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Le groupe Philippe Ginestet (GPG), du fondateur des magasins de déco Gifi, s'est dit satisfait lundi de la décision du tribunal de commerce de Bobigny de repousser l'étude des offres de reprise de Tati pour obtenir leur amélioration.
"On a un motif de satisfaction aujourd'hui, c'est que le tribunal de commerce a clairement donné la direction en demandant à tous les repreneurs de se réunir et de travailler sur la complémentarité de leurs offres", s'est réjoui Me Guilhem Bremond, avocat de GPG, qui propose de reprendre 1.300 emplois directs et de conserver la marque Tati.
Cela "veut dire que autour du projet Gifi, qui est le seul qui assure un redressement de l'entreprise Tati comme un ensemble, il faut organiser la cession d'un certain nombre de magasins hors périmètre, à des enseignes concurrentes qui vont l'exploiter sous leur enseigne", a-t-il ajouté.
"Au global, avec cette complémentarité on doit pouvoir assurer l'avenir de 90% de Tati", a-t-il affirmé.
Le tribunal de commerce de Bobigny, qui devait examiner lundi les offres de reprise de Tati et de trois autres enseignes d'Eram, avec en jeu le sort de plus de 1.700 emplois, a renvoyé le dossier au 19 juin, à la demande du CE de Tati, pour que les repreneurs améliorent leurs offres.
© 2017 AFP
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