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création des banques centrales = création de l'usure= création de la dette= ruine des peuples=perte de souveraineté des états= prise de contrôle du monde par le système financier=fin des politiques=fin des libertés=dystopie numérique
la dette est un moyen génial d'asservissement des masses, elle ne peut qu'augmenter jamais être remboursée et exerce une pression fiscale sur le labeur des esclaves
où en sommes nous? Certainement vers la fin du système qui sera aussi la nôtre s'ils arrivent à imposer les CBDC sinon le merdier explosera et donnera peut être des dirigeants comme Trump Milei Bukelé ....
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Dette publique de la France en temps réel , regardez sur ce lien à quelle vitesse la dette de l’état augmente, c’est vertigineux. Les carottes sont cuites, c'est comme vider l'océan à la petite cuillère...
https://horloge-de-la-dette-publique.com/dette-publique-france/
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msfmsf
« « Hermes a tous les ans 10 milliards de trésorerie qui ne lui sert à rien.
L'argent qui manque il suffit d'aller le chercher là où il est.
Suffirait de prendre 30% de la trésorerie abusive des très grandes entreprises. » »
Excellente idée !
De l’argent, il y en a aussi dans les banques. Suffirait de prendre 30% de leur trésorerie.
De l’argent, il y en a aussi dans les caisses de la sécu, des retraites, du chômage. Suffirait de prendre 30% de leur trésorerie.
De l’argent, il y en a aussi dans les poches des travailleurs. Suffirait de prendre 30% de leur trésorerie.
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Je n'ai pas de réponse à te donner, cher ami, s'agissant de différences de coûts entre une IRM chinoise ou française......
J' y vois surtout, à travers ton exemple, que la Chine est arrivée à un certain degré de maitrise de technicité qui n'a rien à envier à celle de la France.
En revanche, ce qui est avéré aussi, c'est que le développement éco chinois a démarré bien plus tardivement que chez nous.
Il s'en est suivi que nos revenus français, impactés par l'inflation des années 70, ont connu des progressions impensables, nous exposant à la concurrence des autres pays, et on en a payé le prix par des délocalisations massives, ensuite.
J'ai donc bien pu constater que quand des économistes, sous un angle d'orthodoxie financière, étaient enclins à subordonner les hausses de salaires à la seule productivité moyenne du pays, ils n'avaient pas totalement tort.
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Maintenant, assez d'accord avec toi sur le fait que, l'âge de départ à la retraite devrait pouvoir être modulé davantage en fonction de l'envie de travailler ; mais, j'ai pu constater autour de moi, que des artisans, travailleurs indépendants, avaient choisi de bosser à 70 ans passés, témoignant du fait que l'on peut effectivement se passionner pour le travail.
Après, conditionner le montant de la retraite en fonction de l'espérance de vie......exercice surement pas simple dans la mesure où cette espérance de vie, est un paramètre soumis à fluctuation.
Enfin, passer du système actuel à un système plus ...adapté.....on fait comment ??????
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Pour moi, c'est très simple:
- 1 seul système de retraite de base pour tous les français dont le montant sera proportionnel à l'espérance de vie au moment de l'entrée en retraite (cf tables de mortalité).
- 1 seul système de retraite complémentaire par point type Agirc/Arrco.
Finis les systèmes des uns et des autres avec leurs avantages, qui plombent tout le système.
Après, les pbs de cumul emploi / retraite seront à redéfinir. Je trouve idiot de vouloir obliger les gens à prendre leur retraite à 63 ou 64 ans s'ils veulent continuer à bosser plus longtemps. Si certains veulent prendre leur retraite à 50 ans ils le pourront avec une retraite dont le montant sera réduit.
Message complété le 14/04/2025 18:07:19 par son auteur.
@ Doudouvieux: Il faudra m'expliquer:
- Pourquoi un IRM ou nombre d'analyses sont 10 à 50 fois plus chères en France qu'en Chine....?
- Pourquoi une opération (prothèse de genou par exemple) coûte 3 à 4 fois plus cher en France qu'à Shanghai...?
Ce sont exactement les mêmes actes techniques.
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LBWB et Dubaisan,
je lis vos observations, animées de bonnes intentions, certes....
S'agissant de compte sociaux, santé notamment, ne soyons pas naifs : les appareillages utilisés pour diverse analyses ( échographies, IRM....on ne va pas refaire el la liste ) rendent d'immenses services, mais ont un coût exorbitant ; les économies à réaliser sont plutôt du côté de la prévention, car on a de bonnes connaissances sur ce qui peut déclencher des pathologies, et en termes d'erreurs à éviter. Mais ça nécessite vraisemblablement un nombre importants de mauvaises habitudes à éliminer.
