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Au sommet climat de Paris, Macron demande un "choc de financement publ

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JMPBW JMPBW
19/09/2023 08:58:42
1

S'ils avaient un plan cela serait une bonne nouvelle.

Ils naviguent à vue, coincés entre les obligations de Bruxelles et la peur de voir les jeux olympiques gâchés par des manifestations ou prendre une grosse cartouche aux élections.

C'est tout vu, les impôts indirects vont flamber, les aides d'état réduire ou disparaitre.

Les collectivités vont se substituer à l'état pour les aides (comme PACA a commencé à le faire) et cela se finira dans la fiscalité locale.

  
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fipuaa fipuaa
19/09/2023 08:28:19
0

on a même rien vu car leur plan prévoit bien pire!

  
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gars d1 gars d1
19/09/2023 08:23:51
1

Le choc de financement public, on l'a déjà...

Manque 1/3 du tiers du budget prévisionnel de l'Etat pour 2023, soit 145 Milliards d'euros.

Une paille...

A cette vitesse subsonique, on se rapproche des -3500 Milliards d'euros pour la dette française.

Les rois du bonneto fiscal et économique sont aux manettes, et vous n'avez pas encore tout vu...

  
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papygaga papygaga
19/09/2023 08:15:33
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Les français en ont assez du shérif de Nottingham.... On a déjà donné.

  
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fipuaa fipuaa
19/09/2023 07:48:19
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JP Morgan a la solution pour "sauver" le climat

confiscation de la propriété privée rien que ça !


World governments must begin forcibly seizing private property from citizens to build wind and solar farms to “fight climate change,” according to JPMorgan CEO Jamie Dimon

According to Dimon, world governments should invoke “eminent domain” to seize private property from ordinary people and begin investing in solar projects and other green initiatives.

  
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cool13 cool13
22/06/2023 16:02:08
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Antonio Guterres contre Emmanuel macron ou l’inverse, sommet de paris, aux jeux olympiques, des bonnes idées ! le sommet, vu des media du Congo

https://www.youtube.com/watch?v=k6LFgydjkMk

Sommet de Paris : « l’architecture financière internationale a échoué dans sa mission de fournir un filet de sécurité global aux pays en développement » (Antonio Guterres)
22.06.2023

Le système financier international est en crise, a indiqué le secrétaire général de l’ONU dans son intervention jeudi au Sommet pour un nouveau pacte financier mondial à Paris, en France. À mi-chemin de l’échéance du Programme 2030, regrette Antonio Guterres, les Objectifs de développement durable (ODD) s’éloignent chaque jour un peu plus.

Selon le patron de l’ONU, même les Objectifs les plus fondamentaux en matière de faim et de pauvreté reculent, après des décennies de progrès.

« Beaucoup de pays africains dépensent aujourd’hui plus d’argent pour rembourser leurs dettes que pour les soins de santé », a-t-il déploré, faisant remarquer qu’aujourd’hui, 52 pays sont en défaut de paiement ou s’en rapprochent dangereusement de cet état.
« Cela inclut la majorité des pays les moins avancés. Tout comme la majorité des 50 pays les plus vulnérables au changement climatique. Des dizaines d’autres envisagent de les rejoindre », a fustigé le secrétaire général de l’ONU, qui affirme que « cette situation est intenable ».

« Il est clair que l’architecture financière internationale a échoué dans sa mission de fournir un filet de sécurité global aux pays en développement », a-t-il souligné, rappelant que cette architecture a été construite au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et reflète, avec quelques adaptations, les rapports de force politiques et économiques de l’époque.

« Rendez-vous compte : plus des trois quarts des pays d’aujourd’hui n’étaient pas présents à la création des institutions de Bretton Woods-la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Et ce n’est peut-être mieux pour les Nations Unies et le Conseil de sécurité. Près de 80 ans plus tard, l’architecture financière mondiale est dépassée, dysfonctionnelle et injuste », a-t-il expliqué.

Cette architecture n’est plus à même de répondre aux besoins du monde du XXIᵉ siècle : un monde financier multipolaire caractérisé par des économies et des marchés intégrés, a-t-il ajouté, notant que les institutions financières internationales sont aujourd’hui trop petites et trop restreintes pour remplir leur mandat et être au service de tous, en particulier des pays les plus vulnérables.

