Ghosn a quitté la prison de Tokyo après plus de 100 jours de détention
Actualité publiée le 06/03/19 08:51
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Carlos Ghosn a été libéré mercredi de la prison de Kosuge à Tokyo, après plus de 100 jours passés en détention sur des accusations de malversations financières, a constaté l'AFP.
Vêtu d'un blouson, portant un masque sanitaire blanc, une casquette bleue et des lunettes, L'ex-patron de Renault et Nissan est sorti du centre de détention encadré de gardiens avant de s'engouffrer dans une voiture, devant les objectifs de dizaines de caméras et appareils photo.
© 2019 AFP
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6 commentaires sur cet article. Participez à la discussion.
bourbern
06/03/19 09:22
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Au Japon, un notable celui qui ne paie pas ses impôts est arrêté. En France, il est député (Thévenoud). |
Ver5gétorix
06/03/19 09:39
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Cher monsieur par deux points il passe une droite, vous êtes en plein dans la géométrie euclidienne. Mais à notre époque de nombres fourmillant ou de veille et de visées extragalactique et aussi de nanotechnologies il faudrait trouver mieux pour que ce soit significatif. Et dans le cas de monsieur Ghosn c'est une façon de reconnaitre qu'on ne trouve rien de plus que ce qui a déjà été dit et de plus cela a peut être mal formulé, donc ne pas prouver l'objet des accusations. Message complété le 06/03/2019 09:41:37 par son auteur. Correction: "et de plus cela a peut-être été mal formulé, donc cela ne prouverait pas du tout l'objet des accusations. |
dematons
06/03/19 10:11
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Pour les simplets, le simple fait d'être un patron est une faute, pour les gilets jaunes le fait d'être riche est un délit pour les melonchophiles le fait d'avoir enrichi le pays est impardonnable et pour les trois, être accusé ou victime d'une machination, c'est bien la preuve que les patrons, riches, pleins de talents, sont des parasites qu'il faut faire disparaitre, et qu'il est inutile de juger. C'est le modèle Venezuela, le paradis socialiste ; on connait le résultat. |
Coco85
06/03/19 10:40
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Il y a plein de simplets melonchophiles qui enfilent leurs gilets jaunes tous les samedis. Ceux-là sont irrécupérables ! |
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