OK
Accueil > Marchés > Cotation Transgene > Actus Transgene

Transgene : Point sur la stratégie de développement et information financière du 1er semestre 2016


Actualité publiée le 05/09/16 17:35

Regulatory News:

Transgene (Paris:TNG) (Euronext Paris:TNG), société biopharmaceutique qui conçoit et développe des produits d’immunothérapie ciblée contre les cancers et les maladies infectieuses, publie ses résultats au 30 juin 2016 et fait un point sur son activité et le développement de son portefeuille de vaccins thérapeutiques et virus oncolytiques.

Depuis le début de l’année, Transgene s’est focalisée sur la mise en œuvre de sa stratégie, visant à combiner ses immunothérapies avec d’autres approches immunothérapeutiques, en particulier les bloqueurs de points de contrôle immunitaire (ICIs). La puissance de ces associations a suscité un grand intérêt lors de la dernière réunion annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) qui s’est tenue à Chicago en juin dernier.

Le fondement scientifique de ces combinaisons repose sur l’association des immunothérapies, telles que celles de Transgene (vaccins thérapeutiques et virus oncolytiques), qui arment et stimulent la réponse immunitaire des patients, avec des ICIs, qui renforcent leurs effets en levant les freins à la réponse immunitaire. Transgene a déjà démontré, dans différents modèles tumoraux précliniques, les effets positifs de ces associations. Plus généralement, ces mécanismes sont désormais reconnus par la communauté scientifique et ont fait l’objet de plusieurs publications scientifiques de référence. Combiner ces immunothérapies et leurs différents mécanismes d’action a pour objectif d’augmenter le nombre de patients répondant positivement aux traitements et d’améliorer leur survie. Cliniciens et sociétés pharmaceutiques ont salué les résultats encourageants accumulés à ce jour par nos produits et leur potentiel en combinaison. Les premiers éléments de résultat des essais cliniques en association avec des ICIs seront obtenus dès 2017.

En parallèle de nos avancées sur les programmes cliniques, nos équipes de recherche ont pu mettre en valeur la capacité de Transgene à être à la pointe de l’innovation dans le champ de l’immunothérapie.

« Centrée sur ses activités de recherche et développement, Transgene dispose de tous les atouts pour se positionner en tant que leader reconnu en immunothérapie, au service des patients atteints de pathologies sévères et en attente de meilleurs traitements, et pour concrétiser des partenariats de développement » expliquePhilippe Archinard, Président et Directeur Général de Transgene.

Revue du portefeuille de produits

1.Vaccins thérapeutiques

TG4010 : développement centré sur les études de Phase 2 en combinaison avec des ICIs

TG4010 est un vaccin thérapeutique qui induit une réponse immunitaire contre les tumeurs exprimant MUC1, telles que les cancers du poumon non à petites cellules (NSCLC) non épidermoïdes. Son mécanisme d’action et son excellent profil de sécurité en font un candidat de choix pour les combinaisons avec d’autres thérapies.

Le plan de développement de TG4010 a pour but de positionner clairement Transgene, d’ici à la fin de 2017, dans toutes les configurations pertinentes, que ce soit en première ou en deuxième ligne de traitement du NSCLC.
Transgene se concentre exclusivement sur des études de Phase 2, qui peuvent générer, dès 2017, un ensemble de données complet et cohérent. Par ailleurs, la Société a décidé de ne pas lancer l’étude de Phase 3 de TG4010 en combinaison avec la chimiothérapie en première ligne de traitement pour se concentrer dans cette indication sur les patients « PD-L1 négatifs1 », dans un premier temps.

De récents essais cliniques dans le NSCLC ont démontré l’efficacité de plusieurs ICIs en première ligne de traitement. Toutefois, environ 30% seulement des patients répondent à ces thérapies. De meilleures options sont donc nécessaires pour les soins en première intention, en particulier pour les patients « PD-L1 négatifs », pour lesquels le traitement de référence actuel reste la chimiothérapie. En deuxième ligne de traitement, qui comprend maintenant le recours à des ICIs, l’enjeu est dorénavant d’améliorer le pronostic des patients et d’augmenter leur taux de réponse aux traitements. C'est sur cette amplification de la réponse que l'apport de Transgene peut se révéler déterminant.
En ligne avec sa stratégie, Transgene entend ainsi capitaliser sur les développements récents survenus dans le traitement du cancer du poumon pour faire de TG4010 un candidat idéal en combinaison avec les standards de soin actuels et futurs.

