Le SP 500 est au plus bas des 40 dernières années
Par Charles Dereeper
Tout le monde a entendu une fois dans sa vie le mot INFLATION. Sa meilleure
définition consisterait probablement en EXCEPTIONNEL OUTIL POUR PIQUER DE
L’ARGENT AUX MASSES, sans qu’elles n’y voient à redire ni même qu’elles songent
à faire la révolution.
L’inflation a un pouvoir magique dans les modèles de rentabilité du
capitalisme que Madame Michue ne pratiquera jamais, à savoir l’effet de levier
bancaire pour la production et vente de produits indexés sur l’inflation avec
mensualités fixes en face pour les remboursements.
Voici donc en image l’arnaque monétaire des autorités.
La valeur des actions américaines est au plus des 40 dernières années si on tient compte de l’inflation : 0% de rentabilité pour les investisseurs actions en l’espace de quatre décennies ! Bienvenue dans la réalité...
Avec un graphique comme celui là, vous comprenez mieux l’immense intérêt qu’il y a à choisir un business corrélé à l’inflation !
Autre info.
Depuis que l’étalon or a disparu, la dévaluation monétaire du dollar dépasse les 80% en seulement donc 40 ans !
Enfin, depuis que les politiciens (monétaires et élus) n’ont plus de contraintes liés à l’or, les marchés du crédit ont été dévérouillés et c’est le grand n’importe quoi qui a connu son apogée en 2007 !
A noter que la recette ne semble plus fonctionner nickel avec la crise financière comme le montre ce dernier graphique, puisque les crédits à la consommation sont en chute libre, du genre JAMAIS VU dans les tablettes.
Charles Dereeper
Voici donc en image l’arnaque monétaire des autorités.
La valeur des actions américaines est au plus des 40 dernières années si on tient compte de l’inflation : 0% de rentabilité pour les investisseurs actions en l’espace de quatre décennies ! Bienvenue dans la réalité...
Avec un graphique comme celui là, vous comprenez mieux l’immense intérêt qu’il y a à choisir un business corrélé à l’inflation !
Autre info.
Depuis que l’étalon or a disparu, la dévaluation monétaire du dollar dépasse les 80% en seulement donc 40 ans !
Enfin, depuis que les politiciens (monétaires et élus) n’ont plus de contraintes liés à l’or, les marchés du crédit ont été dévérouillés et c’est le grand n’importe quoi qui a connu son apogée en 2007 !
A noter que la recette ne semble plus fonctionner nickel avec la crise financière comme le montre ce dernier graphique, puisque les crédits à la consommation sont en chute libre, du genre JAMAIS VU dans les tablettes.
Charles Dereeper