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ATOS - Evidian vaut 7 MILLIARDS € !!! À lire !!! !!!

Cours temps réel: 1,799  -2,84%



Rollier1 Rollier1
19/01/2023 10:39:56
0

Alors Twarog, ça vaut toujours 40 € … minimum ? 😊

  
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papygaga papygaga
13/01/2023 15:04:39
0

bis repetita.

  
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Rollier1 Rollier1
13/01/2023 14:55:25
0

« je pense que les deux de la file ressemblent plus à ça :

...qu'autre chose.

ça radote et ça parle beaucoup pour ne rien dire à longueur de temps. »


Pas que cette file, je pense 😊

  
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papygaga papygaga
13/01/2023 14:25:50
0

Eh bien non ! car j'ai toute ma tête...


par contre, d'autres écrivent pour ne rien dire.

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
13/01/2023 14:14:00
1

En parlant de PP lésés..

je pense que les deux de la file ressemblent plus à ça :

...qu'autre chose.

ça radote et ça parle beaucoup pour ne rien dire à longueur de temps.

  
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papygaga papygaga
13/01/2023 12:07:32
0

@almas,

c'est tout justement l'enjeu. Il y a un risque.

On devrait tous jouer avec les mêmes règles, apparemment ça n'est pas le cas.

ce n'est pas pour autant que l'affaire n'est pas bonne.


quand à savoir, si c'est le beurre et l'argent du beurre, tu peux rajouter le c* de la crémière.

  
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Twarog Twarog
12/01/2023 20:56:23
1

à demain ! 👋

  
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Twarog Twarog
12/01/2023 17:59:16
1

T’as raison ! Minimum 40€ !


Pour le groupe présidé par Patrice Caine, pas question de s'alourdir d'activités de services de transformation numérique logées chez Evidian et donc d'acquérir... une SSII habilement embellie par certaines activités prometteuses. Sur les 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires d'Evidian, les activités Big Data et Sécurité pèsent moins de 30% des activités (1,5 milliard) et celles de cybersécurité 10% (soit 500 millions d'euros), selon nos informations.


C'est ce qui fait reculer Thales, qui a d'ailleurs déjà une SSII dans son périmètre pour ses propres besoins. En outre, Atos ne vend qu'une participation minoritaire (30%) et souhaite la céder au prix fort (1,2 milliard d'euros). Cette vente, si elle se finalise, lui permettra de financer la restructuration de ses activités historiques. Au total, Evidian est valorisée 7 milliards d'euros (dette comprise) par Atos. Enfin, cette participation minoritaire ne permet pas de faire jouer de synergies entre Evidian et l'acheteur, lequel devra lancer une OPA sur le reste du capital pour être majoritaire.


Airbus en pole ?


Intéressé par Evidian, Airbus a en revanche déjà ouvert des discussions avec Atos, comme l'ont révélé Les Echos. Le groupe européen logerait ces activités au sein d'Airbus Defence & Space, une division dirigée par les Allemands (Michael Schoellhorn). Plus précisément, elles atterriraient probablement chez Airbus Secure Land Communications, dirigé par le Français Olivier Koczan qui est supervisé par le Néerlandais Evert Dudok (Connected Intelligence), réputé très proche des intérêts allemands.


Pour Airbus, cette opération serait l'occasion de renforcer dans le cadre d'une stratégie de développement la digitalisation de son offre, notamment dans les « systèmes C2 » (multi-domaines / cloud de combat / C3I). Le SCAF fait certainement partie de l'équation. Airbus rattraperait une partie de son retard sur Thales dans ce domaine. « Atos est un partenaire, Atos est un fournisseur, Atos fait des activités de cybersécurité, donc on travaille avec eux et on réfléchit à l'avenir des relations avec Atos. C'est un partenaire très important pour nous, donc oui on discute avec Atos », a confirmé vendredi Guillaume Faury sur BFM Business.


Pour autant, cette opération pourrait embarrasser l'État français. Ce dernier s'inquiète de l'avenir d'Atos avec qui il a passé un certain nombre de contrats sensibles. Ce géant de la sécurité et de l'informatique pourrait rester sous pavillon tricolore pour des raisons de souveraineté. A l'État français de se prononcer. Et les interminables négociations entre Airbus et Dassault Aviation pour finaliser le pilier 1 du SCAF (NGF, ou New Generation Fighter) ont laissé des traces au sein du gouvernement français, notamment au ministère des Armées, qui n'a guère apprécié l'attitude du géant européen jugé trop proche des intérêts allemands.


« Airbus est une entreprise européenne, avec une grande présence en France, avec des activités qui sont (...) pour la défense de la France et pour des intérêts extrêmement souverains et on sait gérer ça. Donc, je n'accepte pas d'entendre qu'on n'est pas suffisamment français pour des activités de cybersécurité ou autres », a rétorqué vendredi Guillaume Faury sur BFM Business, rappelant l'« avantage considérable d'être une entreprise européenne » pour obtenir un « effet d'échelle ».




Atos a rejeté une offre du groupe Onepoint


Contacté par Reuters, Atos a indiqué avoir engagé, en lien avec la mise en œuvre de son plan stratégique, « des discussions exploratoires avec de potentiels futurs actionnaires minoritaires du périmètre d'activités regroupé sous le nom d'Evidian ». Le groupe a cependant précisé que « ces discussions ne sont pas suffisamment avancées pour permettre tout autre commentaire ». Atos a rejeté en septembre une offre de rachat d'Evidian pour une valeur d'entreprise de 4,2 milliards d'euros émanant du groupe Onepoint. Enfin, Orange serait également intéressé par les activités d'Evidian.

