Regulatory News:
Transgene (Paris:TNG) (Euronext Paris:TNG), société biopharmaceutique qui conçoit et développe des produits d’immunothérapie ciblée contre les cancers et les maladies infectieuses, publie ses résultats au 30 juin 2016 et fait un point sur son activité et le développement de son portefeuille de vaccins thérapeutiques et virus oncolytiques.
Depuis le début de l’année, Transgene s’est focalisée sur la mise en œuvre de sa stratégie, visant à combiner ses immunothérapies avec d’autres approches immunothérapeutiques, en particulier les bloqueurs de points de contrôle immunitaire (ICIs). La puissance de ces associations a suscité un grand intérêt lors de la dernière réunion annuelle de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) qui s’est tenue à Chicago en juin dernier.
Le fondement scientifique de ces combinaisons repose sur l’association des immunothérapies, telles que celles de Transgene (vaccins thérapeutiques et virus oncolytiques), qui arment et stimulent la réponse immunitaire des patients, avec des ICIs, qui renforcent leurs effets en levant les freins à la réponse immunitaire. Transgene a déjà démontré, dans différents modèles tumoraux précliniques, les effets positifs de ces associations. Plus généralement, ces mécanismes sont désormais reconnus par la communauté scientifique et ont fait l’objet de plusieurs publications scientifiques de référence. Combiner ces immunothérapies et leurs différents mécanismes d’action a pour objectif d’augmenter le nombre de patients répondant positivement aux traitements et d’améliorer leur survie. Cliniciens et sociétés pharmaceutiques ont salué les résultats encourageants accumulés à ce jour par nos produits et leur potentiel en combinaison. Les premiers éléments de résultat des essais cliniques en association avec des ICIs seront obtenus dès 2017.
En parallèle de nos avancées sur les programmes cliniques, nos équipes de recherche ont pu mettre en valeur la capacité de Transgene à être à la pointe de l’innovation dans le champ de l’immunothérapie.
« Centrée sur ses activités de recherche et développement, Transgene dispose de tous les atouts pour se positionner en tant que leader reconnu en immunothérapie, au service des patients atteints de pathologies sévères et en attente de meilleurs traitements, et pour concrétiser des partenariats de développement » expliquePhilippe Archinard, Président et Directeur Général de Transgene.
Revue du portefeuille de produits
1.Vaccins thérapeutiques
TG4010 : développement centré sur les études de Phase 2 en combinaison avec des ICIs
TG4010 est un vaccin thérapeutique qui induit une réponse immunitaire contre les tumeurs exprimant MUC1, telles que les cancers du poumon non à petites cellules (NSCLC) non épidermoïdes. Son mécanisme d’action et son excellent profil de sécurité en font un candidat de choix pour les combinaisons avec d’autres thérapies.
Le plan de développement de TG4010 a pour but de positionner
clairement Transgene, d’ici à la fin de 2017, dans toutes les
configurations pertinentes, que ce soit en première ou en deuxième ligne
de traitement du NSCLC.
Transgene se concentre exclusivement
sur des études de Phase 2, qui peuvent générer, dès 2017, un ensemble de
données complet et cohérent. Par ailleurs, la Société a décidé de
ne pas lancer l’étude de Phase 3 de TG4010 en combinaison avec la
chimiothérapie en première ligne de traitement pour se concentrer dans
cette indication sur les patients « PD-L1 négatifs1 »,
dans un premier temps.
De récents essais cliniques dans le NSCLC ont démontré l’efficacité de
plusieurs ICIs en première ligne de traitement. Toutefois, environ 30%
seulement des patients répondent à ces thérapies. De meilleures options
sont donc nécessaires pour les soins en première intention, en
particulier pour les patients « PD-L1 négatifs », pour lesquels le
traitement de référence actuel reste la chimiothérapie. En deuxième
ligne de traitement, qui comprend maintenant le recours à des ICIs,
l’enjeu est dorénavant d’améliorer le pronostic des patients et
d’augmenter leur taux de réponse aux traitements. C'est sur cette
amplification de la réponse que l'apport de Transgene peut se révéler
déterminant.
