OK
Accueil > Communauté > Forum Cac 40

Des producteurs de cerises "découragés" devant les ravages d'un mouche

Cours temps réel: 7 957,57  0,54%



moicmoi moicmoi
06/07/2023 22:20:01
1

fipuaa
« « suffit de protéger chaque cerise avec un petit filet pour éviter cette méchante mouche de pondre ! c'est écologique et efficace, peut être un peu long à faire mais bon.... un immense préservatif sur l'arbre? » »


Ben…les filets , les capotes anglaises, c’est p’tête pas spécialement écolo.

Et un immense préservatif sur l'arbre …ce s’rait-y pas une incitation aux papas méchante mouche à copuler à couilles rabattues ?

Et est-ce que macron ne va-t-il pas décider de rembourser les capotes anglaises avec nos sous ?

Ne va-t-il pas lancer des gigas-factories de capotes anglaises à la française ? Parce que, la mode à l'ancienne que les mammies tricotaient des capotes en laine, ça fait partie de la préhistoire.

Aurons-nous assez de latex pour répondre à la demande ?

Et le cas échéant, en cas de pénurie de latex, qui privilégier pour la fourniture de capotes anglaises ? Les arbres ? ou les futurs papas humains ?
Ne risque t’on pas de creuser le trou de la Sécu ?

  
Répondre
moicmoi moicmoi
06/07/2023 22:06:45
0

manuborelli
« « « Sel vo plé ! » 🤣👍✊
aujourd’hui il ne pourrait plus le faire le sketch » »

Et pas qu’un peu, mon neveux !

Avec tous les machins-phobes , les machins-istes, les….enfin tous, quoi, ….qui courent les rues, il se ferait fusiller à bout portant à coups de 150.
Et puis couper la tête au raz des épaules.

On vit une époque formidable, on vit dans un contexte de vivre-ensemble, ….à condition d’employer les bons mots qui ne fachent pas., voire de fermer sa gueule à chaque coin de rue …….Mais.... il y a 40 ou 50 ans, on vivait ensemble, et on ne se posait pas de questions. Et personne ne semait sa merde, (à part les vidangeurs de fosses de chiottes étanches. Mais on leur pardonnait )


Aujourd’hui, un proute de travers et tu es traduit en justice pour pollution de l’air et production de CO2

  
Répondre
fipuaa fipuaa
06/07/2023 21:30:34
0

suffit de protéger chaque cerise avec un petit filet pour éviter cette méchante mouche de pondre ! c'est écologique et efficace, peut être un peu long à faire mais bon....


un immense préservatif sur l'arbre?

  
Répondre
manuborelli manuborelli
06/07/2023 19:42:07
2

« Sel vo plé ! » 🤣👍✊

aujourd’hui il ne pourrait plus le faire le sketch

  
Répondre
moicmoi moicmoi
06/07/2023 19:12:32
1

corte28

« « Ils veulent notre mort cette saloperie de communauté européenne, ils savent que nous pomper notre fric.
» »

Pomper notre fric, c’est une chose, mais il y a beaucoup plus grave ! Combien d’industries européennes ont-ils saccagé délibérément , méthodiquement ?

  
Répondre
moicmoi moicmoi
06/07/2023 19:08:59
2

L’utilisation d’insecticides c’est mauvais pour la santé.

La non-utilisation d’insecticides c’est mauvais pour la production de fruits et légumes.

La non-production de fruits et légumes c’est mauvais pour les producteurs.

Alors, pour manger 7 fruits et légumes par jour, ça devient coton. Tant pour la quantité produite, et donc, pour les prix de vente.

Tout est mauvais, et il faudra faire des choix.

En l’an de grâce 1975, l’humoriste Pierre PECHIN , pastichant La Fontaine , avait un squetche titré « cèggal et la foôrmi" , avec l’accent de là-bas.
Sa conclusion était : ti boffe ti boffe pas, ti crév quand même.
Eh bien on est en plein dedans !

Ah non ! Il y a bien une autre solution : faire venir des fruits et légumes d’un pays où ils peuvent utiliser ces pesticides. Pour beaucoup moins cher.
Question : que va t’on faire de nos ex – producteurs ?
Réponse : les mettre sur les chaînes de giga factories macron, ou celles de E-Renault. Pour assurer notre illusoire belle indépendance nationale.

Régalez-vous avec ça : Sel vo plé !

https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=Pierre+P%C3%A9chin+la+c%C3%A9gal+et+la+formi#fpstate=ive&vld=cid:fa5247f3,vid:TVATOwy9Hoo

  
Répondre
manuborelli manuborelli
06/07/2023 18:46:33
1

l’escrologie 🥊

ah les mouches à capuche

  
Répondre
corte28 corte28
06/07/2023 18:36:31
2
Ils veulent notre mort cette saloperie de communauté européenne, ils savent que nous pomper notre fric.
  
Répondre
Dubaisan Dubaisan
06/07/2023 18:09:41
2

Qui a voté pour ces connards incultes?

