La deuxième vague de la crise financière
Par Charles Dereeper
1,4 milliards d'euros de dépréciation pour la Société Générale au
4ème trimestre. Dans le fond, ce n'est rien, mais..."
... mais en même temps, la BCE a annoncé que les organismes financiers européens devaient passer autour de 180 milliards de dépréciations d'actifs en 2010...
Voilà un trou de 180 milliards qui se manifeste donc dans un environnement de retour à la croissance et de fin de crise financière...
Super logique non ? Quand l'économie va bien, le secteur financier déprécie. Personnellement, je trouve la fiction de plus en plus crédible... si si.
Toujours sur le même sujet : un récent rapport de la Deutsche Bank (on peut se
demander par quel miracle, elle n'est pas elle même concernée...) indique que
les banques américaines ont déprécié leur portefeuille de 2.000 milliards de
prêts immobiliers de seulement 1,6% au total... Comment espérer un
quelconque avenir positif dans ce contexte où le marché de l'immobilier a
dégringolé de 30 à 40%, avec des taux de défaillance sur les crédits qui
oscillent selon les signatures entre 5 et 12% ? La politique de
l'autruche, mise en place par le Japon dans les années 90, semble également se
profiler dans le monde occidentale...
Tant que les Etats subventionnent en s'endettant les économies, le mensonge va se poursuivre paisiblement. Mais en revanche, si l'opinion publique se retourne et exige l'arrêt de l'endettement, la réalité économique ressurgirait avec force et même, avec d'autant plus de force, que tous les pays auront attendu et été loin dans la logique de l'endettement. Il ne tient qu'à nous tous de stopper ces fonctionnaires et politiciens quand il est encore temps. Il faut convaincre urgemment toutes les madames Michues françaises qu'elles doivent répondre dans les sondages que la hausse de la dette de la France les empêche de dormir (ce n'est pas gagné l'histoire...).
Comment exploiter cette situation ?
Sur le CAC 40, les indicateurs de sentiment de marché ont touché des plus bas d'absence de pessimisme vers 4050. L'excès d'optimisme provoque toujours des corrections baissières. Est ce le démarrage d'un nouveau marché baissier comme certains en parlent ? Au risque de me tromper, je préfère acheter maintenant et jouer la hausse sur le mois de février pour un retour vers 4250 / 4300 points.
... mais en même temps, la BCE a annoncé que les organismes financiers européens devaient passer autour de 180 milliards de dépréciations d'actifs en 2010...
Voilà un trou de 180 milliards qui se manifeste donc dans un environnement de retour à la croissance et de fin de crise financière...
Super logique non ? Quand l'économie va bien, le secteur financier déprécie. Personnellement, je trouve la fiction de plus en plus crédible... si si.
Tant que les Etats subventionnent en s'endettant les économies, le mensonge va se poursuivre paisiblement. Mais en revanche, si l'opinion publique se retourne et exige l'arrêt de l'endettement, la réalité économique ressurgirait avec force et même, avec d'autant plus de force, que tous les pays auront attendu et été loin dans la logique de l'endettement. Il ne tient qu'à nous tous de stopper ces fonctionnaires et politiciens quand il est encore temps. Il faut convaincre urgemment toutes les madames Michues françaises qu'elles doivent répondre dans les sondages que la hausse de la dette de la France les empêche de dormir (ce n'est pas gagné l'histoire...).
Comment exploiter cette situation ?
Sur le CAC 40, les indicateurs de sentiment de marché ont touché des plus bas d'absence de pessimisme vers 4050. L'excès d'optimisme provoque toujours des corrections baissières. Est ce le démarrage d'un nouveau marché baissier comme certains en parlent ? Au risque de me tromper, je préfère acheter maintenant et jouer la hausse sur le mois de février pour un retour vers 4250 / 4300 points.