Zone euro: PMI composite au plus bas depuis novembre 2020

Leur problème ,ils ne considèrent qu,un seul facteur,...l'inflation.

Non, ce ne sont vraiment pas des matheux !

Et donc tout ce qui va en découler, ils ne le voient pas.

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La hausse des taux d ' intérets ,va bloquer l'économie et provoquer une récession avec chomage de masse et faillite d'entreprises.......et cela ne va pas arreter l'inflation pour autant.....Tout porte à croire que la BCE marche sur la tete....tout est faux dans l'analyse portée par la BCE sur l'inflation et la prescription des remèdes ......l'inflation est un phénomène mondial ,lié à la hausse des matières premières (peu importe les causes),et l'Europe qui achète presque tout à l'extérieur de ses frontières ne peut que subir la pression des prix....La situation ressemble au années70/80...et qu'on fait la plupart des pays en 1970....ils ont dévalué les monnaies et augmenté les salaires, pour survivre et limiter la perte de pouvoir d'achat du peuple.....tout le contraire de la politique de la BCE qui limite la hausse des salaires et veut une monnaies fortes pour protéger les fortunes des 1% les plus riches....Cette situation sera bientot intenable et va nous conduire au pire....Une grande dépression dont la plupart des pays européens ne se remettront pas...... .......

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(CercleFinance.com) - L'indice flash PMI composite HCOB de l'activité globale dans la zone euro s'est replié de 48,6 en juillet à 47 en août , soit son plus faible niveau depuis novembre 2020, et même depuis avril 2013 abstraction faite des mois de pandémie.

L'activité du secteur privé de la zone s'est ainsi repliée pour un troisième mois consécutif. Si sa contraction dans l'industrie a légèrement ralenti en août, l'activité des services a diminué pour la première fois depuis décembre 2022.

'La prise en compte des données PMI flash du mois d'août dans nos prévisions immédiates du PIB nous amène à anticiper une contraction de la zone euro de 0,2% au troisième trimestre', indique Cyrus de la Rubia, chef économiste à Hamburg Commercial Bank.

Ajoutant que les inquiétudes de la BCE sur le risque inflationniste 'semblent sur le point de se concrétiser, du moins pour le vaste secteur des services', il estime qu'elle 'devrait être peu disposée à renoncer à de nouvelles hausses des taux d'intérêt en septembre'.

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