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on gagne pas des millions sur la bourse mais on s éclate bien
) pour preuve : les écolos ne posent jamais de questions, mais toi, tu t’en poses. Donc, tu n’es ni écolo, ni idiot.
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Eh ! Si on couvre, c’est plus une bassine 🙄 donc plus d’affaire 😊
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@fpeu… « Si la bassine était enterrée, je suppose que sa couverture serait construite en béton, le coût serait très sensiblement supérieur pour un gain environnemental négligeable et nécessiterait à long terme des frais de maintenance importants. » Dont acte.
Cependant au Cern (accélérateur de particules fondamentales) par exemple des tunneliers sont capables de creuser à grande profondeur à plus de 100 m sous terre des tunnels très étanches et de plusieurs dizaines de km de long, certes avec du béton, mais qui restent invisibles depuis la surface et donc pas de manifs écolos même anti particules constituantes de la matière …. Donc pas trop difficile de remplir d'eau des tunnels réserves d'eau sous la surface du sol en principe sans toucher à la flore et à la faune ou si peu ?
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Bob1000
« « Suis pas écolo. Cependant je me pose la question idiote » »
Les questions sont rarement idiotes (*). Mais les réponses le sont beaucoup plus souvent.
(*) pour preuve : les écolos ne posent jamais de questions, mais toi, tu t’en poses. Donc, tu n’es ni écolo, ni idiot.
La plupart des écolos, y compris chez nos ministres, sont cons à brouter du trèfle à 4 feuilles. Ils ne connaissent que le retour en habitat en grotte, et faites l’amour, regardez les petites fleurs. Quand on leur parle d’économie, c’est le grand néant intersidéral.
« « pkoi pas une bassine sous terraine (non à ciel ouvert) » »
Je préfère le mot « souterraine » (un domaine que je connais fort bien, ( et aussi la construction et le T.P.) physiquement, géologiquement et hydro-géologiquement ) , qui est plus en accord avec l’orthographe (erreur faite même par les enseignants).
Mais revenons à la question : le coût en serait multiplié par X (3, 4, 5, 10 fois ?) , ce qui impacterait inévitablement le prix des productions, et donc, nos prix à l’achat de la nourriture.
A moins que nous n’acceptions de payer la baguette de pain 10 ou 15 euros l’unité !
Le tout est de savoir si nous voulons manger du pain ou des petites fleurs (toxiques ou pas, les fleurs). Question de choix.
Une autre solution moins onéreuse serait peut-être la couverture , partielle ou non, par un bâchage par film polyéthylène flottant ou sur-élevé.(comme pour les piscines privées)
Les quelques hectares de surfaces d’eau retenue sont des plus minimes par rapport au volume d’eau existant dans notre vase clôt planétaire.
Il faut savoir que la terre est une éponge imbibée, et que l’eau stockée reste toujours disponible. Et comme l'eau répond à la théorie de Newton, elle descend toujours plus bas (la pluie ou la douche, en sont un très bon exemple).
Reste le problème de la régulation du débit de cette restitution. Que ce soit sous terre, sur terre, ou dans la troposphère.
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Le chantier d'une retenue d'eau agricole contestée dans les Deux-Sèvres a repris mardi, une dizaine de jours après une manifestation de milliers d'opposants émaillée de heurts violents avec les gendarmes, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Les engins sont arrivés hier soir (lundi) et les travaux ont démarré ce matin" à Sainte-Soline, a confirmé à l'AFP Thierry Boudaud, président de la Coop de l'eau, groupement de 400 agriculteurs qui porte ce projet soutenu par l'Etat, destiné à construire de vastes réserves pour permettre l'irrigation l'été, grâce au pompage des nappes phréatiques superficielles en hiver.
Rien n'est venu pour l'instant perturber l'activité des pelleteuses. La "bassine" de Sainte-Soline, surnom donné par les opposants, est la deuxième des 16 réserves de plusieurs centaines de milliers de m3 qui doivent voir le jour dans ce département - une première a déjà été mise en service.
Les bénéficiaires des réserves se sont engagés en contrepartie, dans un protocole signé en 2018, à adopter des pratiques tournées vers l'agro-écologie. Leurs détracteurs y voient à l'inverse une "fuite en avant" du modèle "productiviste".
Lors du rassemblement du 29 octobre, certains opposants avaient réussi à forcer brièvement les grilles du chantier, avant d'être repoussés par une partie des 1.500 gendarmes déployés sur le site. Manifestants et forces de l'ordre avaient déploré des dizaines de blessés, une poignée d'entre eux ayant été hospitalisés.
Selon la Coop de l'eau, "il a fallu réparer une centaine de barrières mises à terre par les manifestants" mais cela "n'aura pas d'incidence sur le calendrier", qui prévoit une mise en service de la réserve au printemps 2024.
"La fermeté a payé, aucune ZAD (zone à défendre, ndlr) ne s'est installée", a-t-on commenté mardi dans l'entourage du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin. Six escadrons de gendarmerie, soit 400 à 500 gendarmes, ont été maintenus autour du site.
Après la manifestation, les opposants avaient édifié des tours de guet sur un terrain situé à deux kilomètres du chantier mais en précisant que leur objectif n'était pas d'organiser une ZAD. Ils avaient en revanche réclamé un moratoire au gouvernement.
Jean-Jacques Guillet, un des porte-parole du collectif "Bassines, non merci", a déclaré à l'AFP ne pas être "vraiment surpris par cette reprise des travaux".
"L'État s'obstine à vouloir passer en force alors que ce projet est d'une incohérence absolue, ce n'est pas la bonne méthode", a-t-il ajouté. "On va mettre en œuvre ce qu'on a annoncé, c'est-à-dire organiser un nouveau rassemblement qui sera d'une ampleur encore plus importante."
© 2022 AFP
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