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Regulatory News:
Depuis le vote des britanniques pour la sortie de l’Union Européenne en 2016, Eurotunnel (Paris:GET) a travaillé avec les États pour offrir à ses clients le service le plus simple et le plus rapide pour traverser la Manche dans le cas où le Royaume-Uni deviendrait un pays tiers le 31 octobre 2019 sans avoir trouvé d’accord avec l’Union Européenne.
Pour les passagers empruntant le tunnel sous la Manche (11 millions de passagers Eurostar et autant pour les navettes Eurotunnel le Shuttle), les contrôles de passeport ou de carte d’identité seront réalisés à leur embarquement comme c’était déjà le cas jusqu’à présent. Un service de détaxe leur sera ouvert sur nos terminaux.
Pour les marchandises, un nouveau cadre s’appliquerait en cas de « no deal » avec une pré-déclaration dans les systèmes douaniers avant l’arrivée du camion sur le terminal de Coquelles ou celui de Folkestone. Afin d’être prêts à offrir un service fluide aux 5 000 camions qui passent quotidiennement par le tunnel sous la Manche, Eurotunnel a réalisé les investissements suivants :
Pour les camions que les autorités souhaiteraient vérifier plus en détail (« Orange »):
La valeur des échanges de marchandise transitant par le tunnel sous la Manche est de 140 milliards d’euros par an, soit 26% des échanges entre le Royaume-Uni et l’Union Européenne.
Suite à la visite des Ministres français et britannique Gérald Darmanin et Michael Gove ce jour, Eurotunnel est « Brexit ready « en cas de no deal, même si un accord serait évidemment préférable.
Le travail de préparation réalisé est visible plus en détail sur les réseaux sociaux via une série de clips et photos sous l’appellation #Brexit&Beyond.
Consultez la version source sur businesswire.com : https://www.businesswire.com/news/home/20190830005425/fr/
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