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près de 40 degrés, des records de température battus pour un mois davr



blackleroc blackleroc
14/05/2023 11:53:25
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O Gran Camino - Maassen : «Les coureurs, ils pleuraient de froid... »

Publié le 23/02/2023 à 16:25 par Nicolas GAUTHIER.


La 1ère étape d'O Gran Camino n'a pu aller à son terme ce jeudi ! Une tempête de neige - agrémentée d'un froid glacial - s'étant abattue sur les coureurs à 30 kilomètres de l'arrivée, ces derniers ont mis pied à terre une dizaine de bornes plus loin et la direction de course a pris ensuite la décision d'annuler purement et simplement l'étape. Directeur sportif de la formation Jumbo-Visma, qui compte notamment dans ses rangs Jonas Vingegaard, Frans Maassen est revenu sur l'arrêt de la course au micro de WielerFlits.

Vidéo - Neige et froid en Galice... la 1ère étape arrêtée !


  
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JMiegeville JMiegeville
01/05/2023 14:04:32
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20 ans, vous plaisantez, c'est en siècles qu'il faut compter l'existence des constructions mettant à profit leur inertie pour assurer la survie de leurs occupants, le bien-être étant une préoccupation contemporaine.

Je souhaitais mettre en évidence trois faits.

Le mode de construction prévalant en France est dû à l'importance de la part l'électricité d'origine nucléaire pour le chauffage et la climatisation des bâtiments. Il a largement contribué à son développement.

Cette spécificité perdure du fait d'un système (concepteurs, constructeurs, négoce) faisant barrage au changement.

Seules les alternatives permettant de doper le commerce et doper la croissance à court terme font l'objet d'une promotion et d'aides attirant immédiatement les requins.

Les pompes à chaleur en sont le plus bel exemple.

A puissance égale quelles sont les différences entre une pompe à chaleur de piscine et une pompe monobloc destinée à remplacer une chaudière?

- l'échangeur qui dans un cas doit résister à une pression un peu plus élevée, ou à l'eau chlorée ou salée dans l'autre

- une pompe de circulation et un vase d'expansion intégrés en supplément, équipements simples et peu onéreux pour la relève de chaudière

- une charge de gaz et un réglage de détendeur differents pour obtenir une eau un peu plus chaude.

Sinon le reste, compresseur, évaporateur, ventilateur, électronique, vannes pour l'inversion de cycle, habillage, est identique puisque répondant à la même finalité, réchauffer de l'eau en puisant des calories dans l'air ambiant.

Le prix par contre n'est pas du tout le même, c'est x2 x3 x4 preuve que les aides fiscales à l'installation de pompes à chaleur pour le chauffage, ne bénéficient pas aux consommateurs mais aux constructeurs et à toute une constellation de margoulins.

Les aides plutôt que de se concentrer sur ces systèmes et finir dans des produits pratiquement tous importés, devrait permettre un grand mouvement de rénovation et d'isolation du bâti existant.

La durée de vie d'une isolation étant sans commune mesure avec celle d'une PAC, un tel choix profiterait à la collectivité et à l'environnement.


  
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moicmoi moicmoi
30/04/2023 19:14:13
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Pour info.
Cela fait bien 20 ans qu’est né et appliqué le concept de construction passive ( isolation extérieure [j’ai vu jusqu’à 15 cm d’épaisseur, 30cm laine de verre en combles perdus], VMC double flux et vitrages isolants double voire triple vitrage[ il y a au moins 40 ans], toiture végétalisées. Certaines revendant l’électricité produite par elles.

Les pompes à chaleur existent depuis au moins 40 ou 45 ans. On peut se poser la question pourquoi il n’y a pas afflux de commandes ?
Certes, il y aura toujours des efforts à faire, mais ce sera « que d’chique ».
Et il faut considérer le surcoût induit, et la chute des demandes de permis de construire, et les conséquences sur l’emploi.

  
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JMiegeville JMiegeville
30/04/2023 15:29:36
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Il faudrait surtout penser à revoir radicalement les méthodes de construction.

En France les systèmes à faible inertie hérités de l'utilisation massive de l'électricité d'origine nucléaire pour le chauffage sont majoritaires.

La structure de la construction est soumise aux variations climatiques, et l'isolation est placée à l'intérieur ce qui permet de faire varier la température avec une puissance limitée puisque la masse concernée est plus faible.

Entreprises et réglementation thermique correspondent à cette configuration et malgré la perspective du réchauffement climatique rien ne change.

Positionner la structure à l'intérieur et l'isolation à l'extérieur comme un manteau comporte de multiples avantages.

En hiver, cela permet d'éviter les pics de consommation résultant d'une demande simultanée de tous les dispositifs de chauffage.

En été, l'ambiance intérieure évolue lentement du fait de l'inertie thermique de la construction. Un systeme de ventilation nocturne ou une climatisation de faible puissance peut ainsi maintenir une ambiance intérieure confortable.

Pour changer les choses il faudrait se décider à prendre en compte l'inertie thermique ce qui supposerait des changements dans la conception, l'architecture, les métiers du bâtiment, et les produits fournis par le négoce. Mais vu la puissance des lobbies....