En ligne avec sa stratégie, Transgene entend ainsi
capitaliser sur les développements récents survenus dans le traitement
du cancer du poumon pour faire de TG4010 un candidat idéal en
combinaison avec les standards de soin actuels et futurs.
TG4010
| Cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) – 2ème ligne
| |
TG4010
| Cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) – 1ère
ligne
|
TG4001 : préparation d’une étude de Phase 2 en combinaison avec un ICI
TG4001 est un vaccin thérapeutique qui a déjà été administré à plus de 300 patientes présentant des néoplasies cervicales intraépithéliales (CIN 2/3). Ce produit a montré une bonne sécurité, une élimination du virus HPV significative et des résultats d’efficacité prometteurs. Son mécanisme d’action et son excellent profil de sécurité font de TG4001 un candidat pertinent pour les combinaisons avec d’autres thérapies telles que les ICIs.
TG4001
| Cancer de la tête et du cou positif au virus HPV – 2ème
ligne
|
TG1050 est un vaccin thérapeutique pour le traitement de l’hépatite B chronique. Transgene a initié, en 2015, une étude clinique (NCT02428400), la première chez l’Homme, destinée à évaluer la sécurité et la tolérance de TG1050 chez des patients atteints d’infection à VHB chronique, en cours de traitement antiviral standard. TG1050 fait aussi l’objet d’un développement en Chine, via la joint-venture de Transgene avec Tasly Biopharmaceutical Technology.
TG1050
| Hépatite B chronique
|
2.Virus oncolytiques
Pexa-Vec : lancement de l’essai de Phase 3 et préparation des études de Phase 2 en combinaison avec des ICIs
Pexa-Vec
| Cancer du foie avancé (carcinome hépatocellulaire) – 1ère
ligne
| |
Pexa-Vec
| Tumeurs solides
| |
Pexa-Vec
| Cancer du foie avancé (carcinome hépatocellulaire) – 1ère
ligne
|
TG6002 : préparation du premier essai chez l’Homme
Nouvelle génération d’immunothérapie oncolytique, TG6002 a été conçu pour induire la destruction des cellules cancéreuses (oncolyse) et pour exprimer le gène FCU1 dans les cellules tumorales qu’il a infectées. L’expression de ce gène permet de transformer un promédicament non toxique pour les cellules, la flucytosine (5-FC), en une chimiothérapie couramment utilisée, le 5-FU. Du fait de son mécanisme d’action différent, TG6002 a le potentiel d’être utilisé en combinaison avec les traitements conventionnels ou bien seul dans le cadre de cancers résistants à ces traitements.
TG6002
| Glioblastome
|
3.Portefeuille préclinique
Au cours du semestre, Transgene a intensifié ses recherches précliniques sur deux axes principaux :
- La conception de nouveaux virus oncolytiques innovants, intégrant des modalités thérapeutiques telles que des ICIs et des enzymes (qu’il s’agisse d’enzymes activant des promédicaments ou d’enzymes dégradant des agents immunosuppresseurs). Ils ont tous pour vocation de moduler le micro-environnement tumoral et d’augmenter l’activité de la réponse anti-tumorale ;
- Le développement de nouvelles modalités innovantes de sélection préclinique, de nouveaux modes d’administration et de caractérisation de nouveaux candidats médicaments.
À travers la présentation de plusieurs posters à des congrès de référence, Transgene a notamment eu l’occasion d’expliquer ses dernières innovations en matière d’onco-immunologie et de maladies infectieuses. Par exemple, Transgene a présenté un poster à la dernière réunion de l’AACR (American Association for Cancer Research), dévoilant les caractéristiques d’un vaccinia virus oncolytique exprimant un anticorps anti-PD-1, et apportant ainsi la preuve de notre capacité à concevoir des virus avancés et multifonctionnels dans une approche « 2 en 1 ».
L’intégration de modalités thérapeutiques complexes dans un virus oncolytique a pour ambition de générer plusieurs nouveaux candidats médicaments.
