C'était attendu, l'UE tape sur les moteurs thermiques et notamment les diesel pour imposer l'électrique donc le groupe ne pouvait y survivre. Avec une montagne de normes, les moteurs et modèles qui ont fait les belles années sont condamnés
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L’année 2024 marquera à jamais un tournant dans l’histoire de Northvolt. Promise à un destin de champion européen des batteries, l’entreprise suédoise est en train de mourir à petit feu. Après une première restructuration et la suppression de 1 600 postes il y a quelques semaines, Northvolt est à cours de trésorerie. La firme vient de se mettre sous la protection de la loi américaine sur les faillites.
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Vous avez dit « Mondialisation » ?
Ben c’est qui qui voulait ses chaussettes pas chères, sa télé pas chère, enfin TOUT pas cher ?
C’est nous.
Alors accuser seulement nos dirigeants que nous avons d’ailleurs benoîtement élus c’est peut-être un peu facile.
Nous voulions chanter ? Et bien dansons maintenant,
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merci l'Europe !!
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Coup de tonnerre dans l’industrie automobile allemande. Volkswagen, pilier du secteur et leader européen, se voit contraint de prendre des mesures drastiques pour assurer sa survie face à la crise qui secoue l'économie mondiale. Ce lundi 28 octobre 2024, le groupe a présenté un plan social "historique" marqué par la fermeture de trois usines en Allemagne et la suppression de plus de 10 000 emplois, selon les annonces faites par le comité d’entreprise.
Depuis plusieurs mois, Volkswagen travaille sur un projet de restructuration d’envergure. Ce plan de sauvetage, dévoilé aujourd'hui, prévoit non seulement la fermeture de plusieurs sites de production, mais également une réduction de 10 % des salaires des employés, avec un gel des rémunérations prévu jusqu'en 2026. Cette décision affectera l’ensemble des salariés, marquant un coup dur dans une industrie déjà fragilisée par la récession et les mutations du secteur automobile.
Selon le comité d’entreprise, ces mesures sont perçues comme une véritable "saignée" pour le constructeur. Daniela Cavallo, présidente du comité, n'a pas hésité à pointer du doigt la direction de l’entreprise, affirmant que ce plan représente "une saignée sans précédent en plus de 80 ans d’histoire". La récession en Allemagne, combinée à des **problèmes de surproduction au sein de l’entreprise, a poussé Volkswagen à faire des choix radicaux pour tenter d’économiser jusqu'à 4 milliards d’euros.
Jamais auparavant Volkswagen n’avait pris la décision de fermer des usines en Allemagne. En plus des trois fermetures confirmées, la direction a indiqué vouloir réduire la taille des autres usines restantes dans le pays. Ce changement marque un tournant décisif pour un constructeur qui, jusqu’à présent, avait toujours mis un point d’honneur à préserver ses sites de production nationaux.
L’impact de cette décision dépasse largement les murs de l’entreprise. Le chancelier Olaf Scholz s'est exprimé à ce sujet, soulignant la nécessité de protéger les emplois face à la crise économique. "Les salariés ne doivent pas subir l’impact d’éventuelles mauvaises décisions prises par le management dans le passé", a-t-il déclaré, appelant à la prudence dans la gestion de ce plan social.
Autre élément marquant de ce plan social : la délocalisation d'une partie des activités et départements du groupe hors d’Allemagne. Cette stratégie vise à réduire les coûts de production, mais pourrait également accentuer le malaise chez les employés qui voient leur avenir professionnel s’obscurcir.
Face à l’ampleur de ces mesures, les discussions entre la direction et les partenaires sociaux s’annoncent tendues. Volkswagen a appelé à des négociations "confidentielles" pour tenter de trouver une issue à cette crise majeure.
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