CAC40: en berne, pénalisé par le recul du luxe

moicmoi

Bien sur que c'est aussi à ajuster sur la prolongation des rentabilités et cet environnement actuel rend très difficile l'ajustement des coûts aux ventes...ceci dit il y a du vrai

Ah ben, nous voilà rassurés sur notre devenir ! 🤣🤣🤣

Dubaisan
« « .....et que les américains n'hésiteront pas une seule seconde pour nous faire la peau..... » »

Nous faire la peau ?...Oh que non !

Ils n’ont pas créé l’E.U. pour lui faire la peau 70 ans plus tard.

Nous leur sommes trop utiles comme clients pour écluser leurs productions, (à un marché de 500 millions de clients , on ne lui fait pas la peau. On le force à acheter) , comme bouclier humains, et secteur d’influence vis-à-vis de la Russie et de la Chine.

floalain
« « Il n'y a pas que le luxe qui baisse. » »

Comment pourrait-il en être autrement , alors qu’une récession mondiale s’annonce, et que la plupart des actions sont sur-côtées - PER beaucoup trop élevé, surtout dans le secteur du luxe. Mais pas que.

Ils sont comme nous les investisseurs. Ils n’ont pas pour habitude de placer leur argent sur des valeurs beaucoup trop chères.
Mais, EUX, ils ont les moyens de peser sur les cours. Pas nous.

tradingi
« « Quand on perd les russes et les chinois d'un coup et par simple décision idéologique faut pas s'étonner... » »

Mouais ; mais pas que les russes et les chinois. On se fait jeté de l’Afrique.

Et quand on lance des projets perdus d’avance, ça n’arrange rien.
Par ex :
- les giga factories de batteries : non compétitives et toutes les matières premières et matériaux viennent de Chine
- les Pompes à chaleur : estimé par le Gvt à 1 million de ventes/an, mais en réel, seulement 150 000 ventes réalisées.
- Les voitures électriques : grosse baisse des ventes. Malgré les subventions à l’achat.
- Les énergies vertes : subventions de 90 milliards/an, alors que Nono cherchait 10 milliards d’économies. 90 % de ces sommes partent à l’étranger (matériaux). Sachant que ces machines ne couvrent pas tous les besoins, et qu’il faut construire des centrales au gaz (charbon en Allemagne) pour suppléer les périodes « sans ». Et re-belotte dans 15-20 ans. (durée de vie des éoliennes)

Mis bout à bout, ça en fait du pognon jeté par la fenêtre ! Des milliards !

Et , cerise sur le gâteau, nos fleurons industriels foutent le temps aux U.S., les uns après les autres, avec la bénédiction de l’E.U.

.....et que les américains n'hésiteront pas une seule seconde pour nous faire la peau.....

Quand on perd les russes et les chinois d'un coup et par simple décision idéologique faut pas s'étonner...

(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris cède près de 1% ce matin, vers 7355 pts, notamment pénalisée par le recul du luxe avec -4,6% pour Kering, -2% pour LVMH ou encore -1,5% pour Hermès.

Les investisseurs sont dans l'attente de la publication de nouveaux indicateurs qui pourraient leur permettre d'évaluer les prochains projets de la BCE.

Il n'y a rien de surprenant à ce que les indices du Vieux Continent végètent : ils ont été non seulement malmenés dernièrement par le climat d'incertitude politique, mais aussi par une croissance en berne et des résultats d'entreprise décevants.

Dans ces conditions, les investisseurs devraient avoir à coeur de reporter leur attention, au cours des semaines qui viennent, sur les indicateurs économiques.

Plusieurs données clés seront publiées au cours des jours à venir en vue de la décision de la BCE sur les taux d'intérêt en décembre, qui pourrait soit s'orienter sur une baisse de taux de 25 points de base ou une réduction de 50 points.

Face à une conjoncture maussade, les marchés s'en remettent beaucoup à la perspective d'une politique monétaire plus accommodante de la BCE, avec l'espoir d'une baisse de taux potentiellement plus agressive.

Mais la possibilité que la BCE accélère son rythme de baisse des taux ne fait pas encore partie du scénario central au vu des divergences d'esprit qui semblent actuellement régner au sein de l'institution.

Après être ressortie à 1,7% en septembre, l'inflation en zone euro est ressortie à 2% en rythme annualisé sur le mois d'octobre, ce qui semble éloigner la probabilité d'une baisse de 50 points en décembre.

Sur le front des statistiques, en Allemagne, l'indice ZEW du moral des investisseurs - attendu dans le courant de la matinée - devrait quant à lui refléter l'impact de la crise politique due à la rupture de la coalition tripartite intervenue la semaine passée.

En attendant, le taux d'inflation en Allemagne -mesuré comme la variation de l'indice des prix à la consommation (IPC) par rapport au même mois un an plus tôt- a été confirmé par Destatis à 2% pour octobre 2024, contre 1,6% le mois précédent.

Sur le compartiment obligataire, les US T-Bonds à 10 ans évoluent autour des 4,37% (+1,9 pt) tandis que le Bund allemand de même échéance est stable, vers 2,33%.

Dans l'actualité des sociétés tricolores, Thales Alenia Space, coentreprise de Thales (67%) et Leonardo (33%), fait part du succès du lancement du satellite de télécommunications Koreasat 6A, à bord d'une fusée Falcon 9 de SpaceX, depuis la base de Cap Canaveral, en Floride.

Getlink annonce que LeShuttle a transporté 147.919 véhicules de tourisme au mois d'octobre 2024, en baisse de 12% par rapport au même mois en 2023, qui avait toutefois bénéficié de l'impact de la Coupe du monde de rugby.

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