« Un exemple : le capital versé de la Banque mondiale ramené au PIB global représente aujourd’hui moins d’un cinquième de ce qu’il a créé en 1960 – alors même que les défis sont autrement grands », a-t-il dit.

Le système financier mondial perpétue et aggrave même les inégalités
« En 2021, et c’est une décision que nous applaudissons, le Fonds monétaire international a ainsi attribué plus de 650 milliards de dollars en Droits de tirage spéciaux. Les pays de l’Union européenne, à laquelle mon pays appartient, ont reçu 160 milliards de dollars. Les pays africains : 34. Dit autrement… un citoyen européen perçu en moyenne près de 13 fois plus qu’un citoyen africain. Tout cela a été fait dans les règles. Mais, reconnaissons-le : ces règles sont devenues immorales », a-t-il dénoncé.
Réduire la pauvreté ou protéger la planète : on ne doit pas avoir à choisir. C’est en même temps que nous allons relever ces deux défis. pic.twitter.com/8npCEiu9xj
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) June 22, 2023

Dans la foulée, Antonio Guterres a prévenu qu’ une architecture financière qui ne représente pas le monde d’aujourd’hui risque d’ailleurs de conduire à sa propre fragmentation dans un monde ou la géopolitique elle-même est un facteur de fragmentation.
Il faut des réformes sérieuses

Pour le patron de l’ONU, il n’y aura pas de solution sérieuse à cette crise sans réformes sérieuses. Ainsi, il a appelé à un nouveau moment Bretton Woods, un moment où les gouvernements se réunissent, réexaminent et reconfigurent l’architecture financière mondiale pour le 21e siècle.

« Et plus tôt ce mois-ci, dans le cadre de nos préparatifs pour le Sommet du Futur, j’ai présenté un Policy Brief – un plan détaillé pour une architecture financière mondiale repensée capable de servir de filet de sécurité pour tous les pays.Je n’ai aucune illusion. C’est une question de pouvoir et de volonté politique, et le changement ne se fera pas du jour au lendemain », a-t-il dit.

Alors que les dirigeants mondiaux travaillent pour les réformes profondes qui sont nécessaires, Guterres appelle, au même moment, à prendre des mesures urgentes aujourd’hui pour répondre aux besoins urgents des économies en développement et émergentes.
« C’est pourquoi j’ai proposé un SDG Stimulus de 500 milliards de dollars américains par an pour les investissements dans le développement durable et l’action climatique. Il comprend des mesures concrètes que les dirigeants mondiaux peuvent prendre dès maintenant », a-t-il indiqué.

Selon lui, les dirigeants mondiaux peuvent mettre en place un mécanisme d’allégement de la dette vraiment efficace dans le temps qui prend en charge les suspensions de paiement, des durées de prêt plus longues et des taux plus bas, y compris pour les pays à revenu intermédiaire présentant des vulnérabilités particulières, notamment en ce qui concerne le climat.

« Les dirigeants mondiaux peuvent étendre le financement d’urgence aux pays dans le besoin, en réorientant, à plus grande échelle, les droits de tirage spéciaux inutilisés et en utilisant d’autres mécanismes innovants pour augmenter la liquidité mondiale. L’initiative de la Banque africaine de développement visant à rediriger les DTS vers les banques multilatérales de développement pourrait multiplier par cinq leur impact. Cet exemple devrait être développé. Les dirigeants mondiaux peuvent mettre en place un mécanisme pour émettre automatiquement des DTS en temps de crise et les distribuer en fonction des besoins. Ils peuvent mettre un prix sur le carbone et mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles et les réorienter vers des utilisations plus durables et productives. Et, la liste des choses que nous pouvons faire maintenant s’allonge encore et encore », a-t-il proposé.

Antonio Guterres est convaincu que ces mesures contribueraient à vaincre la pauvreté et la faim, à élever les économies en développement et émergentes, et à soutenir les investissements dans la santé, l’éducation et l’action climatique.
« Nous n’avons pas à attendre une réforme de fond en comble de l’architecture financière internationale », a-t-il précisé, appelant vivement à prendre des mesures dès maintenant et faire un pas de géant vers la justice mondiale.

