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Pas que le PS !!!
Moi qui suis un peu l’actualité, je crois savoir que de nombreux députés LR, PS, Centristes, écolos, et peut-être PC ont retourné leur veste pour aller lécher le cul de macron.
Trahisant de la sorte leurs électeurs qui ont voté CONTRE macron, Jetant aux orties leurs convictions, leur soi-disant opposition, et les bulletins de vote de leurs électeurs. La gamelle, la gamelle, la gamelle, …c’est leur seule préoccupation.
Ils se sont tous arrangé , y compris les opposants opposés, à ne pas faire tomber ce Gvt, alors qu’ils en avaient DES occasions. Pas UNE, mais DES.
La raison en est bien simple : il est plus confortable et rémunérateur de bouffer dans la gamelle macroniste, ou de se vautrer sous la bannière « opposition » sans prendre de risques.
Et de plus, de repasser par les bureaux de votes pourrait fort bien en laisser un bon paquet sur la touche.
En ce moment, les politicons ne sont pas en odeur de sainteté.
Et tout ce cinéma est très révélateur du pourquoi de leur « engagement » politique.
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et ne pas oublier les amis que cette comédie grotesque LREM depuis cinq ans c'est bien le PS au fond, oui ce parti lamentable, hypocrite et pourri qui a tué la France en 1981 pour rappel...
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et ne pas oublier les amisque cette comédie grotesque LREM depis cinq ans c'est bien le PS au fond, oui ce parti lamentable, hypocrite et pourri qui a tué la France en 1981 pour rappel...
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Dubaisan
« « Bonjour MCM,
"...en baisant drastiquement les impôts.....//.. "baiser les impôts" c'était un sport national...? »
Gneu gneu gneu …..Ben v’là au’t’ chose.
Depuis quand j’aurais pas le droit de baiser les impôts ?
M’enfin….
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Je pense que la meilleure solution c'est d'ignorer complètement ce personnage et ses sbires. Ce que je fais. Plus de radio, plus de télévision. Boycotte complet.Je ne dépend de personne et cela me va bien.
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Bonjour MCM,
"...en baisant drastiquement les impôts..."
Je croyais que "baiser les impôts" c'était un sport national...?
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Il y avait une priorité des plus urgentes à régler : le pouvoir d’achat des Français.
Je pense que tous les Français seront d’accord avec moi sur ce point. Et macron peut régler ça d’un trait de plume, en sortant du Marché européen de l’électricité.
Mais voilà, on ne touche pas , bicause les Bruxellocrasses diront NEIN !, et que l’inflation galopante , voulue et entretenue par le Gvt, fait rentrer abondance de picaillons dans les caisses de l’état.
Seconde priorité urgente (ex aequo): donner de la compétitivité aux entreprises françaises en baisant drastiquement les impôts - et tout particulièrement, le train de vie de l’état- Et croyez-moi, il y a beaucoup de grains à moudre.
Il y a 6 ans, il a promis de réduire le nombre de parlementaires. Qu’en est-il ?
Il y a 6 ans, il a promis un gouvernement exemplaire (sans préciser dans quel sens.) Qu’en est-il ? – à ce jour, plus de 30 mis en cause.)
« « Reste à savoir comment il va s'en sortir le 14 juillet ? » »
En portant des boules Kies.
Les casseroles seront interdites, au même titre que les kalach, et autres bâtons, fourches, etc…
Ensuite, des beaux discours à la télé, suivies par « 15 millions » de Français. Des promesses de rasage gratis. Du pipeau, encore du pipeau, et toujours du pipeau. Et les journaleux vont crier Hip hip hip hourra,
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15 millions selon la police? Le cac est à 75000 alors !
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Depuis son allocution, on peut constater le tour de force déployé par sa valetaille. Darmanin, Borne, Le Maire et même le Président s'efforcent d'offrir des sucreries pour adoucir l'humeur des manifestants (permis à point, renouvellement des papiers d'identité, prolongation de l'assistanat de l'Etat, augmentation des salaires des enseignants). On fait feu tous azimuts mais je prends le pari que celui-ci s'éteindra très vite.
Un bonne âme a soulevé que l'augmentation des salaires des enseignants proviendrait dans le futur des cotisations perçues sur le rallongement du départ à la retraite.
Du grand n'importe quoi. Reste à savoir comment il va s'en sortir le 14 juillet ?
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Peut-être qu'i ne cherchait pas à convaincre, comme un peu on n'insiste pas à donner de l'eau à un âne qui n'a pas soif.
Peut-être était-ce plus fin?
Avait été dit auparavant: "faut pas humilié les syndicats".
Avec son allocution il n'a rien dit car les ânes n'avaient plus soif, par contre en matière d'humiliation sans le dire ce fût parfait.
Et maintenant il fait un tour de France pour narguer de près tous les ânes qui braient. Bruit de fond qu'il n'entend pas, puisque le troupeau a dit qu'il était sourd.
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SONDAGE - Selon l'enquête Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, une écrasante majorité des Français ont trouvé «ratée» l'allocution du chef de l'État.
Ils étaient un peu plus de 15 millions, lundi soir, devant l'allocution d'Emmanuel Macron.( 15 millions? ça me paraît beaucoup. Mais enfin, s'ils le disent....sachant de quel côté penchent les médias)
Mais seule une poignée d'entre eux a été convaincue, comme le révèle notre dernier sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Une écrasante majorité des Français (78%) jugent même que le chef de l'État a «raté» son intervention télévisée. «Jamais Odoxa n'avait enregistré un score aussi bas», pointe la directrice de l'institut, Céline Bracq.