TG4010
+ Opdivo®
(nivolumab)
Phase 2

 

 

Cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) – 2ème ligne

 

  • Démarrage de l’étude au S2 2016 (NCT02823990), pour des premiers résultats attendus en 2017
  • Essai de TG4010 en combinaison avec Opdivo®, mené par le UC Davis Medical Center (États-Unis)

TG4010
+ ICIs
Phase 2

 

Cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) – 1ère ligne

 

  • Préparation d’essais cliniques de Phase 2 (patients exprimant peu ou pas PD-L1)
  • Démarrage des études attendu au S1 2017

TG4001 : préparation d’une étude de Phase 2 en combinaison avec un ICI

TG4001 est un vaccin thérapeutique qui a déjà été administré à plus de 300 patientes présentant des néoplasies cervicales intraépithéliales (CIN 2/3). Ce produit a montré une bonne sécurité, une élimination du virus HPV significative et des résultats d’efficacité prometteurs. Son mécanisme d’action et son excellent profil de sécurité font de TG4001 un candidat pertinent pour les combinaisons avec d’autres thérapies telles que les ICIs.

TG4001
+ ICI
Phase 2

 

  Cancer de la tête et du cou positif au virus HPV – 2ème ligne

 

  • Démarrage de l’étude au S1 2017
  • Prof. Christophe Le Tourneau, Institut Curie, investigateur principal
  • Transgene promoteur de l’étude

TG1050 est un vaccin thérapeutique pour le traitement de l’hépatite B chronique. Transgene a initié, en 2015, une étude clinique (NCT02428400), la première chez l’Homme, destinée à évaluer la sécurité et la tolérance de TG1050 chez des patients atteints d’infection à VHB chronique, en cours de traitement antiviral standard. TG1050 fait aussi l’objet d’un développement en Chine, via la joint-venture de Transgene avec Tasly Biopharmaceutical Technology.

TG1050
+ traitement
antiviral
de référence
Phase 1/1b

 

  Hépatite B chronique

 

  • Poursuite de l’étude de phase 1/1b de TG1050 suite à la recommandation positive du Comité d’Évaluation de la Sécurité en juillet 2016
  • Obtention d’un numéro d’IND en Chine
  • Premiers résultats attendus au S2 2017

2.Virus oncolytiques

Pexa-Vec : lancement de l’essai de Phase 3 et préparation des études de Phase 2 en combinaison avec des ICIs

Pexa-Vec
+ sorafenib
(PHOCUS)
Phase 3

 

  Cancer du foie avancé (carcinome hépatocellulaire) – 1ère ligne

 

  • Inclusion du 1er patient et ouverture progressive de sites cliniques
  • Présentation d’un poster à l’ASCO
  • Essai clinique piloté par SillaJen, Inc. partenaire de Transgene
  • Premières données attendues en 2019

Pexa-Vec
+ ipilimumab
Phase 2

 

Tumeurs solides

 

  • Préparation de l’essai clinique de Phase 2 avec le Centre Léon Bérard, promoteur de l’étude
  • Démarrage de l’essai au S2 2016, premiers résultats attendus au S1 2017

Pexa-Vec
+ nivolumab
Phase 2

 

Cancer du foie avancé (carcinome hépatocellulaire) – 1ère ligne

 

  • Préparation de l’essai clinique de Phase 2 (USA + Europe)
  • Démarrage de l’étude au S1 2017

TG6002 : préparation du premier essai chez l’Homme

Nouvelle génération d’immunothérapie oncolytique, TG6002 a été conçu pour induire la destruction des cellules cancéreuses (oncolyse) et pour exprimer le gène FCU1 dans les cellules tumorales qu’il a infectées. L’expression de ce gène permet de transformer un promédicament non toxique pour les cellules, la flucytosine (5-FC), en une chimiothérapie couramment utilisée, le 5-FU. Du fait de son mécanisme d’action différent, TG6002 a le potentiel d’être utilisé en combinaison avec les traitements conventionnels ou bien seul dans le cadre de cancers résistants à ces traitements.