Reagan Ndota
AFRIQU'ACTU / MCP , via mediacongo.net

  
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moicmoi moicmoi
22/06/2023 13:45:15
2

« Le président français Emmanuel Macron a plaidé pour un "choc de financement public" face à la crise climatique, etc...bla-bla, etc... »

mais ! Ça veut dire quoi ? Un choc de financement public.

Généralement, quand on se prend un choc, ce n’est jamais avec des pétales de roses. C’est plutôt les épines de rosiers qu’on se prend dans la gueule.
Comment croyez-vous que « les autres » (ministères du pognon, Administrations, Bruxelles….) vont interpréter cette expression teintée de flou artistique ?
En termes de taxes supplémentaires, pardi !

Pour « sauver la planète ». Ce qui est d'ailleurs déjà dans les tuyaux !

C’est depuis quand que je vous affirme que les thèses volontairement alarmistes du GIEC (et volontairement mensongères) sont adoptées par les états, dans le seul but de nous rançonner toujours plus ?

Pour le coup, macron est en train de la mettre à son « pote » Nono La Merde qui promettait « pas de taxes nouvelles ».

Sauf que là, c’est les bruxellocrates qui vont nous les imposer de force. L'honneur est sauf.

Taxer les riches ? Les compagnies aériennes ? Le maritime ?

Autrement dit taxer les copains, ou ceux pour qui les états déversent un pognon de dingue ?

Cela représente trop peu de monde, et donc, la rentabilité serait négative. En plus de mécontenter les copains.

Taxer la route est de beaucoup plus profitable, et les automobilistes , individualistes, ne sont pas organisés en puissants syndicats . Et les prétextes à taxations beaucoup plus diversifiées.

Préparez votre chéquier et votre mouchoir!

  
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LBWB LBWB
22/06/2023 12:50:37
1
Parmi les nombreuses idées en débat, celle d'une taxe internationale sur les émissions carbone du transport maritime a le vent en poupe. Et les avions toujours pas de taxes ? Tous ces "riches' du Nord qui vont étaler leurs viandes sur les plages du Sud et ainsi polluer l'environnement et l'eau. Pour la taxe sur le transport maritime il faut l'étendre au croisières qui sont très polluantes
  
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oyo01 oyo01
22/06/2023 12:50:31
2
Macron devrait déjà faire en sorte que la France respecte les accords de Paris puisqu'une de ses premières décisions lorsqu'il a été élu Président en 2017 a été de ne plus respecter les objectifs signés par la France
  
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oyo01 oyo01
22/06/2023 12:50:30
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Emmanuel Macron lors de son discours d'ouverture du Sommet pour un nouveau pacte financier, au Palais Brogniart à Paris le 22 juin 2023
Emmanuel Macron lors de son discours d'ouverture du Sommet pour un nouveau pacte financier, au Palais Brogniart à Paris le 22 juin 2023 (POOL/AFP/LUDOVIC MARIN)

Le président français Emmanuel Macron a plaidé pour un "choc de financement public" face à la crise climatique et la pauvreté, devant une quarantaine de chefs d'Etat ou de gouvernement réunis jeudi à Paris pour débloquer la refonte du système économique mondial.

Emmanuel Macron, hôte de ce "sommet pour un nouveau pacte financier", prévu jusqu'à vendredi, a appelé à une "mobilisation générale".

"Nous devons assumer un choc de financement public", a-t-il déclaré à l'ouverture, notant qu'il y avait "beaucoup d'argent" mais pas forcément au "service des progrès de la planète".

Mia Mottley, la Première ministre de la jeune république de la Barbade, a reçu de nombreux applaudissements après avoir exigé une "transformation absolue" du système financier, et pas seulement "une réforme". La Barbabe, île des Caraïbes, fait partie des pays parmi les plus vulnérables au changement climatique.

Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a de son côté renouvelé ses appels au changement, estimant que "l'architecture financière internationale a failli".

Les règles régissant l'allocation des fonds du Fonds monétaire internationale (FMI) ou de la Banque mondiale "sont devenues profondément immorales" et "l'immobilisme n'est pas une option", a-t-il plaidé.

