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Retraites: la droite plus que jamais courtisée, des blocages persisten

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vlfr006 vlfr006
13/03/2023 17:36:35
1

Attends moi

  
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moicmoi moicmoi
13/03/2023 17:27:38
1

Fibopivots
« « En France , les batailles de clochers, c'est la norme depuis.....
» »

depuis..... Asterix ?

  
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Fibopivots Fibopivots
13/03/2023 15:54:10
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En France , les batailles de clochers, c'est la norme depuis.....

  
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jamariuscky jamariuscky
13/03/2023 15:16:31
0
La façon dont cette réforme a été conçue (sans dialogue réel) m'indispose et la façon dont elle est combattue m'indispose tout autant. J'ai le sentiment désagréable que tout le monde voulait aller à l'affrontement. Chacun souhaitait pouvoir montrer ses muscles, à commencer par la CGT qui , en période de renouvellement de son secrétaire général, doit se montrer la plus combative aux yeux des idiots utiles que nous sommes. Dans le fond, j'ai l'impression que les idiots utiles pensent qu'une réforme est nécessaire mais pas obligatoirement celle-ci. Perso je n'ai toujours pas compris pourquoi la réforme "retraite par point" avait été totalement abandonnée sans profiter des années "COVID" pour en améliorer le contenu. Et pourquoi ne pas en introduire progressivement le principe ?
  
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jamariuscky jamariuscky
13/03/2023 15:15:58
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Gabriel Attal, ministre délégué aux Comptes publics, lors du débat au Sénat à Paris, le 6 mars 2023
Gabriel Attal, ministre délégué aux Comptes publics, lors du débat au Sénat à Paris, le 6 mars 2023 (AFP/Archives/Alain JOCARD)

Le gouvernement, déterminé à ne pas recourir à l'article 49.3, était plus que jamais lundi à la merci des voix de droite pour faire adopter sa réforme des retraites. L'épilogue parlementaire se profile et la mobilisation semble s'essouffler même si des blocages persistent.

"Aujourd'hui, on ne voit pas pourquoi il faudrait utiliser le 49.3", a assuré Gabriel Attal, le ministre délégué aux Comptes publics, sur France Inter. "Si chacun est cohérent avec les engagements, les déclarations qu’il a faites devant les Français (...) il y a une majorité pour voter le texte".

Un discours également martelé sur LCI par le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran: ce n'est pas "un outil qu'on aurait dans la poche, prêt à dégainer".

Etre obligé d'avoir recours à cet article serait perçu comme un signe politique ravageur, susceptible d'attiser les tensions sociales. D'autant que, sur cette réforme très controversée, le gouvernement a déjà choisi de restreindre à 50 jours le débat au Parlement et de dégainer au Sénat un outil lui permettant un vote bloqué sur l'ensemble du texte.

Dans ce contexte inflammable, après le feu vert samedi du Sénat en faveur du projet du gouvernement, la chasse aux voix reste cruciale pour l'exécutif.

"Je ne vais pas vous sortir le calcul précis" des voix espérées, a indiqué Olivier Véran.

Dans le camp de la majorité (Renaissance, Horizons et Modem), "s'il nous manquait des voix, ce serait véritablement anecdotique, on a les conditions pour qu'il ne nous (en) manque pas", a-t-il assuré, malgré les réticentes affichées par plusieurs parlementaires.

Mais l'incertitude régnait toujours sur le vote de plusieurs députés LR.

Et les tractations vont se poursuivre pendant cette semaine décisive: mercredi, elles battront leur plein en commission mixte paritaire (7 députés et 7 sénateurs) dans l'espoir qu'Assemblée nationale et Sénat tombent sur un accord, qui devra être ensuite validé jeudi.

Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire n'hésite pas à mettre la pression sur son ancienne formation, Les Républicains. "Ce serait lunaire d'avoir un parti qui vote un texte au Sénat et qui ne le vote pas à l'Assemblée nationale", a-t-il souligné sur franceinfo.

Il a aussi rappelé que certaines concessions sur les carrières longues faites aux LR sous l'impulsion du député Aurélien Pradié pourraient ne pas se retrouver dans le texte final.

Selon une source au sein de l'exécutif, Matignon devrait réunir en fin d'après-midi les parlementaires de la majorité pour préparer le terrain.

- "Aveu d'échec" -

Du côté des oppositions, l'éventuel recours au 49.3 serait en tout cas considéré comme un casus belli. Des discussions sont déjà en cours pour déposer "des motions de censure", a averti sur franceinfo le député centriste (LIOT) Charles de Courson.

Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, lors d'une manifestation contre la réforme des retraites, le     16 février 2023 à Albi (sud de la France)
Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, lors d'une manifestation contre la réforme des retraites, le 16 février 2023 à Albi (sud de la France) (AFP/Archives/CHARLY TRIBALLEAU)

Ce serait un "terrible aveu d'échec de ce gouvernement", a mis en garde le président du groupe écologiste au Sénat, Guillaume Gontard, le patron de la CFDT Laurent Berger, dénonçant "une forme de vice démocratique".

Sur le front social, la mobilisation s'est essoufflée samedi, septième journée d'actions organisée par l'intersyndicale.

Et les Français, toujours majoritairement hostiles à la réforme, sont désormais convaincus qu'elle sera votée et appliquée, d'après les derniers sondages.

La circulation des trains est "en nette amélioration", mais reste perturbée sur la plupart des lignes, a indiqué la direction de la SNCF. Trois TGV Inoui et Ouigo sur cinq devraient circuler et le trafic sera "fortement perturbé" au niveau régional, avec un TER sur deux en moyenne.

La grève se poursuit dans plusieurs raffineries notamment celle d'Esso-ExxonMobil de Fos-sur-Mer et de PétroIneos de Lavera(Bouches-du-Rhône).

Une incertitude pèse en revanche sur la poursuite du mouvement dans celle de TotalEnergies en Normandie, la plus importante de France, et celle de Feyzin (Rhône).

En attendant, des monticules de poubelles s'entassaient dans plusieurs villes de France. A Paris, 5.400 tonnes de déchets restaient non ramassées dimanche, selon la mairie.

© 2023 AFP

  
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