  
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papygaga papygaga
12/01/2023 16:25:02
0

d'accord avec toi, cependant, l'intervention de l'Etat pourrait être une nuisance pour les pp.

perso, je vise - à terme 40 €. (PR 9.11)

AMF : actionnaire

  
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Twarog Twarog
12/01/2023 16:18:14
1

Valorisation Atos seulement 1.4 milliards ! 😱

Très très faible !!!

  
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Twarog Twarog
12/01/2023 15:53:30
0

Sur les 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires d'Evidian, les activités Big Data et Sécurité pèsent moins de 30% des activités (1,5 milliard) et celles de cybersécurité 10% (soit 500 millions d'euros), selon nos informations.


C'est ce qui fait reculer Thales, qui a d'ailleurs déjà une SSII dans son périmètre pour ses propres besoins. En outre, Atos ne vend qu'une participation minoritaire (30%) et souhaite la céder au prix fort (1,2 milliard d'euros). Cette vente, si elle se finalise, lui permettra de financer la restructuration de ses activités historiques. Au total, Evidian est valorisée 7 milliards d'euros (dette comprise) par Atos. Enfin, cette participation minoritaire ne permet pas de faire jouer de synergies entre Evidian et l'acheteur, lequel devra lancer une OPA sur le reste du capital pour être majoritaire.

  
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papygaga papygaga
12/01/2023 15:10:48
0

si Atos doit rester sous pavillon français par décision politique, il sera nécessaire que l'Etat compense aux actionnaires le manque à gagner due à l'astreinte.

Ca, c'est pas gagné.

Avec EDF, les pp ont déjà donné... ( pas concerné personnellement).

  
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Twarog Twarog
12/01/2023 14:53:30
0

Pour le groupe présidé par Patrice Caine, pas question de s'alourdir d'activités de services de transformation numérique logées chez Evidian et donc d'acquérir... une SSII habilement embellie par certaines activités prometteuses. Sur les 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires d'Evidian, les activités Big Data et Sécurité pèsent moins de 30% des activités (1,5 milliard) et celles de cybersécurité 10% (soit 500 millions d'euros), selon nos informations.

C'est ce qui fait reculer Thales, qui a d'ailleurs déjà une SSII dans son périmètre pour ses propres besoins. En outre, Atos ne vend qu'une participation minoritaire (30%) et souhaite la céder au prix fort (1,2 milliard d'euros). Cette vente, si elle se finalise, lui permettra de financer la restructuration de ses activités historiques. Au total, Evidian est valorisée 7 milliards d'euros (dette comprise) par Atos. Enfin, cette participation minoritaire ne permet pas de faire jouer de synergies entre Evidian et l'acheteur, lequel devra lancer une OPA sur le reste du capital pour être majoritaire.

Airbus en pole ?

Intéressé par Evidian, Airbus a en revanche déjà ouvert des discussions avec Atos, comme l'ont révélé Les Echos. Le groupe européen logerait ces activités au sein d'Airbus Defence & Space, une division dirigée par les Allemands (Michael Schoellhorn). Plus précisément, elles atterriraient probablement chez Airbus Secure Land Communications, dirigé par le Français Olivier Koczan qui est supervisé par le Néerlandais Evert Dudok (Connected Intelligence), réputé très proche des intérêts allemands.

Pour Airbus, cette opération serait l'occasion de renforcer dans le cadre d'une stratégie de développement la digitalisation de son offre, notamment dans les « systèmes C2 » (multi-domaines / cloud de combat / C3I). Le SCAF fait certainement partie de l'équation. Airbus rattraperait une partie de son retard sur Thales dans ce domaine. « Atos est un partenaire, Atos est un fournisseur, Atos fait des activités de cybersécurité, donc on travaille avec eux et on réfléchit à l'avenir des relations avec Atos. C'est un partenaire très important pour nous, donc oui on discute avec Atos », a confirmé vendredi Guillaume Faury sur BFM Business.

Pour autant, cette opération pourrait embarrasser l'État français. Ce dernier s'inquiète de l'avenir d'Atos avec qui il a passé un certain nombre de contrats sensibles. Ce géant de la sécurité et de l'informatique pourrait rester sous pavillon tricolore pour des raisons de souveraineté. A l'État français de se prononcer. Et les interminables négociations entre Airbus et Dassault Aviation pour finaliser le pilier 1 du SCAF (NGF, ou New Generation Fighter) ont laissé des traces au sein du gouvernement français, notamment au ministère des Armées, qui n'a guère apprécié l'attitude du géant européen jugé trop proche des intérêts allemands.

« Airbus est une entreprise européenne, avec une grande présence en France, avec des activités qui sont (...) pour la défense de la France et pour des intérêts extrêmement souverains et on sait gérer ça. Donc, je n'accepte pas d'entendre qu'on n'est pas suffisamment français pour des activités de cybersécurité ou autres », a rétorqué vendredi Guillaume Faury sur BFM Business, rappelant l'« avantage considérable d'être une entreprise européenne » pour obtenir un « effet d'échelle ».


Atos a rejeté une offre du groupe Onepoint

Contacté par Reuters, Atos a indiqué avoir engagé, en lien avec la mise en œuvre de son plan stratégique, « des discussions exploratoires avec de potentiels futurs actionnaires minoritaires du périmètre d'activités regroupé sous le nom d'Evidian ». Le groupe a cependant précisé que « ces discussions ne sont pas suffisamment avancées pour permettre tout autre commentaire ». Atos a rejeté en septembre une offre de rachat d'Evidian pour une valeur d'entreprise de 4,2 milliards d'euros émanant du groupe Onepoint. Enfin, Orange serait également intéressé par les activités d'Evidian.

  
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