- Minute de silence -

La militante ougandaise  Vanessa Nakate fait respecter une minute de silence au début du sommet pour un nouveau pacte financier à Paris, le 22 juin 2023
La militante ougandaise Vanessa Nakate fait respecter une minute de silence au début du sommet pour un nouveau pacte financier à Paris, le 22 juin 2023 (POOL/AFP/LUDOVIC MARIN)

Les travaux au palais Brongniart, dans le centre de Paris, ne doivent pas déboucher sur des décisions concrètes mais bénéficient du poids du parterre des invités : le président brésilien Lula sera présent ainsi que le chancelier allemand Olaf Scholz et la secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen.

Washington fera "pression" pour que les créanciers des pays pauvres et en développement participent aux négociations pour restructurer leurs dettes, a indiqué Mme Yellen.

La Chine, notamment, l'un des principaux créanciers mondiaux, est régulièrement pointée du doigt pour son manque de participation à un cadre commun de restructurations avec les pays occidentaux.

Pékin est représentée à ce sommet par son Premier ministre Li Qiang.

Pour l'Arabie saoudite, le prince héritier Mohammed ben Salmane est présent. Une vingtaine de dirigeants africains sont également là, dont plusieurs ont récemment haussé le ton contre les pays riches, plus prompts à verser des milliards pour soutenir l'Ukraine en guerre.

Rupture dans la succession des discours officiels, les dirigeants ont respecté jeudi matin une minute de silence à l'appel de la jeune militante ougandaise Vanessa Nakate, "pour toutes celles et tous ceux qui souffrent déjà et qui ont faim, qui sont déplacés, qui quittent l'école".

La Première ministre de La Barbade, Mia Mottley, au sommet de Paris le 22 juin 2023
La Première ministre de La Barbade, Mia Mottley, au sommet de Paris le 22 juin 2023 (POOL/AFP/Ludovic MARIN)

Elle a appelé à "une sortie équitable des énergies fossiles", s'en prenant frontalement aux profits des compagnies pétrolières occidentales.

L'idée du sommet a germé en novembre lors des négociations climat de la COP27 en Egypte, dans le sillage d'un plan présenté par Mia Mottley. Sa voix a ravivé l'espoir de voir avancer ce sujet, qui gêne les négociations climatiques entre les pays pauvres et les pays riches, principaux responsables historiques des émissions de gaz à effet de serre.

L'objectif du sommet est de rénover en urgence l'architecture financière internationale, née des accords de Bretton Woods en 1944 avec la création du FMI et de la BM.

L'accès à leurs financements est jugé difficile par les pays en développement, alors que leurs besoins sont immenses pour affronter canicules, sécheresses et inondations, mais aussi pour sortir de la pauvreté tout en s'affranchissant des énergies fossiles et en préservant la nature.

- Taxation maritime -

Parmi les nombreuses idées en débat, celle d'une taxe internationale sur les émissions carbone du transport maritime a le vent en poupe.

La directrice générale du FMI Kristalina Georgieva et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna au Palais Brogniart à Paris le 22 juin 2023
La directrice générale du FMI Kristalina Georgieva et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna au Palais Brogniart à Paris le 22 juin 2023 (POOL/AFP/Ludovic MARIN)

Les dirigeants mondiaux évoquent d'autres taxations, mais aussi des réformes institutionnelles, la restructuration des dettes des pays pauvres, un renforcement du rôle du secteur privé...

La suspension du paiement de la dette en cas de catastrophe naturelle est fortement soutenue par Mia Mottley. "Il y a neuf mois, personne ne parlait de clauses de désastre naturel", s'est-elle félicitée jeudi.

Les pays riches seront mis face à leur promesse de financer 100 milliards de dollars (91 milliards d'euros) par an pour aider les pays pauvres face au réchauffement. Une promesse censée être tenue cette année, avec trois années de retard qui ont profondément diminué la confiance entre le Nord et le Sud.

Les banques multilatérales de développement seront aussi appelées à prêter davantage, quelques mois après l'annonce de la mobilisation de 50 milliards de dollars sur dix ans par la Banque mondiale.

Son nouveau président, Ajay Banga, a annoncé jeudi que la banque allait élargri "la boîte à outils" de l'aide internationale et proposer de nouveaux instruments.

© 2023 AFP

  
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