Corporate
- Finalisation de la réorganisation de la société et cession de l’unité de production à ABL Europe pour 3,5 millions d’euros. Les économies sont de l’ordre de 15 millions d’euros par an.
- Renforcement de l’équipe de direction : arrivée de Maud Brandely (MD, PhD) en tant que Directeur du Développement clinique, des Opérations cliniques et des Affaires réglementaires et de John Felitti, Docteur en droit, comme Secrétaire général et Directeur juridique.
Principaux éléments financiers
Principaux éléments du compte de résultat
(en milliers d’euros) | 30/06/2016 | 30/06/2015 | ||
Produits opérationnels | 4 875 | 5 255 | ||
Dépenses de recherche et développement | (12 504) | (16 907) | ||
Frais généraux | (3 406) | (2 991) | ||
Autres produits/(charges) nets | 336 | (5 536) | ||
Charges opérationnelles nettes | (15 574) | (25 434) | ||
Résultat opérationnel sur activités poursuivies | (10 699) | (20 179) | ||
Résultat net sur activités poursuivies | (11 639) | (21 659) | ||
Résultat net sur activités abandonnées | (514) | (6 424) | ||
Résultat net | (12 153) | (28 083) |
Les produits opérationnels se sont élevés à 4,9 millions d’euros au 30 juin 2016 contre 5,3 millions d’euros un an plus tôt. Au cours du premier semestre 2016, les revenus des accords de collaboration et de licence se sont établis à 1,9 million d’euros contre 0,8 million d’euros sur la même période de 2015. Ils se composent essentiellement de prestations de recherche et de redevances sur licences et comprennent une rémunération ponctuelle de 1,3 million d’euros versée par Sanofi Chimie.
Les financements publics de dépenses de recherche ressortent respectivement à 3,0 millions d’euros et 4,5 millions d’euros pour les six premiers mois de 2016 et 2015. Ils incluent le crédit d’impôt recherche pour un montant de 2,9 millions d’euros au 30 juin 2016 contre 4,3 millions d’euros au 30 juin 2015. Cette baisse s’explique par la réduction de la base de dépenses éligibles au crédit d’impôt recherche, suite à la réorganisation de la société annoncée au premier semestre de 2015.
Les dépenses de recherche et développement (R&D) ont représenté 12,5 millions d’euros au premier semestre 2016, contre 16,9 millions d’euros sur la même période en 2015. Cette baisse s’explique essentiellement par la réorganisation décidée en juin 2015. Les dépenses externes pour les essais cliniques sont en augmentation du fait de l’avancement du plan de développement des produits TG4010, Pexa-Vec et TG1050. Les frais généraux s’établissent à 3,4 millions d’euros au premier semestre 2016, contre 3,0 millions d’euros sur la même période en 2015.
En conséquence, la perte nette globale se réduit significativement à 12,2 millions d’euros au premier semestre 2016 contre 28,1 millions d’euros sur la même période de 2015.
La trésorerie et les équivalents de trésorerie, les actifs financiers disponibles à la vente et les autres actifs financiers courants s’élevaient à 33,4 millions d’euros au 30 juin 2016, contre 31,7 millions d’euros au 31 décembre 2015.
- La consommation de trésorerie (hors financement BEI) se réduit de 37%, à 8,2 millions d’euros au cours du premier semestre 2016, contre 13,0 millions d’euros un an plus tôt. Les décaissements nets liés au Plan de Sauvegarde de l’Emploi (PSE) ont représenté 3,6 millions d’euros sur la période. Hors décaissements afférents à la réorganisation, la consommation de trésorerie est de 4,6 millions d’euros sur le premier semestre 2016, confirmant les effets du plan de réorganisation.
- En juin 2016, Transgene a tiré la première tranche du prêt octroyé par la Banque Européenne d’Investissement (BEI) en janvier de la même année. Ce premier tirage de 10 millions d’euros, sur les 20 millions disponibles, sera remboursable en 2021 et les intérêts cumulés, payables à partir de 2019.
