Affaiblissement du rouble: Poutine dit ne pas voir de "problèmes insur

OK ; mais, selon M. Touati, si vous voulez bien visionner sa vidéo de ce jour, traitant d'économies mondiales, entre autres des perspectives d’activités , notamment de l’indice PMI ,

l’Inde est première, avec 60.9 en août 2023 , contre 61.9 en Juillet 2023 –

devant l’Arabie Saoudite , avec 56.6 en août 2023 , contre 57.7 en Juillet 2023 –

puis la Russie , avec 55.9 en août 2023 , contre 53.3 en Juillet 2023 –

et plus loin, (en 7ème position ?) la Chine avec 51.7 en août 2023 , contre 51.9 en Juillet 2023

La France, (17 ème position ?) qui devant mettre l’économie Russe à genoux, avec 46.0 en août 2023 , contre 46.6 en Juillet 2023.

A quand une France avec un indice proche de 60.0 ?

Je pense que ce mec (Touati) doit savoir de quoi il parle. Peut-être un peu plus qu’un Le maire, macron , et compagnie, ou les pourfendeurs de la Chine, de la Russie, de l’Inde de ce forum.

Messieurs les anti Chine, anti Inde, anti Russie, adorateurs macronistes…je ne voudrais pas vous priver du plaisir de visionner cette vidéo avec ce lien. (Tout va très bien en France, n'est-il pas ?)

https://www.youtube.com/watch?v=hmfSZwtuRnI

Et au passage, pour les Cassandres du Brexit, faudrait que je retrouve la vidéo qui nous parle de la bonne orientation économique de la Grande Bretagne. (bien meilleure que la France, là aussi)

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On n'aura pas froid l'hiver prochain.

L'UE importe du GNL Russe.

Elle ne l'achète pas à la Russie, mais à Total, l'honneur est sauf et on sait où vont les bénéfices.

Macron a cassé la tirelire de l'Elysée et mis 100 k€ dans une nouvelle chaudière, malgré les grandes promesses de réduction des GES.

Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

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pays le plus gros importateur de céréales ! Si vous fâchez Vlad avec vos grosses sornettes, vous n'aurez plus de pain !

Vlad vient encore de réduire la production de joli brut noir sibérien, c'est nous qui allons en crever et l'hiver arrive !

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Ils vendront moins cher les hydrocarbures mais en plus grande quantité. Comme ils se sont rendus quasiment auto suffisants dans pratiquement tous les domaines, ils importeront peu. Sauras tu deviner de quel coté penchera la balance commerciale ?

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Faut quand même pas s'attendre qu'il avoue être un nain(qu'il est)!

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Les Russes ne sont pas les seuls à s'appauvrir, les Européens les accompagnent.

Début 2022 lors de l'envol du prix des céréales et de l'énergie, la baguette a augmenté, mais on n'est pas prêts de la voir descendre, alors que le prix des céréales a été divisé par deux.

Poutine orchestre actuellement avec les Saoudiens la hausse du cours du pétrole, et notre ministre n'a d'autre ressource que de supplier les distributeurs de limiter le prix à 2 €.

Nous ne devrions donc pas nous réjouir des malheurs des Russes qui ont une capacité de résistance et de résilience bien supérieure à la notre.

Dès que nous avons le moindre problème il nous faut vite un traitement, quoi qu'il en coûte, bouclier énergétique, primes et aides de toutes sortes.

Les Russes savent qu'ils ne doivent compter que sur eux-même, toute attente vis à vis du pouvoir ne pouvant apporter que des ennuis.

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Vous voyez le capitaine du Titanic qui ne quitte pas sont bateau ? Ce capitaine, c'est Vladimir poutine. Le bateau coule mais tout vas bien, en même temps, il ne faudrait pas faire paniquer la population dont les pensées sont déjà largement contrôlé (un peu comme en Europe d'ailleurs). Cela dit une baisse du rouble implique un appauvrissement de la population russe lorsque celle ci se rend dans des pays étrangers. Prenons l'exemple de la baguette de pain. En 2012, un russe devait débourser environ 32 roubles pour s'acheter une baguette, aujourd'hui pour ces même 32 roubles il ne pourrait avoir q'UN SEUL TIERS de la baguette. Donc la population russe s'appauvrit à l'égard des autres pays. Tant qu'ils restent chez eux et qu'ils consomment local, pas de soucis, mais lorsqu'ils veulent importer ou voyager, ils subiront l'appauvrissement de plein fouet. C'est une bombe a retardement et cela prendra 5 ou 10 ans à se voir.

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Vladimir Poutine a déclaré mardi ne pas voir de "problèmes insurmontables" dans l'affaiblissement du rouble depuis des semaines face au dollar et l'euro, malgré les efforts de la Banque centrale russe.

"Dans l'ensemble, je ne pense pas qu'il y ait de problèmes ou de difficultés absolument insurmontables", a déclaré M. Poutine lors de la session plénière du Forum économique oriental qui se tient à Vladivostok (Extrême-orient russe).

L'affaiblissement du rouble début août avait pourtant poussé la Banque centrale russe à rehausser en urgence son taux directeur de 8,5% à 12%, un moyen de lutter contre l'inflation et la volatilité de la monnaie nationale. Et elle pourrait décider d'une nouvelle hausse en fin de semaine.

A ce moment-là, il fallait débourser 100 roubles pour obtenir un dollar et 109 pour un euro, des taux de change plus observés depuis le tout début de l'offensive russe en Ukraine et la cascade des premières sanctions au premier trimestre 2022 qui avaient touché l'économie russe.

Mais l'effet n'était que de courte durée: mardi matin, il fallait respectivement 95 et 101,9 roubles pour acheter un dollar et un euro.

Une des causes principales de la chute de la monnaie nationale est l'état du commerce extérieur.

La Russie souffre notamment de la baisse considérable des revenus liés à la vente de ses hydrocarbures, sous l'effet des sanctions et de la détermination des Européens à sortir de leur dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.

Selon Vladimir Poutine, la situation est aussi liée "au non-retour d'une partie des recettes en devises de nos plus grands exportateurs", a-t-il affirmé mardi.

En effet, selon les autorités russes, une partie des principaux exportateurs nationaux stockent des dollars et autres devises issus de leurs recettes à l'étranger, sans les convertir en les rapatriant en Russie, faisant que ces revenus n'intègrent pas l'économie nationale.

Et "les importations arrivent sur notre marché dans des volumes de plus en plus importants" par rapport à 2022, a-t-il noté, "ce qui signifie que les devises étrangères sont de plus en plus demandées", affaiblissant automatiquement le rouble.

Au niveau national, les autorités s'inquiètent enfin de l'émergence d'une bulle spéculative entraînée par un trop gros volume de crédits, alimentant aussi la hausse des prix.

Mardi, M. Poutine a ainsi appelé les autorités à "atténuer ces risques" face à "une croissance rapide des prêts à la consommation".

© 2023 AFP

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