TG6002
Phase 1

 

  Glioblastome

 

  • Préparation de l’étude avec l’AP-HP (Pr Delattre investigateur principal), avec le soutien de l’INCA
  • Démarrage de l’étude au S1 2017

3.Portefeuille préclinique

Au cours du semestre, Transgene a intensifié ses recherches précliniques sur deux axes principaux :

  • La conception de nouveaux virus oncolytiques innovants, intégrant des modalités thérapeutiques telles que des ICIs et des enzymes (qu’il s’agisse d’enzymes activant des promédicaments ou d’enzymes dégradant des agents immunosuppresseurs). Ils ont tous pour vocation de moduler le micro-environnement tumoral et d’augmenter l’activité de la réponse anti-tumorale ;
  • Le développement de nouvelles modalités innovantes de sélection préclinique, de nouveaux modes d’administration et de caractérisation de nouveaux candidats médicaments.

À travers la présentation de plusieurs posters à des congrès de référence, Transgene a notamment eu l’occasion d’expliquer ses dernières innovations en matière d’onco-immunologie et de maladies infectieuses. Par exemple, Transgene a présenté un poster à la dernière réunion de l’AACR (American Association for Cancer Research), dévoilant les caractéristiques d’un vaccinia virus oncolytique exprimant un anticorps anti-PD-1, et apportant ainsi la preuve de notre capacité à concevoir des virus avancés et multifonctionnels dans une approche « 2 en 1 ».

L’intégration de modalités thérapeutiques complexes dans un virus oncolytique a pour ambition de générer plusieurs nouveaux candidats médicaments.

Corporate

  • Finalisation de la réorganisation de la société et cession de l’unité de production à ABL Europe pour 3,5 millions d’euros. Les économies sont de l’ordre de 15 millions d’euros par an.
  • Renforcement de l’équipe de direction : arrivée de Maud Brandely (MD, PhD) en tant que Directeur du Développement clinique, des Opérations cliniques et des Affaires réglementaires et de John Felitti, Docteur en droit, comme Secrétaire général et Directeur juridique.

Principaux éléments financiers

Principaux éléments du compte de résultat

(en milliers d’euros)   30/06/2016   30/06/2015
Produits opérationnels   4 875   5 255
Dépenses de recherche et développement   (12 504)   (16 907)
Frais généraux (3 406) (2 991)
Autres produits/(charges) nets   336   (5 536)
Charges opérationnelles nettes   (15 574)   (25 434)
Résultat opérationnel sur activités poursuivies   (10 699)   (20 179)
Résultat net sur activités poursuivies   (11 639)   (21 659)
Résultat net sur activités abandonnées   (514)   (6 424)
Résultat net   (12 153)   (28 083)

Les produits opérationnels se sont élevés à 4,9 millions d’euros au 30 juin 2016 contre 5,3 millions d’euros un an plus tôt. Au cours du premier semestre 2016, les revenus des accords de collaboration et de licence se sont établis à 1,9 million d’euros contre 0,8 million d’euros sur la même période de 2015. Ils se composent essentiellement de prestations de recherche et de redevances sur licences et comprennent une rémunération ponctuelle de 1,3 million d’euros versée par Sanofi Chimie.

Les financements publics de dépenses de recherche ressortent respectivement à 3,0 millions d’euros et 4,5 millions d’euros pour les six premiers mois de 2016 et 2015. Ils incluent le crédit d’impôt recherche pour un montant de 2,9 millions d’euros au 30 juin 2016 contre 4,3 millions d’euros au 30 juin 2015. Cette baisse s’explique par la réduction de la base de dépenses éligibles au crédit d’impôt recherche, suite à la réorganisation de la société annoncée au premier semestre de 2015.

Les dépenses de recherche et développement (R&D) ont représenté 12,5 millions d’euros au premier semestre 2016, contre 16,9 millions d’euros sur la même période en 2015. Cette baisse s’explique essentiellement par la réorganisation décidée en juin 2015. Les dépenses externes pour les essais cliniques sont en augmentation du fait de l’avancement du plan de développement des produits TG4010, Pexa-Vec et TG1050. Les frais généraux s’établissent à 3,4 millions d’euros au premier semestre 2016, contre 3,0 millions d’euros sur la même période en 2015.

En conséquence, la perte nette globale se réduit significativement à 12,2 millions d’euros au premier semestre 2016 contre 28,1 millions d’euros sur la même période de 2015.

