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Oh mon dieu Bigoude !! Que des conneries, rien que pour les plaquettes de frein, c'est entre 170 000 a 200 000 km ! En faite, pas d'entretien en Elec !
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Les voitures électriques ? Un mirage vert pour adolescent. Faut avoir 15 ans pour y croire plus de dix minutes.
Batteries au lithium extraites dans des conditions écologiques et humaines désastreuses, dépendance à la Chine pour les composants, réseau électrique incapable de suivre, et bilan carbone global souvent pire qu’un diesel bien entretenu.
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Bigoude
je crois qu'il faut arrêter de fumer, ça atteint le cerveau !!! rien de ce que vous dites n'est vrai et tous vos arguments de comptoirs sont démontables !!! Malheureusement je n'ai pas le temps face à autant de conneries !!!
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Les voitures électriques pollues 3 fois plus que les thermiques ..il faut tout prendre en compte 500l d'eau pollué pour 100kg de lithium et l'eau pollué est réinjecté dans les nappes phréatiques les pneus s'uses 3 fois plus vite sur les électrique comme les plaquettes de freins et donc particules qui donnent le cancer et la leucémie ...hausse de la Leucémie dans le monde + 1800% ..stop à l'électrique ....et le pire si tout les Français passaient à l'électrique il vaudrais construire 100 nouvelles centrales nucléaire en plus ...pour acheminer le lithium d'Amérique du Sud ou D'Afrique se sont des navires qui pollues car fonctionne au pétrole brut 1 seul navire pollue en 1 voyage autant que 6 mois de pollution actuellement en France. Macron est un fou allié pour persisté avec l'électrique ...
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(ABC Bourse) - Paris et Madrid réaffirment mardi que l’interdiction des voitures neuves à motorisation thermique en 2035 reste un "repère essentiel", alors que Berlin fait pression pour revoir la règle et accorder davantage de flexibilité à l’industrie automobile européenne.

Paris et Madrid montent au créneau. Ce mardi, les gouvernements de la France et de l’Espagne ont publiquement soutenu le maintien, pour l’ensemble de l’Union européenne, de l’interdiction de la vente de voitures neuves à moteur thermique à horizon 2035. Cette mesure, inscrite depuis 2022 dans le cadre du Green Deal européen, est aujourd’hui mise sous pression par l’Allemagne, qui réclame une révision ou un assouplissement.
Le timing est crucial. Alors que la Commission européenne prévoit d’examiner la règle dès la fin de l’année, la loi initiale prévoyait une réévaluation en 2026, France et Espagne adressent une lettre conjointe aux 27 ministres de l’Environnement pour affirmer que cette révision "ne devra en aucun cas remettre en cause l’objectif de zéro émission". Les deux pays insistent : "L’échéance de 2035 est un repère essentiel pour le secteur automobile".
La règle, actée par le Parlement européen puis le Conseil de l’UE, impose que tous les véhicules légers neufs vendus à partir de 2035 émettent zéro gramme de CO₂ par kilomètre. En clair, seules les voitures électriques ou équivalentes seront autorisées. Cette mesure, centrale dans la stratégie européenne pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, suscite désormais des divisions.
En Allemagne, le chancelier Olaf Scholz a jeté un pavé dans la mare début octobre en annonçant vouloir "tout faire" pour faire sauter cette interdiction. Le gouvernement allemand argue notamment que les carburants de synthèse (e‑fuels) pourraient offrir une alternative technologique crédible et maintenir la compétitivité de son industrie. Mais la coalition au pouvoir n’est pas unanime : le ministre de l’Environnement n’a pas validé cette ligne.
Les constructeurs automobiles européens, eux, réclament plus de flexibilité. Certains pointent la stagnation du marché des voitures électriques ou les retards dans les infrastructures de recharge pour justifier une adaptation de la règle.
Le courrier adressé à Bruxelles par la France et l’Espagne ne ferme pas totalement la porte à des ajustements. Les deux pays se disent favorables à "des flexibilités" à condition qu’elles "profitent à l’industrie automobile européenne" et ne modifient pas l’objectif de 2035. Un message adressé autant à la Commission qu’aux industriels.
Le débat s’invite au cœur de l’agenda européen, alors que plusieurs directives environnementales du Green Deal font l’objet de révisions sous la pression d’États membres plus soucieux de compétitivité économique que de régulation climatique. Dans ce contexte, le bras de fer autour de la fin du thermique en 2035 cristallise toutes les tensions d’une Europe en transition.
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