloger-par-des-automobilistes-en-colere

https://www.lessentiel.lu/fr/story/des-ecdolos-bloquent-l-autoroute-des-automobilistes-petent-les-plombs-124643689154

On dirait que ces pauvres débiles victimes du GIEC cherchent la bavure

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Intérêt évident d'un tel projet depuis le temps des romains les civilisations ont compris l’intérêt essentiel de la captation de l'eau et de son stockage Mais la nouvelle vague d'ecoterroriste ne vise qu'a nous faire régresser tant au niveau économique que technique. Avec eux c'est le retour à l'inculture et le crétinisme du moyen age où en procession se flagellant le dos on demandait pardon à dieu pour nos péchés ayant entraine l’épidémie de peste , etc.. Maintenant ce sont des processions de débiles écologistes qui s'autoflagellent au nom de l'urgence climatique.

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J'ai du mal à concevoir l'intérêt de ce projet. Après avoir vidé les rivières, il faudrait maintenant épuiser les nappes phréatiques ? Car je ne vois pas comment celles-ci pourront se reconstituer. De plus, il est fort probable qu'avec l'évaporation de ces réserves de surface, ces "bassines" soient à sec au 1er juillet. Alors va-t-on continuer à vider les nappes tout l'été ? Tout ceci ne serait-il qu'une vaste escroquerie intellectuelle, qu'un moyen d'accélérer encore le risque de pénurie d'eau ? Et puis j'aimerais bien savoir comment tout cela est réellement financé...

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Le chantier d'une retenue agricole contestée dans les Deux-Sèvres n'avait pas encore repris mercredi matin, ont constaté des journalistes de l'AFP, alors que le collectif des opposants doit tenir une conférence de presse sur place.

Le site de Sainte-Soline, théâtre d'une manifestation de plusieurs milliers de personnes et de violents heurts entre des militants radicaux et les forces de l'ordre durant le week-end, était quasi-désert, en dehors d'une présence toujours importante des gendarmes pour en interdire l'accès.

Aucun engin de travaux n'avait encore fait son retour sur le chantier protégé par des grilles. Le chantier va "se poursuivre", ont indiqué mercredi la préfecture du département et la Coop' de l'eau, structure qui porte le projet, sans en préciser les dates.

L'interdiction de manifester avait été prolongée jusque mercredi matin par la préfecture. Dimanche soir au terme de la mobilisation des opposants, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, avait annoncé le maintien d'un millier de gendarmes, "autant qu'il faudra", pour empêcher une ZAD de s'installer à Sainte-Soline.

Le collectif d'opposants "Bassines, non merci", organisateur de la manifestation du week-end, doit tenir une conférence de presse sur les lieux à 11H00.

Le terrain occupé ce week-end durant la mobilisation, prêté par un agriculteur, était aussi désert; seules y subsistaient des tours de guet en bois édifiées par des manifestants.

Samedi, plusieurs milliers de personnes (4.000 selon les autorités, 7.000 selon les organisateurs) s'étaient réunies pour protester. Des affrontements ont éclaté quand des militants ont voulu pénétrer sur le chantier, avant d'être repoussés par les forces de l'ordre.

La "bassine" de Sainte-Soline, surnom donné par les opposants, est une des 16 réserves de plusieurs centaines de milliers de m3 qui doivent voir le jour dans les Deux-Sèvres. Élaboré par un groupement de 400 agriculteurs, le projet vise à rendre disponible de l'eau pour l'irrigation durant l'été, grâce au pompage des nappes phréatiques superficielles en hiver.

Ses partisans en font une condition de survie pour l'agriculture face aux sécheresses à répétition. Ses détracteurs dénoncent un "accaparement de l'eau" par "l'agro-industrie", doublé d'une aberration écologique à l'heure du changement climatique.

© 2022 AFP

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