La trésorerie et les équivalents de trésorerie, les actifs financiers disponibles à la vente et les autres actifs financiers courants s’élevaient à 33,4 millions d’euros au 30 juin 2016, contre 31,7 millions d’euros au 31 décembre 2015.

  • La consommation de trésorerie (hors financement BEI) se réduit de 37%, à 8,2 millions d’euros au cours du premier semestre 2016, contre 13,0 millions d’euros un an plus tôt. Les décaissements nets liés au Plan de Sauvegarde de l’Emploi (PSE) ont représenté 3,6 millions d’euros sur la période. Hors décaissements afférents à la réorganisation, la consommation de trésorerie est de 4,6 millions d’euros sur le premier semestre 2016, confirmant les effets du plan de réorganisation.
  • En juin 2016, Transgene a tiré la première tranche du prêt octroyé par la Banque Européenne d’Investissement (BEI) en janvier de la même année. Ce premier tirage de 10 millions d’euros, sur les 20 millions disponibles, sera remboursable en 2021 et les intérêts cumulés, payables à partir de 2019.

« Les résultats de ce premier trimestre 2016 reflètent la réorganisation de la société opérée depuis 2015. Nous avons sensiblement réduit nos coûts de fonctionnement, ce qui nous permet de disposer des ressources financières nécessaires à nos développements prometteurs en préclinique et en clinique, tout en maîtrisant notre consommation de trésorerie » commente Jean-Philippe Del, Directeur Financier de Transgene.

La Société confirme sa prévision de consommation de trésorerie de l’ordre de 35 millions d’euros sur l’année 2016. Elle prend en compte l’augmentation significative de la consommation de trésorerie au second semestre 2016, par rapport au premier semestre, qui s’explique par :

  • Une accélération de notre plan de développement clinique et donc des dépenses associées ;
  • Des décaissements exceptionnels prévus sur le second semestre :
    • Paiement d’une prime d’étape à SillaJen, Inc. au titre du premier patient de Phase 3 en Europe avec Pexa-Vec (étude Phocus),
    • Augmentation de capital de notre joint-venture en Chine avec la société Tasly Biopharmaceutical Technology;
  • Des encaissements majeurs sur le premier semestre uniquement, notamment le financement des crédits d’impôts (7,6 millions d’euros) et de la rémunération complémentaire de Sanofi (1,3 million d’euros).

La Société rappelle qu’elle bénéficie toujours de financements complémentaires actionnables sur l’année 2016 : la seconde tranche du prêt de la BEI pour 10 millions d’euros, ainsi que l’engagement donné par l’Institut Mérieux à hauteur de 10 millions d’euros.

Le Conseil d’administration de Transgene, présidé par Philippe Archinard, s’est réuni le 1er septembre 2016 et a procédé à l’examen des comptes au 30 juin 2016 publiés ce jour. Les comptes ont fait l’objet d’un examen limité des Commissaires aux Comptes. Le rapport financier semestriel complet est disponible sur le site internet de Transgene, www.transgene.fr.


5 septembre à 18h00 CET

 

Lien webcast vers la conférence en français :
http://edge.media-server.com/m/p/bpgh4mbi

 

Numéro de téléphone pour les participants :

 

France : +33 (0)1 76 77 22 25
Royaume-Uni : +44 (0)20 3427 1912
États-Unis : + 1 212 444 0481
Code de confirmation : 7860102

 

Un enregistrement audio sera également
disponible sur le site internet de la société :
www.transgene.fr après la conférence.

 


6 septembre à 18h00 CET

 

Lien webcast vers la conférence en anglais :
http://edge.media-server.com/m/p/oermaiem

 

Numéro de téléphone pour les participants :

 

France : +33 (0)1 76 77 22 30
Royaume-Uni : +44 (0)20 3427 1916
États-Unis : +1 212 444 0895
Code de confirmation : 5713370

 

Un enregistrement audio sera également
disponible sur le site internet de la société :
www.transgene.fr après la conférence.