« Les résultats de ce premier trimestre 2016 reflètent la réorganisation de la société opérée depuis 2015. Nous avons sensiblement réduit nos coûts de fonctionnement, ce qui nous permet de disposer des ressources financières nécessaires à nos développements prometteurs en préclinique et en clinique, tout en maîtrisant notre consommation de trésorerie » commente Jean-Philippe Del, Directeur Financier de Transgene.
La Société confirme sa prévision de consommation de trésorerie de l’ordre de 35 millions d’euros sur l’année 2016. Elle prend en compte l’augmentation significative de la consommation de trésorerie au second semestre 2016, par rapport au premier semestre, qui s’explique par :
- Une accélération de notre plan de développement clinique et donc des dépenses associées ;
-
Des décaissements exceptionnels prévus sur le second semestre :
- Paiement d’une prime d’étape à SillaJen, Inc. au titre du premier patient de Phase 3 en Europe avec Pexa-Vec (étude Phocus),
- Augmentation de capital de notre joint-venture en Chine avec la société Tasly Biopharmaceutical Technology;
- Des encaissements majeurs sur le premier semestre uniquement, notamment le financement des crédits d’impôts (7,6 millions d’euros) et de la rémunération complémentaire de Sanofi (1,3 million d’euros).
La Société rappelle qu’elle bénéficie toujours de financements complémentaires actionnables sur l’année 2016 : la seconde tranche du prêt de la BEI pour 10 millions d’euros, ainsi que l’engagement donné par l’Institut Mérieux à hauteur de 10 millions d’euros.
Le Conseil d’administration de Transgene, présidé par Philippe Archinard, s’est réuni le 1er septembre 2016 et a procédé à l’examen des comptes au 30 juin 2016 publiés ce jour. Les comptes ont fait l’objet d’un examen limité des Commissaires aux Comptes. Le rapport financier semestriel complet est disponible sur le site internet de Transgene, www.transgene.fr.
Lien webcast vers la conférence en français :
Numéro de téléphone pour les participants :
France : +33 (0)1 76 77 22 25
Un enregistrement audio sera également |
Lien webcast vers la conférence en anglais :
Numéro de téléphone pour les participants :
France : +33 (0)1 76 77 22 30
Un enregistrement audio sera également |
À propos de Transgene
Transgene (Euronext : TNG), qui
fait partie de l’Institut Mérieux, est une société biopharmaceutique qui
conçoit et développe des produits d’immunothérapie ciblée contre les
cancers et les maladies infectieuses. Ces produits utilisent des
vecteurs viraux pour détruire directement ou indirectement les cellules
infectées ou cancéreuses. Transgene a deux produits principaux en
développement clinique : TG4010 dans le cancer bronchique non à petites
cellules et Pexa-Vec dans le cancer du foie. La Société a également
plusieurs autres programmes en recherche et en développement préclinique
et clinique basés sur sa technologie des vecteurs viraux. Transgene est
basée à Strasbourg et a des activités opérationnelles à Lyon et une
joint-venture en Chine. Plus d’informations sur www.transgene.fr.
Suivez-nous sur Twitter : @TransgeneSA
Déclarations prospectives
Ce communiqué de presse
contient des informations et/ou déclarations prospectives de Transgene
concernant sa situation financière, y compris sa consommation de
trésorerie. Bien que la Société considère que ces informations et
projections sont fondées sur des hypothèses raisonnables, elles peuvent
être remises en cause par un certain nombre d’aléas et d’incertitudes,
de sorte que les résultats effectifs pourraient différer
significativement de ceux anticipés et pourraient avoir un impact
négatif significatif sur les activités de la Société, ses perspectives,
sa situation financière, ses résultats ou ses développements. La
capacité de la Société à commercialiser ses produits est soumise
notamment, mais pas exclusivement, aux facteurs suivants : la
reproduction chez l’homme de résultats précliniques positifs ; la
réussite d’essais cliniques, la capacité à obtenir des financements et
ou des partenariats pour le développement et la commercialisation des
produits, et l’obtention des autorisations réglementaires de mise sur le
marché. Pour une description des risques et incertitudes de nature à
affecter les résultats, la situation financière, les performances ou les
réalisations de la Société et ainsi à entraîner une variation par
rapport aux déclarations prospectives, veuillez-vous référer à la
section « Facteurs de Risque » du Document de Référence et de son
Actualisation déposés auprès de l’AMF et disponibles sur les sites
Internet de l’AMF (www.amf-france.org)
et de la Société (www.transgene.fr).
