ING: forte progression du bénéfice net au 2ème trimestre.
Actualité publiée le 11/08/10 08:52
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(CercleFinance.com) - ING a publié mercredi un bénéfice net en forte hausse pour le 2ème trimestre, les pertes de sa division assurance n'ayant pas trop entamé ses bonnes performances dans la banque de détail.
Le bancassureur néerlandais annonce un bénéfice net de 1.090 millions au deuxième trimestre, à comparer avec un profit de 71 millions d'euros sur le même trimestre de l'an passé.
Son résultat sous-jacent atteint 1.202 millions d'euros au 2ème trimestre, contre 212 millions d'euros au 2ème trimestre 2009 et 1.018 millions d'euros au 1er trimestre 2010.
Sur cette même base, la division bancaire du groupe a dégagé sur le trimestre un bénéfice sous-jacent imposable de 1.613 millions d'euros, contre une perte de 186 millions d''euros un an plus tôt et un profit de 1.278 millions sur les trois premiers mois de l'année.
La division assurance publie de son côté une perte de 115 millions d'euros sur le trimestre, contre un bénéfice de 242 millions d'euros au 2ème trimestre 2009 et de 269 million au 1er trimestre de l'exercice.
'La dégradation des marchés d'actions a affecté les performances sous-jacentes de nos activités d'assurance, particulièrement en ce qui concerne l'assurance-vie aux Etats-Unis, même si d'un point de vue opérationnel le résultat de l'assurance s'inscrit en légère hausse par rapport au 1er trimestre', indique Jan Hommen, le directeur général du groupe.
Concernant le projet de séparation de ses activités de banque et d'assurance, ING se donne pour objectif l'existence de deux unités opérationnelles indépendantes d'ici à la fin de l'année.
Les coûts liés à la scission sont estimés à 110-150 millions d'euros sur l'exercice 2010, dont 30 millions ont d'ores et déjà enregistrés dans le courant du premier semestre.
'Parallèlement, nous faisons en sorte d'améliorer les performances de la branche assurance, tout en étudiant nos options afin d'être prêts au moment où les marchés seront plus favorables', conclut Jan Hommen.
ING doit vendre son activité d'assurance afin de satisfaire aux exigences de la Commission européenne après l'octroi d'importantes aides gouvernementales au moment de la crise financière.
Copyright © 2010 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Le bancassureur néerlandais annonce un bénéfice net de 1.090 millions au deuxième trimestre, à comparer avec un profit de 71 millions d'euros sur le même trimestre de l'an passé.
Son résultat sous-jacent atteint 1.202 millions d'euros au 2ème trimestre, contre 212 millions d'euros au 2ème trimestre 2009 et 1.018 millions d'euros au 1er trimestre 2010.
Sur cette même base, la division bancaire du groupe a dégagé sur le trimestre un bénéfice sous-jacent imposable de 1.613 millions d'euros, contre une perte de 186 millions d''euros un an plus tôt et un profit de 1.278 millions sur les trois premiers mois de l'année.
La division assurance publie de son côté une perte de 115 millions d'euros sur le trimestre, contre un bénéfice de 242 millions d'euros au 2ème trimestre 2009 et de 269 million au 1er trimestre de l'exercice.
'La dégradation des marchés d'actions a affecté les performances sous-jacentes de nos activités d'assurance, particulièrement en ce qui concerne l'assurance-vie aux Etats-Unis, même si d'un point de vue opérationnel le résultat de l'assurance s'inscrit en légère hausse par rapport au 1er trimestre', indique Jan Hommen, le directeur général du groupe.
Concernant le projet de séparation de ses activités de banque et d'assurance, ING se donne pour objectif l'existence de deux unités opérationnelles indépendantes d'ici à la fin de l'année.
Les coûts liés à la scission sont estimés à 110-150 millions d'euros sur l'exercice 2010, dont 30 millions ont d'ores et déjà enregistrés dans le courant du premier semestre.
'Parallèlement, nous faisons en sorte d'améliorer les performances de la branche assurance, tout en étudiant nos options afin d'être prêts au moment où les marchés seront plus favorables', conclut Jan Hommen.
ING doit vendre son activité d'assurance afin de satisfaire aux exigences de la Commission européenne après l'octroi d'importantes aides gouvernementales au moment de la crise financière.
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