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Malgré les promesses de retour à la rigueur budgétaire, le gouvernement met un petit coup de quoi qu'il en coûte dans les PO.
Ils ont pris maintenant l'habitude de racheter leur imprévoyance à coup d'indemnisations et sont incapables de sortir de ce cercle vicieux.
Si cette politique continue et que les effets du réchauffement climatique sont en ligne avec les prévisions, le désastre est garanti.
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En France, nous avons : des bassins réservoirs pour produire de l’électricité , des barrages-réservoirs pour protéger Paris des inondations (lac du Der et lac d’Orient), des carrières réhabilitées et inondées, …des rivières partiellement dérivées pour alimenter des biefs de moulins à aube.
Alors pourquoi pas des biefs tout au long des fleuves et rivières pour remplir des bassines ?
Les problèmes du foncier et du financement ne sont pas insolubles : en supprimant 450 députés et 350 sénateurs, et en ne conservant que des ministères régaliens, on dégagerait plus de pognon qu’il n’en faut .
Et en plus, cela ferait baisser la température de l’air.
Ah oui ! on a aussi des écolos qui ne voudraient nous faire retourner dans des grottes et bouffer des racines, et qui s’opposent aux bassines.
Et aussi le GIEC qui ferait la gueule si jamais cela faisait baisser le niveau des océans . Eux qui nous prédisent (sans pouvoir rien prouver) la montée des océans.
Ils sont assez tordus pour « pousser » à la manif encore plus les anti-bassines.
Et pis quoi ?...nos cultivateurs peuvent bien crever : on achètera toute notre bouffe à l’étranger. (aux ricains, par exemple)
Pourquoi se faire chier pour produire en France ? Y’a qu’à acheter.
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Usines de dessalement ?
Citernes de récupération ?
En Belgique ça fait des années que tout le monde récupère l'eau de pluie.
Après, on ne sait s.ils la consomment ?
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Fibopivots
« « Il faut prendre des mesures assez vite. Les bons exemples ne manquent pas, » »
Mais surtout pas des mégas bassines, comme en Charente.
Mieux vaut bouffer de la terre sèche que des légumes verts.
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Il faut prendre des mesures assez vite. Les bons exemples ne manquent pas,...à commencer par la Catalogne et l' Espagne tout à côté !
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Le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau, en visite samedi dans les Pyrénées-Orientales, a promis aux agriculteurs qu'il seraient indemnisés des pertes subies à cause de la sécheresse exceptionnelle qui frappe le département.
"Il y a de la détresse chez ces gens qui ne peuvent pas avoir accès à l'eau, qui peuvent tout perdre", a déclaré le ministre lors d'une conférence de presse dans une coopérative fruitière qu'il venait de visiter à Ille-sur-Têt.
"On couvrira la perte de récoltes ou la perte de fonds", a-t-il ajouté, faisant notamment allusion aux arboriculteurs susceptibles de perdre non seulement leur récolte mais également leurs arbres.
"Il faut qu'on accélère le dispositif" pour que les indemnisations puissent être touchées plus rapidement que d'habitude, a également estimé M. Fesneau.
"On ne peut pas payer les agriculteurs en avril 2024. C'est une situation de crise comme le Covid", a-t-il affirmé.
Guy Banyuls, un exploitant à qui le ministre a aussi rendu visite à Espira-de-l'Agly, a affirmé qu'il n'y avait "rien de concret aujourd'hui" en matière d'indemnisations, qualifiant sa situation de "catastrophique".
Alors que ses vignes devraient survivre à la sécheresse, il craint de voir périr la totalité de ses abricotiers, faute d'eau. "Il faudrait des pluies conséquentes", a-t-il dit.
A Ille-sur-Têt, les gendarmes ont tenu à quelque 200 mètres de distance une trentaine de manifestants brandissant des drapeaux CGT qui faisaient sonner leurs casseroles.
Des mesures "de crise", dont de nouvelles restrictions d'eau, doivent être annoncées mardi par le préfet des Pyrénées-Orientales, puis entrer en vigueur mercredi, notamment dans "les territoires de la Têt et de l'Agly", deux fleuves côtiers traversant une partie du département.
Ce département frontalier avec l'Espagne est le plus touché par la sécheresse en France. Il n'a pas connu une situation comparable depuis 1959, date des premières mesures de ce type par département, selon des données de Météo-France.
© 2023 AFP
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