Pour ce qui est des retraites, il est totalement inadmissible que le cumul des mandats puisse autoriser le cumul des retraites, car dans le monde réel du secteur privé, on ne peut avoir plusieurs emplois , en même temps : ce n'est pas possible. Si un député cumule un emploi de maire, il y a forcément un larbin qui aura fait le boulot du maire en mairie, le député -maire se bornera à vérifier très rapidement que le larbin a bien bossé, mais le même guignol d' élu n'oubliera pas de passer 2 fois à la caisse, à la fin du mois......quant à la retraite en cumul, n'oubliez pas d'aller voir ce que palpent d'anciens élus sur le net ( FH , pour ne pas le nommer ) ......MAIS COMMENT CHANGER LE COURS DES CHOSES !!!!!! ( faudrait que ceux qui profitent du système, coupent la branche sur laquelle ils sont assis ) .
Quant au traitement, oui c'est aussi scandaleux que certains soient nourris-logés-blanchis....ce sont les enfants gâtés de la république.
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Bonjour,
Moins d'élus c'est moins d'impôts. 577 Députés, 348 Sénateurs, 1700 Conseillers régionaux, 35000 Maires ...
https://www.ifrap.org/etat-et-collectivites/la-france-compte-567-222-elus-locaux-et-nationaux
Appliquer la loi sur le cumul des mandats (plusieurs mandats on ne sait pas faire ou on ne veux pas mais 1 seul traitement)
baisse de leur rémunérations et de leurs avantages (franchise fiscale, frais de bouche, frais "professionnels" et autres..)
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@msfmsf,
Pas plus que la vôtre.....
La bonne façon :
1) Simplifier au maximum les procédures administratives pour les rendre automatisables et accessibles par Internet pour tout citoyen et toute entreprise. Faire sauter nombre de verrous législatifs et règlementaires inutiles qui empêchent la circulation des informations (RGPD/ croisements de fichiers etc....) entre Administrations, banques, organismes sociaux etc.....
2) répartir différemment les charges entre Etat et Collectivités régionales et locales, avec plus d'autonomie pour ces dernières, mais aussi plus de contrôles (engagement de la responsabilité civile, pénale et financière de tous les responsables) . Arbitrage de l'Etat pour les projets inter régionaux (Ouvrages publics, routes, autoroutes etc...).
3) Faire payer aux usagers le vrai coût des Services publics (Education - Santé)
4) Obligation de ne recourir à l'emprunt qu'après utilisation des marges et seulement pour investir.
5) Obligation d'équilibre des comptes de tous les organismes sociaux.
6) Supprimer les structures et les emplois de fonctionnaires correspondants.
La liste est longue....très longue, mais déjà avec ça la situation financière de la France se porterait bien mieux.
Message complété le 14/04/2025 16:36:28 par son auteur.
5) Obligation d'équilibre hors emprunts des comptes de tous les organismes sociaux.
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cela fait que 10000 euros d'épargne par personne, c'est que dalle, votre solution n'est pas bonne
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Hermes a tous les ans 10 milliards de trésorerie qui ne lui sert à rien.
L'argent qui manque il suffit d'aller le chercher là où il est.
Là où il est?
Les français auraient en "bas de laine" cad en liquidités immédiatement mobilisables près de 700 mds €, et l'épargne totale hors immobilier, se monterait à 6000mds € soit presque 2 fois plus que la dette totale.
Le total des encours sur le livret A est de 442.90 milliards d’euros à fin janvier 2025. Si l'on rajoute les LEP/ LDDS etc....on arrive à 700Mds€
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faire pire ils ont été placés là pour ça donc je leur fais confiance
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Hermes a tous les ans 10 milliards de trésorerie qui ne lui sert à rien.
L'argent qui manque il suffit d'aller le chercher là où il est.
Suffirait de prendre 30% de la trésorerie abusive des très grandes entreprises.
Supprimer le sénat qui ne sert à rien et mettre tous les députés, ministres/président au smic.
Aussi l'avantage de mettre les politiciens au smic ferait monter le smic pour tout le monde car on passerait du discours mensonger habituel (le smic ne peut pas être plus élevé car ce serait dangereux pour l'economie) à : il faut absolument augmenter le smic pour sauver notre économié.