Annexes
Bilan consolidé, IFRS
(en milliers d’euros)
ACTIF | 30/06/2016 | 31/12/2015 | ||
Trésorerie et équivalents de trésorerie | 5 608 | 3 285 | ||
Autres actifs financiers courants | 27 760 | 28 365 | ||
Trésorerie, équivalents de trésorerie et autres actifs financiers courants : | 33 368 | 31 650 | ||
Créances clients | 2 384 | 1 784 | ||
Stocks | 151 | 1 164 | ||
Autres actifs courants | 15 324 | 12 930 | ||
Actifs détenus et destinés à la vente | - | 3 500 | ||
Total actif courant | 51 227 | 51 028 | ||
Immobilisations corporelles | 15 357 | 16 559 | ||
Immobilisations incorporelles | 512 | 485 | ||
Immobilisations financières | 5 064 | 4 050 | ||
Titres de participation mis en équivalence | 734 | 1 148 | ||
Autres actifs non courants | 21 623 | 27 599 | ||
Total actif non courant | 43 290 | 49 841 | ||
Total actif | 94 517 | 100 869 |
PASSIF ET CAPITAUX PROPRES | 30/06/2016 | 31/12/2015 | ||
Fournisseurs | 6 985 | 6 521 | ||
Passifs financiers | 9 967 | 9 396 | ||
Provisions pour risques | 3 249 | 7 038 | ||
Autres passifs courants | 3 356 | 3 770 | ||
Total passif courant | 23 557 | 26 725 | ||
Passifs financiers | 53 169 | 44 401 | ||
Avantages au personnel | 3 335 | 3 196 | ||
Autres passifs non courants | - | - | ||
Total passif non courant | 56 504 | 47 597 | ||
Total passif | 80 061 | 74 322 | ||
Capital | 38 545 | 88 196 | ||
Prime d’émission et réserves | 476 875 | 476 788 | ||
Report à nouveau | (487 987) | (491 263) | ||
Résultat de la période | (12 153) | (46 374) | ||
Autres éléments du résultat global | (824) | (800) | ||
Total des capitaux propres revenant aux | 14 456 | 26 547 | ||
Total passif et capitaux propres | 94 517 | 100 869 |
Compte de résultat consolidé, IFRS
(en milliers d’euros,
sauf pour les données par action)
30/06/2016 | 30/06/2015 | |||
Revenus des accords de collaboration et de licence | 1 905 | 777 | ||
Financements publics de dépenses de recherche | 2 970 | 4 478 | ||
Produits opérationnels | 4 875 | 5 255 | ||
Dépenses de recherche et développement | (12 504) | (16 907) | ||
Frais généraux | (3 406) | (2 991) | ||
Autres produits et (charges), nets | 336 | (5 536) | ||
Charges opérationnelles nettes | (15 574) | (25 434) | ||
Résultat opérationnel sur activités poursuivies | (10 699) | (20 179) | ||
Produits financiers (charges), nets | (526) | (882) | ||
Quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence | (414) | (598) | ||
Résultat avant impôt | (11 639) | (21 659) | ||
Charge d’impôt sur le résultat | - | - | ||
Résultat net sur activités poursuivies | (11 639) | (21 659) | ||
Résultat net sur activités abandonnées | (514) | (6 424) | ||
Résultat net | (12 153) | (28 083) | ||
Résultat net par action (€) – de base | (0,32) | (0,73) | ||
Résultat net par action (€) – dilué | (0,32) | (0,73) |
État consolidé du résultat global, IFRS
(en milliers d’euros)
30/06/2016 | 30/06/2015 | |||
Résultat net | (12 153) | (28 083) | ||
Gains / (pertes) de change | (2) | 13 | ||
Réévaluation des instruments dérivés de couverture | (22) | 102 | ||
Autres éléments du résultat global recyclables | (24) | 115 | ||
Résultat net global | (12 177) | (27 968) | ||
Dont, part revenant à la société mère : | (12 177) | (27 968) | ||
Dont, intérêts minoritaires : | - | - |
Tableau de flux de trésorerie, IFRS,
(en milliers d’euros)
30/06/2016 | 30/06/2015 | |||