À propos de Transgene
Transgene (Euronext : TNG), qui fait partie de l’Institut Mérieux, est une société biopharmaceutique qui conçoit et développe des produits d’immunothérapie ciblée contre les cancers et les maladies infectieuses. Ces produits utilisent des vecteurs viraux pour détruire directement ou indirectement les cellules infectées ou cancéreuses. Transgene a deux produits principaux en développement clinique : TG4010 dans le cancer bronchique non à petites cellules et Pexa-Vec dans le cancer du foie. La Société a également plusieurs autres programmes en recherche et en développement préclinique et clinique basés sur sa technologie des vecteurs viraux. Transgene est basée à Strasbourg et a des activités opérationnelles à Lyon et une joint-venture en Chine. Plus d’informations sur www.transgene.fr.

Suivez-nous sur Twitter : @TransgeneSA

Déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des informations et/ou déclarations prospectives de Transgene concernant sa situation financière, y compris sa consommation de trésorerie. Bien que la Société considère que ces informations et projections sont fondées sur des hypothèses raisonnables, elles peuvent être remises en cause par un certain nombre d’aléas et d’incertitudes, de sorte que les résultats effectifs pourraient différer significativement de ceux anticipés et pourraient avoir un impact négatif significatif sur les activités de la Société, ses perspectives, sa situation financière, ses résultats ou ses développements. La capacité de la Société à commercialiser ses produits est soumise notamment, mais pas exclusivement, aux facteurs suivants : la reproduction chez l’homme de résultats précliniques positifs ; la réussite d’essais cliniques, la capacité à obtenir des financements et ou des partenariats pour le développement et la commercialisation des produits, et l’obtention des autorisations réglementaires de mise sur le marché. Pour une description des risques et incertitudes de nature à affecter les résultats, la situation financière, les performances ou les réalisations de la Société et ainsi à entraîner une variation par rapport aux déclarations prospectives, veuillez-vous référer à la section « Facteurs de Risque » du Document de Référence et de son Actualisation déposés auprès de l’AMF et disponibles sur les sites Internet de l’AMF (www.amf-france.org) et de la Société (www.transgene.fr).

Annexes

Bilan consolidé, IFRS
(en milliers d’euros)

ACTIF   30/06/2016   31/12/2015

   
Trésorerie et équivalents de trésorerie 5 608 3 285
Autres actifs financiers courants 27 760 28 365
Trésorerie, équivalents de trésorerie et autres actifs financiers courants :33 36831 650
Créances clients 2 384 1 784
Stocks 151 1 164
Autres actifs courants 15 324 12 930
Actifs détenus et destinés à la vente   -   3 500
Total actif courant   51 227   51 028

Immobilisations corporelles 15 357 16 559
Immobilisations incorporelles 512 485
Immobilisations financières 5 064 4 050
Titres de participation mis en équivalence 734 1 148
Autres actifs non courants   21 623   27 599
Total actif non courant   43 290   49 841
Total actif   94 517   100 869
PASSIF ET CAPITAUX PROPRES   30/06/2016   31/12/2015

   
Fournisseurs 6 985 6 521
Passifs financiers 9 967 9 396
Provisions pour risques 3 249 7 038
Autres passifs courants   3 356   3 770
Total passif courant   23 557   26 725

Passifs financiers 53 169 44 401
Avantages au personnel 3 335 3 196
Autres passifs non courants   -   -
Total passif non courant   56 504   47 597
Total passif   80 061   74 322

Capital 38 545 88 196
Prime d’émission et réserves 476 875 476 788
Report à nouveau (487 987) (491 263)
Résultat de la période (12 153) (46 374)
Autres éléments du résultat global   (824)   (800)

Total des capitaux propres revenant aux
actionnaires de la société

  14 456   26 547
Total passif et capitaux propres   94 517   100 869

Compte de résultat consolidé, IFRS
(en milliers d’euros, sauf pour les données par action)

    30/06/2016   30/06/2015
Revenus des accords de collaboration et de licence   1 905   777
Financements publics de dépenses de recherche   2 970   4 478
Produits opérationnels   4 875   5 255
Dépenses de recherche et développement (12 504) (16 907)
Frais généraux (3 406) (2 991)
Autres produits et (charges), nets   336   (5 536)
Charges opérationnelles nettes   (15 574)   (25 434)
Résultat opérationnel sur activités poursuivies   (10 699)   (20 179)
Produits financiers (charges), nets (526) (882)
Quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence   (414)   (598)
Résultat avant impôt   (11 639)   (21 659)
Charge d’impôt sur le résultat   -   -
Résultat net sur activités poursuivies   (11 639)   (21 659)
Résultat net sur activités abandonnées   (514)   (6 424)
Résultat net   (12 153)   (28 083)
Résultat net par action (€) – de base (0,32) (0,73)
Résultat net par action (€) – dilué (0,32) (0,73)