Pour le confort d'été des méthodes alternatives sont néanmoins possibles.

Beaucoup de maisons comportent un plafond en placoplâtre fixé sur une charpente légère, une couverture en tuile et une isolation soufflée ou déroulée. En été la température de ces combles perdus monte très largement au dessus de 50°C du fait de l'impact du soleil. La ventilation mécanique des combles (un extracteur alimenté par un panneau solaire par exemple) permet de réduire la température des combles et de limiter l'élévation de la température intérieure.

D'autres alternatives peu onéreuses existent hiver comme été mais ne font l'objet d'aucune promotion. Le développement durable doit avant tout alimenter l'économie.

  
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Fibopivots Fibopivots
30/04/2023 07:20:29
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Plus de 30 usines de dessalement d.eau de mer en Espagne.

En Belgique ils recueillent l'eau de pluie depuis longtemps.

Ici, nos chers responsables continuent de réfléchir !

  
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blackleroc blackleroc
27/04/2023 21:56:19
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Alexandre Dalifard 17h24, le 19 janvier 2023

Iakoutsk, considérée comme étant la "ville la plus froide du monde", est de plus en plus glaciale. Avec des températures enregistrées à -62,7 degrés, la ville russe située en Sibérie a établi un nouveau record de froid. Cela faisait plus de 20 ans que les températures n'avaient pas été aussi basses.

  
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FEREZE FEREZE
27/04/2023 21:49:19
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Va falloir assurer les climatisations on peut viser les 45 voir 50 degrés cet été.


  
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FEREZE FEREZE
27/04/2023 21:39:05
0

Une canicule historique frappe l'Espagne. D'ici samedi, des dizaines de records de température seront battus partout dans le pays.

Des nuits tropicales, une chaleur extrême. La première grande canicule de l'année frappe l’Espagne. À cause de ces fortes chaleurs, très précoces et exceptionnelles pour un mois d’avril, des premiers records de température ont été battus ces derniers jours. "Il est très probable que le pic de cet épisode soit atteint jeudi et vendredi", a indiqué l'agence météorologique espagnole (Aemet), qui a évoqué "des maximales plus proches de celles de début juillet et des records généralisés pour un mois d'avril". Une baisse des températures est attendue samedi.

Ce phénomène est lié à une masse d’air chaud venu d’Afrique et qui remonte vers l’Espagne. Elle ne devrait pas arriver en France. Mais le Portugal et le Maroc sont aussi durement touchés. Ces pays sont les premiers à pâtir des conséquences du réchauffement climatique.

36 degrés à Séville

Ces fortes chaleurs ont commencé en début de semaine. Des premiers records sont tombés, surtout dans des villes du sud : 37,1 degrés à Moron de la Frontera, 36,6 degrés à Jérez, 35,7 degrés à Cordoue et 36 degrés à Séville. Au Maroc, Marrakech a aussi battu un record de chaleur, avec 40 degrés mercredi. Du jamais vu en avril. Mais le thermomètre doit atteindre des sommets aujourd'hui, jeudi. Vers 15 heures GMT, le thermomètre était ainsi déjà monté à 38,7°C à Cordoue (sud) et à 37,8°C dans la province de Séville, selon les relevés de l'Aemet.

D'autres records attendus vendredi

Selon le quotidien El Pais, dans 28 capitales régionales, où vivent plus de huit millions d’habitants, des records de température seront battus. À Grenade, dans le sud, le maximum était de 31,25 degrés, relevé début avril 2011. Vendredi, 37 degrés sont attendus. À Jaén, près de Grenade, 37 degrés seront atteints vendredi, soit cinq de plus que ceux enregistrés en avril 1985. À Albacete, à l’est, le dernier record datait de 1977, il doit être battu de cinq degrés, avec jusqu'à 36 degrés selon les prévisions.

À Soria, Burgos ou Valladolid, les 30 degrés n'avaient jamais été atteints en avril. Cela doit être le cas d’ici samedi. D’après les prévisions de l’agence météorologique, à Saragosse et Madrid, 1,5 degré de plus que le maximum historique est prévu.

Une sécheresse historique

Le pays est en première ligne face aux conséquences du changement climatique. L'Espagne a connu l'an dernier son année la plus chaude jamais enregistrée, avec plusieurs vagues de chaleur à partir du mois de mai, selon l'Aemet. Selon une étude de l'Université polytechnique de Barcelone publiée mardi, le nombre de jours de l'année aux températures estivales est passé en Espagne de 90 à 145 entre 1971 et 2022. Toujours sur cette période, les épisodes de vagues de chaleur diurnes ont été multipliés par sept et les nocturnes par près de 11, tandis que la température a augmenté en moyenne de 3,54 degrés dans les principales villes espagnoles.

Ces canicules accentuent la sécheresse catastrophique. Selon le Coag, principal syndicat d'agriculteurs, 60% des terres agricoles espagnoles sont actuellement "asphyxiées" par le manque de précipitations.

  
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