Flux de trésorerie liés à l’activité : | ||||
Résultat net sur activités poursuivies | (11 638) | (28 083) | ||
Résultat net sur activités abandonnées | (514) | - | ||
Annulation du résultat financier | 526 | 882 | ||
Élimination des éléments non monétaires | ||||
Résultat des sociétés mises en équivalence | 414 | 598 | ||
Provisions | (6 593) | 8 933 | ||
Amortissements | 1 291 | 1 489 | ||
Paiements en actions | 87 | 231 | ||
Autres | 6 220 | 6 | ||
Trésorerie nette absorbée par les opérations avant variation du
besoin en fonds | (10 207) | (15 944) | ||
Variation des besoins en fonds de roulement d’exploitation : | ||||
Créances courantes et charges constatées d’avance | (2 186) | (202) | ||
Stocks et travaux en cours | 1 013 | 12 | ||
Crédit d’impôt recherche | (2 997) | (4 487) | ||
Actifs destinés à la vente | 2 000 | - | ||
Autres actifs courants | (2 347) | 311 | ||
Fournisseurs | 414 | (169) | ||
Produits constatés d’avance | (65) | 376 | ||
Avantages au personnel | (348) | 293 | ||
Autres passifs courants | (2) | (2) | ||
Trésorerie nette absorbée par les opérations : | (14 725) | (19 812) | ||
Flux de trésorerie liés aux activités d’investissement : | ||||
(Acquisitions) / cessions d’immobilisations corporelles | 159 | (578) | ||
(Acquisitions) / cessions d’immobilisations incorporelles | (4) | (4) | ||
Autres (acquisitions) / cessions | 330 | 355 | ||
Trésorerie nette absorbée par les activités d’investissement : | 485 | (227) | ||
Flux de trésorerie liés aux activités de financement : | ||||
Résultat financier net encaissé | (130) | (443) | ||
Produit brut de l’émission d’actions | - | 111 | ||
Frais d’émission d’actions | - | - | ||
Financements publics conditionnés | - | - | ||
(Acquisitions) / cessions d’autres actifs financiers | 605 | 13 246 | ||
Montant net reçu sur financement de crédits d’impôts | 6 760 | 7 975 | ||
Prêt bancaire reçu | 10 000 | - | ||
Locations financières | (670) | (543) | ||
Trésorerie nette provenant des / (absorbée par les) activités de financement : | 16 566 | 20 346 | ||
Écarts de change sur la trésorerie et les équivalents de trésorerie | (2) | 13 | ||
Augmentation / (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie : | 2 324 | 320 | ||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à l’ouverture | 3 285 | 3 513 | ||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture : | 5 609 | 3 833 | ||
Investissements dans les autres actifs financiers courants | 27 760 | 49 175 | ||
Trésorerie, équivalents de trésorerie et autres actifs financiers courants : | 33 369 | 53 008 |
1 Il existe, à la surface des cellules T, une molécule, PD-1, qui se lie à une autre molécule à la surface de certaines cellules cancéreuses, PD-L1. Cette interaction empêche l’action du lymphocyte T contre la cellule anormale et permet le développement de la tumeur. En inhibant PD-1 ou PD-L1, les ICIs aident le système immunitaire à pouvoir à nouveau éliminer les cellules cancéreuses. Néanmoins, ces marqueurs s’expriment à différents degrés chez les patients. Lorsque les patients ont un niveau élevé de PD-L1, les ICIs ont montré une réelle efficacité dans certaines indications. Lorsque le niveau de PD-L1 est bas ou indétectable (patients « PD-L1 négatifs »), les ICIs ont démontré, à ce jour, une efficacité insuffisante.
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