État consolidé du résultat global, IFRS
(en milliers d’euros)

    30/06/2016   30/06/2015
Résultat net   (12 153)   (28 083)
Gains / (pertes) de change (2) 13
Réévaluation des instruments dérivés de couverture   (22)   102
Autres éléments du résultat global recyclables   (24)   115
Résultat net global   (12 177)   (27 968)
Dont, part revenant à la société mère : (12 177)(27 968)
Dont, intérêts minoritaires : - -

Tableau de flux de trésorerie, IFRS,
(en milliers d’euros)

    30/06/2016   30/06/2015
Flux de trésorerie liés à l’activité :    
Résultat net sur activités poursuivies (11 638) (28 083)
Résultat net sur activités abandonnées (514) -
Annulation du résultat financier 526 882
Élimination des éléments non monétaires
Résultat des sociétés mises en équivalence 414 598
Provisions (6 593) 8 933
Amortissements 1 291 1 489
Paiements en actions 87 231
Autres   6 220   6

Trésorerie nette absorbée par les opérations avant variation du besoin en fonds
de roulement et autres éléments opérationnels :

  (10 207)   (15 944)
Variation des besoins en fonds de roulement d’exploitation :
Créances courantes et charges constatées d’avance (2 186) (202)
Stocks et travaux en cours 1 013 12
Crédit d’impôt recherche (2 997) (4 487)
Actifs destinés à la vente 2 000 -
Autres actifs courants (2 347) 311
Fournisseurs 414 (169)
Produits constatés d’avance (65) 376
Avantages au personnel (348) 293
Autres passifs courants   (2)   (2)
Trésorerie nette absorbée par les opérations :   (14 725)   (19 812)
Flux de trésorerie liés aux activités d’investissement :
(Acquisitions) / cessions d’immobilisations corporelles 159 (578)
(Acquisitions) / cessions d’immobilisations incorporelles (4) (4)
Autres (acquisitions) / cessions   330   355
Trésorerie nette absorbée par les activités d’investissement :   485   (227)
Flux de trésorerie liés aux activités de financement :
Résultat financier net encaissé (130) (443)
Produit brut de l’émission d’actions - 111
Frais d’émission d’actions - -
Financements publics conditionnés - -
(Acquisitions) / cessions d’autres actifs financiers 605 13 246
Montant net reçu sur financement de crédits d’impôts 6 760 7 975
Prêt bancaire reçu 10 000 -
Locations financières   (670)   (543)
Trésorerie nette provenant des / (absorbée par les) activités de financement :   16 566   20 346
Écarts de change sur la trésorerie et les équivalents de trésorerie   (2)   13
Augmentation / (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie :   2 324   320
Trésorerie et équivalents de trésorerie à l’ouverture   3 285   3 513
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture :   5 609   3 833
Investissements dans les autres actifs financiers courants   27 760   49 175
Trésorerie, équivalents de trésorerie et autres actifs financiers courants :   33 369   53 008

1 Il existe, à la surface des cellules T, une molécule, PD-1, qui se lie à une autre molécule à la surface de certaines cellules cancéreuses, PD-L1. Cette interaction empêche l’action du lymphocyte T contre la cellule anormale et permet le développement de la tumeur. En inhibant PD-1 ou PD-L1, les ICIs aident le système immunitaire à pouvoir à nouveau éliminer les cellules cancéreuses. Néanmoins, ces marqueurs s’expriment à différents degrés chez les patients. Lorsque les patients ont un niveau élevé de PD-L1, les ICIs ont montré une réelle efficacité dans certaines indications. Lorsque le niveau de PD-L1 est bas ou indétectable (patients « PD-L1 négatifs »), les ICIs ont démontré, à ce jour, une efficacité insuffisante.



© Business Wire

Vous avez aimé cet article ? Partagez-le avec vos amis avec les boutons ci-dessous.

Twitter Facebook Linkedin email

Soyez le premier à réagir à cet article

Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.

mdhZumLKquMFKCGaV1vNTHg0BqRvzg8EEG8h-1Cnz65Fqa-sk0lZvR6H-sEw6Hm9

Comparatif des courtiers en ligne