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scholz aura appliqué ce que ses maîtres lui demandaient, il sera lourdement récompensé comme binbin ou la blonde
pour Washington, infiltrer ses dirigeants et faire couler le "poumon" de l'économie de l'UE sans la moindre réticence des citoyens moi je dis "reco"
la Russie ne livre plus son diesel soit -13% de la prod mondiale, les US vont se refermer sur eux et moins livrer, l'UE va être totalement détruite , c'est un joli coup de maître
@dub
Il y aura aussi des élections aux USA, et Biden le sénile n'est pas sûr de repasser..
biden n'est pas en liste c'est michel obama
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Il y aura aussi des élections aux USA, et Biden le sénile n'est pas sûr de repasser..
C'est vrai que le CSSE a baissé durant tout le mandat de Biden et ça représente en gros 50% de la hausse sous D.Trump..! (Fibo 50%) dû au climat de sanctions contre les entreprises chinoises, à la géostratégie des USA, aux retraits massifs de capitaux etc....Malgré cela, malgré la crise immobilière et le bashing quotidien des merdias, le CSSE est encore gagnant...grâce à la résilience économique de la Chine, à sa croissance globale, à la croissance de sa consommation interne, à sa capacité à innover et à résoudre ses problèmes rapidement....ect....
Biden a voulu la guerre, il l'a. En tous cas qu'il ne compte pas sur la Chine pour aider à sa réelection....
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Socialistes+ écolo + LGBTQ + guerre en Ukraine= cata économique.
Les conflits financiers et commerciaux lancés par secte LGBTQ du gouvernement Scholz contre la Chine va se payer lourdement....
L'Allemagne va entrainer l'Europe dans ce tourbillon de récession.
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Les principaux instituts de conjoncture allemands ont nettement abaissé jeudi leur prévision pour 2023, le Produit intérieur brut de la première économie européenne devant désormais baisser de 0,6%, davantage que prévu par d'autres organisations.
Les instituts révisent de 0,9 point à la baisse leur prévision du printemps, en raison d'une évolution décevante de la consommation et de la production industrielle.
L'ancienne locomotive de l'UE devrait être le seul grand pays industriel à connaître une récession cette année, selon le FMI, qui table lui sur un recul de 0,3%.
"L'Allemagne est en récession depuis plus d'un an", a résumé Oliver Holtemöller, économiste à l'institut de conjoncture de Halle (IWH), lors d'une conférence de presse à Berlin.
En cause, la flambée des prix de l'énergie en 2022 dans le sillage de la guerre d'invasion russe en Ukraine, qui a mis "un terme brutal à la reprise après la pandémie" de Covid-19, expliquent les cinq instituts (DIW, IFO, IFW, IWH, RWI) dans un communiqué joint.
L'inflation qui a dépassé 8% à l'automne 2022 a par ailleurs ponctionné le pouvoir d'achat des ménages, quand les taux d'intérêt, relevés agressivement par la Banque Centrale Européenne de 4,5 points de pourcentage depuis juillet 2022, ont freiné le secteur de la construction.
L'industrie, déjà en souffrance pour les entreprises les plus énergivores, a connu un été maussade avec des carnets de commandes en baisse surtout en provenance de grands clients comme les Etats-Unis et la Chine, dont les économies sont au ralenti.
La hausse des salaires en Allemagne pour rattraper l'inflation et le recul des prix de l'énergie devraient cependant contribuer à une amélioration de la situation en fin d'année, permettant au niveau d'utilisation des capacités de production de se reprendre, selon les instituts.
En 2024, ils prévoient un rebond du PIB allemand de 1,3%, soit 0,2 point de pourcentage de moins que prévu au printemps.
Pour le moyen terme, les économistes mettent en garde: "le développement économique en Chine et les nouveaux conflits commerciaux émergents entre l'UE et la Chine dans le domaine des véhicules électriques constituent une menace pour l'économie allemande orientée vers l'exportation", selon M.Holtemöller.
L'Allemagne a connu une récession technique cet hiver, avec deux trimestres d'affilée de recul du PIB. Sa croissance a été nulle entre avril et juin et le PIB pourrait de nouveau plonger au dernier trimestre de l'année, selon les économistes.
La crainte du déclin économique et industriel domine les débats politiques et met sous pression le gouvernement d'Olaf Scholz composé d'une coalition entre sociaux-démocrates, écologistes, qui détiennent le portefeuille de l'Economie, et libéraux, chargés des Finances.
© 2023 AFP
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