Retraites: pros et anti-réforme campent sur leur position

Troudnez

les pauvre c'est fait pour être très pauvre et le riche très riche (dixit) Don Salluste

nombreux sont les retraiter qui tire une retraite complémentaire des investissement en action qu'ils on fait

tout au long de leur vie . si tu veux de l'argent tourne toi vers tout ce qui ne font Rien et qui touche de l'état providence

des généreuse prestation sociales sans jamais avoir cotisé nulle part

Répondre

les dividendes proviennent des majors du CAC les dividendes distribués ont pour origine des pays étrangers ou sont les usines les plus rentables . demandez a renault pourquoi les clio sont fabriquées en Turquie ... taxe salaire taxe co2 non soumis a la règlementation européenne

Répondre

"Alors ?" Alors quoi...? Il s' agit de bénéfices et de profits, non de dividende, argent magique sorti du chapeau, indépendant de la qualité de la gestion d' une entreprise. Et donc faussant très souvent la perception du réel de l' état de santé de la-dite entreprise. "" Un dividende élevé n'est pas forcément perçu positivement, notamment parce qu'il arrive que des entreprises en difficulté paient de forts dividendes "".

On achète un titre la veille de la distribution, on revend le lendemain ; dites moi où est l' investissement productif ? Merci d' avance.

@doudouvieux : je réponds ou je ne réponds pas, c' est selon mon bon vouloir, et mon agenda surchargé. En l' occurrence il se pourrait qu' à votre prochaine question, je trouve autre chose à faire qu' à vous répondre... Veuillez ne pas m' en tenir rigueur.

Répondre

Et on répond à côté de la question comme dab.....

Répondre

Troudnez : en même temps, tu publies une judicieuse étude avec graphe a l'appui sur le forum pétrole ...

Alors ?

Répondre

La politique des dividendes est l' absolue perversion du capitalisme. Elle conduit à ce système de spéculation financière, mère de toutes les misères. Ce que je fais sur Abc ? Mais, œuvre caritative pardi ; juste pour vous ouvrir les yeux, pôvreux fous !

Sans doute ignorez vous que 89% des boursicoteurs perdent leur argent ? En fait vous encore partie ? https://www.europe1.fr/economie/Boursicoteurs-vous-avez-89-de-chances-de-perdre-de-l-argent-683666

N' hésitez pas à me remercier pour mes zoulis dessins, ma place au paradis des gurus en dépend ! ! !

Répondre

Troudnez, tu es choqué par les dividendes ????

Mais alors, que fais-tu sur un forum tel que celui d' ABC BOURSE ???

Moi j'aime bien les leçons qui visent à taper sur ceux qui prennent des risques......mais au fait, toutes les entreprises gagnent tant d'argent que ça ?????....Et ceux qui perdent tout, on les indemnise ??????

Donc, dans cette idéologie passablement naïve, il y aurait l'argent des méchants profiteurs, qu'il faudrait torpiller...pour le donner à ceux qui ne prennent pas aucun risque ( assistés sociaux ) ...mais au fait, qui va avaler pareille couleuvre ?????

Répondre

**Majorité présidentielle et opposants de tous bords à la réforme des retraites**

Arrêtons de nous bassiner avec des commentaires erronés car il n'y a pas de majorité présidentielle.

**"Nous sommes prêts au débat", a réaffirmé dimanche dans le JDD la patronne des députés Renaissance, Aurore Bergé, en égratignant au passage LFI qu'elle accuse de "déroule(r) le tapis rouge à l'extrême droite".**

Refrain bien connu destiné à faire peur aux Français et à les inciter à lever le pied.

Répondre

Si cette réforme était vraiment si indispensable et nécessaire, le texte aurait été voté depuis belle lurette... 🤣

En 2019, d'après un rapport du sénat, les retraités algériens au moins centenaires étaient de 980.000... 🤣

Alors qu'en France, à la même époque, il y en avait 20.000 !!!

Cherchez l'erreur...

Répondre

Et chaque année 80 milliards de dividendes évaporés des véritables circuits économiques et productifs et versés aux vautours et autres rapaces assistés de la bourse. Si c' est vraiment un seul problème d' argent, on devrait savoir faire ; mais encore faut-il en avoir la volonté..., politique.

Message complété le 12/02/2023 16:21:34 par son auteur.

Dividendes du CAC 40 : historique des montants versés
2022 : 56,5 milliards d’euros
2021 : 45,6 milliards d’euros
2020 : 28,6 milliards d’euros
2019 : 49,2 milliards d’euros
2018 : 42,7 milliards d’euros
2017 : 39,2 milliards d’euros
2016 : 40,7 milliards d’euros
2015 : 34,8 milliards d’euros
2014 : 36,2 milliards d’euros
2013 : 34,4 milliards d’euros
2012 : 32,3 milliards d’euros
2011 : 34,6 milliards d’euros
2010 : 33,8 milliards d’euros
2009 : 27,1 milliards d’euros
2008 : 43 milliards d’euros
2007 : 37,8 milliards d’euros
2006 : 31,2 milliards d’euros
2005 : 24 milliards d’euros
2004 : 16 milliards d’euros
2003 : 14,1 milliards d’euros

Répondre

170 milliards de bénéfices sur les 40 du Cac , et il faudrait...12 milliards, c.est bien ça ?

