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Nos hommes politiques (femmes comprises) se donnent bonne conscience vis à vis des "droits de l'homme".
il n'est aujourd'hui pas descent de refuser quoi que ce soit à des personnes étrangères.
Regarder comment l'état algérien a trainé dans la boue l'état français.
Pour les prestations sociales, c'est la même chose. Aucun d'entre eux ne veut lancer le débat et d'ici peu, ce sont nos concitoyens qui vont manquer de soins.
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L’essentiel c’est que le chihuahua puisse continuer à arroser Zelenski avec l’argent public comme on lui on donne l’ordre
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La gestion de la sécu est à l'image de la gestion de la France
- La CMU rembourse cash les soins et médicaments à des milliers d’individus, sans le moindre centime de « responsabilisation ».
- La France accueille des centaines de milliers d’immigrés en charge les soins, allocs, etc…sans avoir jamais cotisé le moindre centime.
- La France soigne des personnalités étrangères sans encaisser le montant de la facture.
- L’incapacité de la Sécu à détecter les fraudes, à se faire rembourser les sommes indûment perçues de centaines de milliers d’individus.
- Etc…..
Un gamin de six ans saurait expliquer à nos « z’élites » - y compris à Moscovici (*) qui fut l’un des plus mauvais ministres des finances français - qu’une telle gestion ne peut que conduire à la faillite.
Il y a de quoi se poser des questions. Non ?
Soit il s’agit d’incompétence, soit il s’agit de volonté de saboter le système de protection.
(*)
https://www.lexpress.fr/economie/moscovici-parmi-les-plus-mauvais-ministres-des-finances-selon-le-financial-times_1431571.html?cmp_redirect=true
https://lintegral.over-blog.com/article-moscovici-l-un-des-plus-mauvais-ministres-europeens-des-finances-112730169.html
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le "quoi qu"il en coute" du COVID a fini en bourse, tout le monde ici le sait, hi, hi ...
en 2027 MACRON aura foutu le camps, hi, hi
et Bruno LEMAIRE, lui en 2024, hi, hi au chaud en Suisse
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Il ne s'agit plus d'une simple alerte, mais d'une détonation budgétaire. Dans son dernier rapport publié lundi 26 mai, la Cour des comptes tire un signal d'alarme d'une intensité inédite : la Sécurité sociale française est menacée d'une véritable crise de liquidité, une situation où elle ne pourrait plus emprunter pour financer les prestations dues à ses assurés. Derrière ce vocabulaire technique, un risque bien réel : celui de ne plus pouvoir payer les retraites, remboursements de soins, ou allocations familiales à temps.
L'organisme public, via la voix de son président Pierre Moscovici, évoque un « dérapage hors de contrôle » des comptes sociaux. Le déficit de la Sécu, déjà à 15,3 milliards d’euros en 2024, devrait s’aggraver à 22,1 milliards en 2025, et jusqu’à 24,1 milliards en 2028. Le problème n’est plus seulement structurel. Il est désormais vital, puisque l’Acoss, la trésorerie de la Sécu, devra mobiliser 89 milliards d’euros de financements d’ici trois ans – un montant colossal, difficilement soutenable sur les marchés à court terme.
Les causes de cette crise sont multiples mais convergent toutes vers un effondrement de la capacité d’emprunt du système social français. En première ligne, la fin de la contribution de la Cades : cet organisme créé en 1996 pour rembourser la dette sociale a atteint son plafond d’endettement. Sans modification législative majeure – peu probable dans le climat politique actuel – il ne pourra plus soutenir la Sécu comme avant.
En parallèle, les dépenses explosent. La branche maladie représente 90 % du déficit. Son budget a dérapé à cause, entre autres, de l’intérim paramédical, dont le coût a été multiplié par trois entre 2019 et 2023, atteignant 472 millions d’euros. Les magistrats de la rue Cambon dénoncent aussi une gestion inefficace des stocks de masques post-Covid, ainsi que des pensions d’invalidité distribuées de manière inégale entre départements.
Pierre Moscovici résume la situation sans détour : « Nous avons perdu le contrôle de nos finances publiques en 2023 et 2024. La dette fragilise le modèle social ».
Ces chiffres traduisent une détérioration rapide, dans un contexte pourtant favorable : pas de récession, ni de crise sanitaire. La Cour des comptes insiste sur l’urgence d’une maîtrise des dépenses, tout en soulignant que certains leviers nécessiteraient une volonté politique forte et rapide.
Face à cette spirale déficitaire, les recommandations de la Cour des comptes s’enchaînent. Plusieurs axes sont proposés :
Mais selon la Cour, aucune de ces mesures ne sera suffisante si un plan de redressement d’ampleur n’est pas engagé dès maintenant. Sans cela, c’est la confiance même des marchés dans la capacité de l’État à financer son modèle social qui pourrait vaciller.
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