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CAC40: record absolu de clôture validé, 4 sorcières de rêve

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Fibopivots Fibopivots
15/12/2023 23:29:13
0

Comme aurait peut être dit Cussac (!).

Le graphe, rien que le graphe.

Qui dit 78(%)%, vu il y a quelques jours, ...dit souvent 100%.

  
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doudouvieux doudouvieux
15/12/2023 18:11:32
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"Les marchés ont par ailleurs décelé dans les propos de Jerome Powell un scénario 'Goldilocks', c'est-à-dire une croissance robuste et une inflation presque sous contrôle : un vrai conte de fées." ..................................................................................................................... Faut vraiment être stupide pour avaler des couleuvres pareilles.
  
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doudouvieux doudouvieux
15/12/2023 18:11:27
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(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris clôturera décembre sur un nouveau record absolu de clôture, au-delà des 7.577 et au-dessus des 7.600Pts, proche du zénith (7.654) testé la veille.

La bourse de New York poursuit sa série haussière en cette séance des '4 sorcières' (le Nasdaq gagne 0,5% à 14.825, le Dow Jones déborde ses records de la veille) qui couronne un des mois boursiers les plus obstinément haussier depuis le début du 21ème siècle (+5% sur ces 4 dernières semaines 100% positives, et aucun retracement de -1% dans l'intervalle pour le S&P500).

La perspective d'une prochaine baisse des taux aux Etats-Unis continue d'alimenter l'appétit pour le risque des investisseurs... mais le 'VIX' (-2,5% à 12,20) indique un niveau de 'complaisance' très élevé, et les RSI n'ont jamais été aussi 'tendus' depuis 4 ans (décembre 2019).

Les intervenants estiment la probabilité d'une baisse de taux aux Etats-Unis à 60% en mars, selon le baromètre FedWatch du CME Group. C'est moins que la veille (64,7%), mais bien plus qu'il y a un mois (24%).

Les marchés ont par ailleurs décelé dans les propos de Jerome Powell un scénario 'Goldilocks', c'est-à-dire une croissance robuste et une inflation presque sous contrôle : un vrai conte de fées.

Les derniers indicateurs publiés ce vendredi sont plutôt mitigés mais ils ne remettent pas en cause le scénario d'un atterrissage en douceur de la croissance.

L'indice Empire State - qui mesure l'activité manufacturière dans l'Etat de New York - a pourtant chuté de 24 points en décembre pour s'établir à -14,5.
Mais c'est compensé par la hausse de la croissance du secteur privé : S&P Global publie un indice PMI composite qui ressort à 51 estimation flash, à comparer à 50,7 en définitive pour le mois précédent.

'L'accélération de la production est soutenue par une augmentation plus rapide des nouvelles commandes depuis juillet', pointe S&P Global, ajoutant toutefois que les pressions des coûts s'accentuent.

La production industrielle des Etats-Unis a également rebondi de 0,2% en novembre, après une baisse de 0,9% le mois précédent (révisée d'une estimation initiale qui était de -0,6%), tirée en particulier par un secteur automobile qui a vu la sienne grimper de 7,1%.

En excluant cette forte progression, qui traduit la fin des mouvements de grève dans ce secteur, la production manufacturière proprement-dite s'est au contraire tassée de 0,2% d'un mois sur l'autre, selon la Réserve Fédérale qui publie ces chiffres.

Le taux d'utilisation des capacités dans l'industrie américaine s'est amélioré de 0,1 point de pourcentage à 78,8% en novembre, soit un niveau inférieur de 0,9 point à sa moyenne de long terme (1972-2022).

La confirmation du rebond des cours pétroliers devrait constituer l'autre moteur de la progression du jour.

Avec un gain de 0,5% à 72 dollars, le baril de brut léger américain (WTI) se dirige vers sa première semaine de gains après six semaines consécutives de repli, ce qui devrait soutenir le valeurs liées à l'énergie, le brent se stabilisé vers 77,6$ à Londres.

Après son repli des derniers jours, le billet vert remonte de +0,8% face à l'euro, qui revient vers 1,0905, en réaction à des indicateurs macroéconomiques renforçant, aux yeux des investisseurs, la perspective d'une baisse de taux de la BCE.

L'attirance des investisseurs pour les marchés d'actions ne tarit pas l'appétit pour les obligations du Trésor américain, dont le rendement à 10 ans recule à nouveau de -3Pts, vers 3,900%.

La détente est encore plus forte en Europe avec des Bunds à 2,02% (-8Pts) et des OAT à 2,555% (-10Pts), soit un recul hebdomadaire vertigineux de -28Pts et les BTP italiens effacent encore -8,5Pts à 3,725%, soit -33Pts hebdo.

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