Soit 7 %

Répondre

Une réforme qui passe mal...même, très mal...... c'est un projet que le Pouvoir n'a pas su vendre, ou, en tous cas, n'a pas su démontrer le bien-fondé. Et le bien-fondé, pour moi , quel est-il ?...On ne peut qu'avoir des doutes à ce sujet, car si la problématique des déficits publics incontrôlés est une réalité, toutes les pistes possibles au règlement de ces déficits publics ont-elles été étudiées ???? - qu'en est-il des actions portant sur la lutte / aux fraudes sociales ???? ( Cartes SS en surnombre, ou retraités algériens de plus de 100 ans , vraisemblablement décédés qui continuent à percevoir leur pension ? ) - qu'en est-il des pistes évoquées / au dépoussiérage des textes réglementaires, en inflation permanente, , promesse du candidat Macron en 2017 ? ... plutôt que de vouloir supprimer des effectifs dont on sait qu'ils sont insuffisants dans certains secteurs ( justice, forces de l'Ordre, hôpital ) .

Répondre

Majorité présidentielle et opposants de tous bords à la réforme des retraites campent dimanche sur leur position au lendemain d'une 4e journée de mobilisation qui a permis aux syndicats de maintenir la pression et de brandir la menace d'une "France à l'arrêt".

Le bras de fer continue. En réussissant à rassembler pour la première fois un samedi, entre 963.000 et 2,5 millions de manifestants selon les sources, les syndicats unis emmenés par le binôme CFDT-CGT ont démontré au gouvernement qu'ils pouvaient toujours compter sur le soutien de la rue face au report de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.

La mobilisation, qui a notamment attiré un public composé de familles et d'opposants profitant de manifestations organisées un jour de week-end, a même connu un léger rebond par rapport à la journée de mardi (près de 2 millions, selon la CGT et 757.000, selon les autorités).

De quoi conforter l'intersyndicale dans sa stratégie. Celle-ci appelle à un cinquième acte le 16 février et agite le spectre, si le gouvernement d'Emmanuel Macron et le Parlement devaient rester "sourds" aux revendications, d'une "France à l'arrêt" le 7 mars, soit après les vacances scolaires.

"La balle est dans le camp" de l'exécutif, a déclaré le leader de la CGT Philippe Martinez avant la manifestation parisienne.

Sur son blog, le leader LFI Jean-Luc Mélenchon a samedi soir de nouveau proposé aux syndicats, "une nouvelle convergence" avec à la clef un rassemblement "un samedi ou dimanche de mars pour entourer en masse l’action".

En projetant leur mobilisation sur près d'un mois, les syndicats tirent-ils déjà un trait sur les chances de voir trébucher la réforme à l'Assemblée qui entamera lundi après-midi sa deuxième semaine de débats?

- Bergé contre "la voie du blocage" -

La première semaine d'examen s'est achevée cahin-caha dans le tumulte d'une polémique soldée par l'exclusion pour 15 jours d'un député LFI sanctionné pour avoir posé, dans un tweet, le pied sur un ballon à l'effigie du ministre du Travail Olivier Dussopt.

Surtout l'examen du texte avance à pas comptés. Les syndicats réclament qu'à l'Assemblée, l'article 7, qui porte la mesure d'âge, puisse faire l'objet d'un débat et d'un vote. Mais rien n'est moins sûr, alors que les députés de la Nupes ont déposé des milliers d'amendements.

Un total de 15.867 restent à examiner. Les débats doivent se terminer vendredi à minuit.

"Nous sommes prêts au débat", a réaffirmé dimanche dans le JDD la patronne des députés Renaissance, Aurore Bergé, en égratignant au passage LFI qu'elle accuse de "déroule(r) le tapis rouge à l'extrême droite".

Mais si la députée des Yvelines juge "invraisemblable d’être sourd face à la contestation" de la rue et se montre soucieuse de ne pas "couper le fil du dialogue", elle n'en demeure pas moins inflexible sur les fondamentaux de la réforme et met en garde les syndicats tentés par la "voie du blocage".

L'épilogue du conflit semble loin et le moment a plutôt des allures de veillée d'armes entre chaque camp soucieux de prendre l'opinion publique à témoin et peut-être demain en juge de paix.

La diffusion d'images d'un mannequin gonflable censé représenter Elisabeth Borne pendue à une potence lors du défilé marseillais, sur BFMTV, a ainsi suscité l'indignation sur Twitter du ministre de l'Agriculture Marc Fesneau et du secrétaire général de Renaissance, Stéphane Séjourné, qui ont dénoncé pour l'un un "pousse au crime" et pour le second "une incitation au meurtre".

Pour sa part la cheffe de file des députés RN Marine Le Pen, qui n'avait pas appelé à manifester, a jugé samedi soir qu'"après cette nouvelle journée de mobilisation (...), l’exécutif ne (pouvait) pas continuer à regarder ailleurs en refusant d'entendre les Français".

© 2023 AFP

Répondre