Inflation alimentaire: les prix de centaines de produits "baisseront"
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Faut arrêter de bouffer, c'est encore mieux...!
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salanca
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Un malfaiteur membre d'une association de malfaiteurs en cols blancs qui nous font les poches suivant les lois qu'ils se votent et les règles qu'ils se fixent, épicétou
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Pas besoin d'impôts nouveaux pour prélever plus : tout ce fait automatiquement.
Les taxes et impôts ne sont pas fixes : ils sont pas fous, c'est toujours un % du prix hors taxe.
Mes calculs à con
Le prix hors taxe monte, le prélèvement de taxe augmente :
c'est facile ...
• 2022 : 1 kg d'asperges à 8,00 € HT + TVA à 10% = 8,80 € TTC dont 0,80 de TVA
• 2023 : 1 kg d'asperges à 9,00 € HT + TVA à 10% = 9,90 € TTC dont 0,90 de TVA
Donc :
• Hausse du prix hors taxe de 12,5 %
• Hausse de la part de TVA de 12,5 %
Donc les impôts augmentent bien mécaniquement.
On essaie de vous expliquer que "c'est pas de ma faute, c'est parce c'est le producteur qui augmente que ça augmente"...
Et avec tout l'argent qui rentre à cause des prix hors taxe en hausse, on vous explique que c'est pas nous qu'on vole dans le porte-monnaie, et que malheureusement, on n'en a encore pas assez pour équilibrer le budget et rembourser la dette...
Les roi du bonneto fiscal sont aux manettes, vous comprenez pourquoi l'argent disparait et mais pas pourquoi il ne réapparait pas : c'est normal, c'est le principe du jeu.
La taxe sur la valeur ajoutée en 2022, données provisoires
Notons que :
"En 2022, les entreprises soumises à déclaration mensuelle de TVA ont généré un montant de TVA économique de 184 milliards d’euros, contre 169 milliards d’euros en 2021.
Cette hausse de 8,9% est directement liée à celle du chiffre d’affaires déclaré par les entreprises, qui a progressé de 14,5% en 2022.
Ces évolutions s’expliquent d’une part par une augmentation de l’indice des prix à la consommation de 5,2% entre 2021 et 2022 et d’autre part par une hausse du volume de l’activité économique.
Elles se distinguent des augmentations de la TVA économique et du chiffre d’affaires des entreprises en 2021 (+9,7% et +10,7% respectivement) qui correspondaient très largement à une reprise de l’activité économique suite à la crise sanitaire de 2020. "
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salanca
« « Qu'il commence déjà à baisser le racket sur les carburants s'il veut qu'on le prenne un minimum au sérieux » »
Sur les carburants et les comburants (chauffage).
Mais aussi en finir avec le vol organisé sur l’électricité.
Les voilà les deux responsables de l’inflation en France.
Mais cela, ils ne le feront pas . D’une part parce que Bruxelles le leur interdit, et d’autre part, Nono La Merde avait annoncé « pas d’impôts nouveaux » (*) (quoi que….si on fouille dans les rubriques inconnues du public….) mais il n’a pas renoncé aux augmentations des impôts existants.
Et ….. qui connaît le contenu des accords (les promesses de Nono La Merde) passés avec l’agence de notation S&P Ratings ?
Pour rappel , cette agence n’a pas dégradé la France, et cette décision suscite l’incompréhension de nombreux économistes.
(*) n'oublions pas que nous sommes en pleine période pré-Noël , avec son cortège de joyeuses promesses, et que la côte de macron est au plus bas.
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Les rois du bonneto fiscal (comment préléver + en annonçant - ) expliquent aux autres comment prélever - en annonçant +...
Vous suivre ???
Pas du tout ??? Allons
Vous, perdu, c'est normal...
On a supprimé dernièrement les maths, c'est vrai que ça sert pas à grand chose quand on est joueur de pipeau non diplômé...
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"On vient d'expliquer que je vais dépenser moins de pièces avec ma boite de cassoulet à 2,50 € au lieu de 1,95 €. Voyons donc :
- pour faire 1,95€ , il faut 1 pièce de 1,00, 1 pièce de 0,50, 2 pièces de 0,20 et 1 pièces de 0,05, soit 5 pièces
- pour faire 2,50 € , il faut 1 pièce de 2,00, 1 pièce de 0,50, soit 3 pièces
Donc j'économise et je gagne 3 pièces . C'est vrai qu'ils font des choses pour le pouvoir d'achat"
Mr Oussama Lairbon, metteur en rayon chez les Hyper Pasclair " Les Hublots - Allée W - Banlieue Est de la grande ceinture périphérique, ZAC de l'Embonpoint, à Cliché sur Bois-farcy.
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salanca
4
Qu'il commence déjà à baisser le racket sur les carburants s'il veut qu'on le prenne un minimum au sérieux
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Les 75 grands industriels de l'agroalimentaire se sont engagés auprès de Bercy à baisser en rayons, dès le mois de juillet, les prix de centaines de produits touchés par la flambée de l'inflation, a annoncé vendredi le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire.
"Je dis aux Français que dès le mois de juillet, sur un certain nombre de références et de produits, les prix baisseront. Et nous le vérifierons, et nous sanctionnerons ceux qui ne jouent pas le jeu", a déclaré M. Le Maire sur BFM TV/RMC.
"C'est ce à quoi se sont engagés les industriels" lors d'une réunion jeudi à Bercy, a-t-il ajouté, soulignant que cette initiative visait "plusieurs centaines de produits de consommation courante" dont la liste lui sera transmise "la semaine prochaine".
Parmi les produits concernés, Bruno Le Maire a cité les pâtes, la volaille, les céréales ou encore les huiles, à savoir ceux dont "les prix sur les marchés de gros baissent".
"Quand les prix de gros baissent, (...) il faut parfois trois mois, quatre mois, cinq mois avant que le prix des produits concernés (...) baissent également", a-t-il expliqué. Les industriels ont dès accepté "une indexation anticipée" sans laquelle la baisse des prix de gros n'aurait été répercutée que "vers septembre, octobre, voire un peu plus tard".
La hausse des prix à la consommation s'est élevée à 5,1% en mai sur un an, mais celle des produits alimentaires atteint encore 14,1%.
Les grands industriels de l'agroalimentaire, tels que Coca-Cola, L'Oréal, Mondelez ou Nestlé, se sont également engagés à rouvrir les négociations commerciales avec les supermarchés sur les contrats conclus pour 2023, selon le ministre.
Le gouvernement avait de nouveau mis la pression cette semaine sur les industriels qui rechignaient à renégocier afin de faire baisser rapidement les prix dans les rayons.
Bruno Le Maire avait agité la menace d'une publication, "avant la fin du mois de juin", du nom de ceux qui ne joueraient pas le jeu.
"Le ministre de l'Economie n'a pas une réglette entre les mains grâce à laquelle il pourrait faire baisser ou monter les prix. En revanche, il a un pouvoir d'injonction vis-à-vis des industriels et des distributeurs pour leur dire +vous vous rassemblez, vous trouvez des accords et vous faites baisser les prix+. C'est ce à quoi nous sommes arrivés hier" (jeudi), a-t-il encore dit.
© 2023 AFP
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