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"Je suis à la tête d'un Etat qui est en situation de faillite sur le plan financier, je suis à la tête d'un Etat qui est depuis 15 ans en déficit chronique, je suis à la tête d'un Etat qui n'a jamais voté un budget en équilibre depuis 25 ans. (...) Ca ne peut pas durer".
F.Fillon le 21 septembre 2007
Ben non, tu vois François, on peut faire mieux, beaucoup mieux; et ça peut durer.... !
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ne me dis pas que tu crois encore à cette propagande?
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C’est un chiffre qui donne le vertige : jusqu’à 50 milliards d’euros d’économies à trouver d’ici 2026 pour espérer contenir le déficit public. À la veille d’une conférence sur les finances publiques présidée par François Bayrou, l’exécutif prépare les esprits à un effort qu’il qualifie lui-même de « très considérable ». Objectif : ramener le déficit à 4,6 % du PIB. Et sans toucher aux impôts, jure-t-on dans les couloirs de Bercy.
Dimanche 13 avril, le ministre de l’Économie, Éric Lombard, a donné le ton sur BFM : « Il va falloir faire un effort supplémentaire de 40 milliards d’euros ». Dans le même souffle, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, a évoqué une fourchette élargie : entre 40 et 50 milliards à trouver, essentiellement via des coupes budgétaires. Un aveu d’ampleur, lancé avant même la grande messe budgétaire prévue ce mardi à Matignon.
L’heure n’est pas encore aux détails, assure Éric Lombard. « Nous sommes en avril, c’est trop tôt », justifie-t-il. Mais une chose est sûre : les économies à venir ne se feront pas sur le dos des contribuables, promet le gouvernement. « Pas d’augmentation d’impôts », ni pour les classes moyennes, ni pour les entreprises. En revanche, les dépenses publiques sont clairement dans le viseur.
L’exercice s’annonce d’autant plus périlleux que le gouvernement avance dans un climat politique sous haute pression. À gauche, Jean-Luc Mélenchon fustige « la Macronie qui vous présente sa facture » et compare la situation de la France à celle de la Grèce en 2010. À droite, Marine Le Pen aiguise ses armes, prête à dégainer une motion de censure. Même dans le camp présidentiel, des voix s’élèvent : le député Renaissance Matthieu Lefèvre rejette toute hausse d’impôts et appelle à « dépenser moins ».
Dans ce contexte, chaque euro d’économie devient une ligne de fracture, un potentiel déclencheur de crise parlementaire.
Le choix d’organiser la conférence dès avril, et non en juin, comme le veut la tradition, n’est pas anodin. François Bayrou veut frapper vite pour « exposer aux Français tous les risques » et espère ainsi désamorcer les tensions à venir. Il promet un exercice de vérité et de transparence, première étape d’un effort collectif à construire.
Lire aussi : Retraites : déficit, inégalités, rigidité… ce que révèle le rapport alarmant de la Cour des comptes
La première partie de la conférence, à huis clos, rassemblera élus, administrations, collectivités et syndicats. Une mise en scène qui vise à renforcer la légitimité du plan. Dans un second temps, le Premier ministre prendra la parole publiquement pour détailler les constats et l’urgence de la situation.
Sur le fond, le gouvernement veut concentrer les efforts sur les dépenses sociales et de santé, tout en engageant les collectivités locales à revoir leur gestion. Les ministères ont reçu une lettre de cadrage stricte début avril : des propositions d’économies « ambitieuses » sont attendues d’ici l’été.
Le défi s’annonce déjà colossal, mais il se complique avec le contexte géopolitique. La croissance française a été revue à la baisse, de 0,9 % à 0,7 %, en raison du choc provoqué par la guerre commerciale lancée par Donald Trump. Et ce n’est pas tout : le revirement américain sur le dossier ukrainien pousse Paris à réévaluer en urgence ses dépenses militaires.
Résultat : 5 milliards d’euros de coupes immédiates ont été décidées la semaine dernière. Le ministre de l’Économie tente de rassurer : « En l’état, l’objectif reste tenable ». Mais le spectre de nouvelles tensions budgétaires plane déjà.
Avec des dépenses publiques atteignant 57,1 % du PIB en 2024, la marge de manœuvre reste étroite. « On peut tout à fait réduire les dépenses et maintenir la qualité des services », insiste Éric Lombard. Reste à convaincre les Français que l’effort vaut la peine… et que l’équation n’est pas impossible à résoudre.
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