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philabs
« « Pas un seul pays Anglophone dans l'UE , mais le plan a un nom Anglais ...bref » »
Mieux que ça : il me semble que la langue officielle en E.U. est l’anglais
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Les corbeaux sont de sortis !
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Pas un seul pays Anglophone dans l'UE , mais le plan a un nom Anglais ...bref
Pas de soucis. Nos "amis" british sauront très bien ramener quelques dizaines de mds d'€ dans leur giron tout en restant hors de l'UE...
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encore une nouvelle plateforme obscure qui leur permettra de détourner les milliards qu'ils veulent, miss brishing n'est pas à son coup d'essai, elle a été exfiltrée du ministère allemand des armées pour corruptions diverses et variées, commandes opaques
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Pas un seul pays Anglophone dans l'UE , mais le plan a un nom Anglais ...bref
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"Piloté par la présidence tournante assurée par la Pologne, le plan SAFE repose sur un mécanisme de prêts conjoints, partiellement financé par un emprunt commun européen, qui permettra aux pays membres et à certains partenaires de mutualiser leurs achats en matière de défense. Le lancement est prévu d’ici fin 2025. "En contournant le Parlement européen via une procédure accélérée, Bruxelles envoie également un message : cette fois, l’Union ne veut plus perdre de temps". Commentaire: L'Union des Républiques Socialistes Européennes ou U.R.S.E en action . L'opacité de cette "union" est de plus en plus clairement tourné vers la Dictature par la PEUR.
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150 milliards d’euros, débloqués sans passer par le Parlement européen. En approuvant mardi un ambitieux programme d’achats communs d’armements, les Vingt-Sept ont enclenché une nouvelle phase dans la politique de défense de l’Union. Baptisé SAFE (Security Action for Europe), ce fonds colossal répond à un double choc : la guerre en Ukraine et la crainte d’un désengagement américain en cas de retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.
La mesure, proposée par la Commission européenne en mars, a reçu le soutien de 26 États membres sur 27. Seule la Hongrie s’est abstenue. Piloté par la présidence tournante assurée par la Pologne, le plan SAFE repose sur un mécanisme de prêts conjoints, partiellement financé par un emprunt commun européen, qui permettra aux pays membres et à certains partenaires de mutualiser leurs achats en matière de défense. Le lancement est prévu d’ici fin 2025.
Le programme SAFE marque une rupture majeure avec les pratiques de défense européennes jusqu’ici dominées par des initiatives nationales. Cette fois, l’objectif est clair : éviter la dispersion des budgets, harmoniser les équipements, et surtout répondre à l’urgence géopolitique.
D’après la Commission, pour qu’un projet soit éligible au financement, au moins 65 % de sa valeur devra être générée par des entreprises implantées dans l’Union européenne, dans l’Espace économique européen (EEE), ou en Ukraine. Cette règle vise à soutenir l’industrie de défense européenne tout en excluant les fournisseurs trop dépendants de puissances tierces.
Le Royaume-Uni, bien qu’ayant quitté l’UE, a déjà anticipé cette ouverture : un accord signé en mai avec Bruxelles permettra à ses géants de la défense comme BAE Systems de participer aux projets SAFE, au même titre que les industriels européens.
Lancée après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, cette campagne d’armement répond à une inquiétude profonde des États membres : ne plus être pris au dépourvu face à une agression potentielle. Depuis trois ans, les dépenses de défense dans l’Union ont bondi de plus de 30 %, mais les dirigeants européens jugent l’effort encore insuffisant.
« Plus nous investissons dans notre sécurité, plus nous dissuadons ceux qui nous veulent du mal », a souligné la Pologne sur le réseau X, saluant l’adoption de SAFE comme « le premier programme d’investissement à grande échelle dans le domaine de la défense au niveau de l’UE ».
La Russie, de son côté, a dénoncé ce plan comme une « incitation à la guerre » fondée sur une « histoire inventée » d’une menace russe. Mais cette rhétorique n’a pas rassuré les capitales européennes, encore marquées par les propos similaires de Moscou avant l’attaque de l’Ukraine.
SAFE ne sera pas uniquement réservé aux membres de l’UE : des pays partenaires pourront y participer, élargissant de facto l’influence stratégique du projet à toute la sphère occidentale continentale. En contournant le Parlement européen via une procédure accélérée, Bruxelles envoie également un message : cette fois, l’Union ne veut plus perdre de temps.
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