Lors de sa dernière interview, le 22 mars dernier, durant laquelle il défendait sa réforme des retraites, le chef de l'État était parvenu à convaincre 23% des Français, contre 22% au lendemain de son allocution.
Voilà qui répond un peu à ma question ci-dessous qui était : « Ce serait bien que les journaleux nous donnent le score d'écoute. »
Cela éclairera peut-être la lanterne bien falote de certains esprits obtus bouchés à l’émeri , genre Nova, qui ne veulent pas voir les vrais chiffres.
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Vide, nullité et absolue hypocrisie, ce personnage immonde doit etre destitué
(tout comme ce gouvernement indigne depuis cinq ans)
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Ce serait bien que les journaleux nous donnent le score d'écoute.
ça ne doit pas être terrible, vu que la plupart des gens savaient à l'avance ce qu'il allait raconter : du bla bla bla et de l'auto-satisfaction.
Et taïaut ! taïaut ! taïaut ! Sus aux Français pour la suite de son programme.
C'est quoi, la suite ? L'indemnisation du chomage ? les allocs ? Les 35 heures ? La sécu ?
Y a encore de la brioche sur la planche, à défaut de pain.
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De son intervention, on ne retient qu'une chose **LE GRAND VIDE**.
A nouveau, il n'a rien compris à ce qui se passe en France. On sent le début d'une fin de règne.
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C'est le rôle des oppositions de s'opposer.
Mais étriller quelqu'un avant qu'il ne parle parle c'est fort de café non?
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A la veille de la prise de parole d'Emmanuel Macron, les oppositions ont continué dimanche à pilonner ses "provocations" et son "déni" de la situation de crise, tandis que l'exécutif veut passer à l'après-réforme des retraites.
Le chef de l’État s'exprimera lundi à 20H00 sur les principales chaînes, dans une allocution très attendue, trois jours après la promulgation de la loi repoussant l'âge légal de la retraite de 62 à 64 ans.
Après cette réforme "dure et compliquée", "il est normal que le président revienne devant les Français pour redonner le cap", expose un conseiller de l'exécutif.
Mais pour la présidente des députés RN Marine Le Pen, le "choix" se limite pour Emmanuel Macron à "trois solutions": référendum, dissolution de l'Assemblée ou démission, a-t-elle lancé au Grand Jury RTL-Le Figaro–LCI.
La responsable d'extrême droite est revenue sur la promulgation éclair de la réforme vendredi, dans la foulée de la validation de l'essentiel du texte par le Conseil constitutionnel: cela "démontre qu'il est encore dans un état d'esprit de provocation", a-t-elle jugé.
L'intersyndicale, qui a prévu de se réunir à nouveau lundi, n'a pas déposé les armes et a déjà appelé à faire du 1er mai "une journée de mobilisation exceptionnelle et populaire" contre la réforme.
A gauche, le coordinateur de LFI Manuel Bompard maintient dans le JDD que la "seule option" d'Emmanuel Macron reste "le retrait de ce texte".
"Le président devrait être le garant de la concorde. Il est profondément disqualifié pour gouverner le pays", a aussi accusé le député EELV Julien Bayou sur Europe 1.
La Première ministre Élisabeth Borne l'a assuré samedi devant les cadres du parti présidentiel Renaissance: "Nous sommes déterminés à accélérer" les réformes après celle des retraites.
Une semaine plus tôt, elle avait pourtant estimé qu'il ne fallait "pas brusquer les choses", évoquant un "besoin d'apaisement".
Le patron du MoDem et allié François Bayrou a fait entendre sa différence dimanche: "je ne suis pas du tout sûr que le mot accélérer soit exact". Après un "dialogue de sourds" entre l'exécutif et les syndicats, il a plaidé sur LCI pour "réinventer la démocratie sociale en France".
Le ministre des Transports Clément Beaune a de son côté certifié auprès de BFMTV qu'il ne s'agissait pas de "faire comme si le pays n’avait pas exprimé un certain nombre de choses par des manifestations nombreuses".
- Pas de "retraite bis" -
"Accélérer quoi? Le mépris?", a demandé pour sa part la députée LFI Clémentine Autain lors du Grand entretien France Inter-Franceinfo-Le Monde. Elle juge que la réforme des retraites est "légale" désormais mais pas "légitime", et promet un concert de "casseroles" au moment de l'intervention d'Emmanuel Macron lundi soir.
Le ministre du Travail Olivier Dussopt a en revanche récusé tout "mépris": "Bien au contraire, il y a une volonté de travailler avec tous", a-t-il affirmé lors du Grand Rendez-vous d'Europe 1/CNews, appelant de ses vœux une reprise du dialogue social.
Il faut à l'avenir "faire peut-être différemment, avec une méthode différente, plus consulter, plus organiser les choses", a appuyé le secrétaire général de Renaissance Stéphane Séjourné. "Personne ne veut refaire la retraite bis, je vous rassure".
Il a cependant voulu, sur France 3, "tuer deux idées": celle "qu'il faudrait un virage à gauche ou à droite" et celle selon laquelle "la France serait sur pause".
Les Républicains, dont la direction a soutenu la réforme des retraites, ont été plutôt discrets ces dernières heures. Mais Xavier Bertrand, président (LR) des Hauts-de-France, n'a pas épargné Emmanuel Macron: il doit "sortir du déni" sur son absence de majorité absolue et son incapacité à mener toute "réforme d'ampleur".
L'ancien ministre du Travail a lui aussi appelé à mettre "un terme à toute cette tension" dans le pays, sous peine de sombrer dans "un chaos".
© 2023 AFP
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