  
Répondre
FLOPSY1 FLOPSY1
06/07/2023 17:51:26
2

Le ravage des écolos et du noyautage des commissions européennes par ces individus Après avoir anéanti l'industrie Française ils vont réussir à anéantir l'agriculture Française

  
Répondre
FLOPSY1 FLOPSY1
06/07/2023 17:51:24
0
Une cerise touchée par la mouche Suzukii, le 22 juin 2018 à Prayssas, dans le Lot-et-Garonne
Une cerise touchée par la mouche Suzukii, le 22 juin 2018 à Prayssas, dans le Lot-et-Garonne (AFP/Archives/NICOLAS TUCAT)

Un "état de stress permanent" et beaucoup de "découragement": des producteurs de cerises ont alerté jeudi sur les pertes attribuées aux attaques d'un moucheron contre lequel ils peinent à lutter depuis l'interdiction d'un insecticide.

Une quinzaine de producteurs de cerises ont déchargé une tonne de fruits abîmés très tôt devant la sous-préfecture de Tournon-sur-Rhône, en Ardèche, ont-ils rapporté à l'AFP.

"La situation devient ingérable pour les producteurs. L'idée c'est d'alerter le gouvernement, de dire: mettez en place le plan de sauvegarde que vous avez prévu, (...), donnez-nous des solutions", a expliqué Benoît Nodin, secrétaire général du syndicat majoritaire FDSEA en Ardèche.

Ils réclament des indemnisations mais surtout "une solution digne et efficace qui [leur] permette de vivre de [leur] production", car "on ne peut pas refaire une année comme celle que l'on est en train de vivre", a-t-il souligné.

Ils sont affectés par des attaques de Drosophila suzukii, un minuscule moucheron invasif arrivé en France il y a une dizaine d'années. L'insecte se reproduit à une vitesse fulgurante et pond ses œufs dans les fruits rouges à maturité, particulièrement lorsque le temps est chaud et humide.

L'impact se fait surtout sentir pour les variétés les plus tardives, les producteurs évoquant de "30 à 40% de pertes par rapport à ce qui se trouve sur les cerisiers", selon M. Nodin, dont les vergers sont situés à Saint-Péray, dans le nord-est de l'Ardèche.

D'après Sylvain Bertrand, du syndicat Jeunes agriculteurs, "quelques producteurs" accusent même 100% de pertes.

- "Vie infernale" -

Devant "l'urgence de la situation" et "la détresse des producteurs", le ministère de l'Agriculture se dit mobilisé "pour expertiser et documenter les pertes". Le gouvernement "étudie actuellement les soutiens, de toute nature, qu'il pourrait apporter", a indiqué le ministère dans un communiqué.

Les arboriculteurs alertaient depuis des mois sur les conséquences de l'interdiction d'une molécule, le phosmet, utilisée pour lutter contre la Drosophila suzukii.

La Commission européenne a refusé début 2022 de renouveler son homologation en raison de "risques inacceptables pour les opérateurs, travailleurs, passants et résidents", pointés du doigt par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa). La décision relevait également "un risque aigu et chronique élevé pour les consommateurs" ainsi que pour la faune.

Les producteurs avaient déjà dénoncé l'interdiction en 2016 du diméthoate, également jugé toxique par les autorités sanitaires.

Un producteur montre une cerise attaquée par un moucheron à Prayssas, dans le Lot-et-Garonne, le 22 juin 2018
Un producteur montre une cerise attaquée par un moucheron à Prayssas, dans le Lot-et-Garonne, le 22 juin 2018 (AFP/Archives/Nicolas TUCAT)

Ils estiment que les insecticides qui leur restent ne sont pas assez efficaces, alors qu'ils doivent aussi faire face à la mouche méditerranéenne qui ne les "embêtait" plus depuis "50 ans", selon Sylvain Bertrand.

"On a fait tout un tas d'expériences, avec des répulsifs à base d'ail, de l'huile essentielle de fougères, des piégeages massifs. On utilise aussi l'Exirel" — un produit qui a été autorisé à titre dérogatoire à une dose augmentée — et un insecticide d'origine végétale, le pyrèthre, "mais clairement ça ne marche pas", affirme le président des Jeunes Agriculteurs de l'Ardèche, arboriculteur à Bozas.

"La dernière solution proposée, c'est la technique de l'insecte stérile [qui consiste à élever en laboratoires des moustiques mâles, à les stériliser, puis à les lâcher sur le terrain, où ils vont stériliser les femelles sauvages, qui n'auront pas de descendance] mais elle demande encore deux ans d'expérimentation. (...) Qu'est-ce qu'on fait en attendant?", s'interroge Benoît Nodin.

"On a une vie infernale sur nos exploitations", décrit le producteur de 49 ans. "Le matin, on se lève à 05H00 pour ramasser les fruits à la fraîche. En journée, on fait le travail de tri, d'expédition et le soir, on s'occupe du sanitaire dans nos vergers. On est fatigués, dans un état de stress permanent."

Les producteurs sont "découragés", résume son collègue trentenaire.

Il faudrait "qu'ils nous donnent des outils qui fonctionnent pour qu'on puisse travailler sereinement", peste Olivier Curel, de la FDSEA du Vaucluse. "Là, c'est de la non-assistance à profession en danger."

© 2023 AFP

  
Répondre

Forum de discussion Cac 40

202307062220 989438

Investir en Bourse avec Internet

Ma liste