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Re:besoin de vos avis (sergen) - Page 2

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LEGARE LEGARE
09/06/2011 18:53:17
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ils seront obligés d etre volontaires se sera une obligation; j ai regardé dans la petite larousse et le gros robert les dicos quoi ses pas pareil quand méme
  
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jipes jipes
09/06/2011 18:45:58
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Voici encore une analyse, sortie ce matin, sur les banques françaises. L'objectif de Euros 46.-- sur la Société Générale rejoint celui que j'avais avancé il y a quelques jours.

DJ ECHO BOURSE : BNP est la mieux placée des banques françaises - RBC
09.06.11 11:04:14- DJFB

PARIS (Dow Jones)--RBC Capital Markets lance le suivi de BNP Paribas (BNP.FR)
à surperformance avec un objectif de cours de EUR65, celui de
Société Générale (GLE.FR) à performance en ligne avec
le secteur avec un objectif de EUR46, et celui de Crédit Agricole (ACA.FR)
à sous-performance avec un objectif de EUR11. Le courtier note que la
création de valeur est la plus forte dans les banques les mieux
capitalisées, où les résultats sont plus stimulés et
où il y a moins de risques de dépréciation d'actifs, comme BNP
Paribas (BNP.FR). BNP Paribas perd 0,8% à EUR51,80, SG cède 0,1%
à EUR39,75, et Crédit Agricole abandonne 0,9% à EUR10,14.



(END) Dow Jones Newswires

Bonne soirée à tous.

  
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sergen sergen
09/06/2011 18:32:00
0
La Banque centrale européenne se dit opposée à toute solution s'apparentant à un défaut de paiement pour résoudre le problème de sa dette grecque. Ces jours-ci, l'Allemagne a évoqué un rééchelonnement assorti d'une participation des créanciers privés.
Sur le même sujet

09/06 | 12:21
La BCE prépare le terrain pour la prochaine hausse des taux

« Nein », aurait pu dire Jean-Claude Trichet. Le président de la Banque centrale européenne s'est dit, jeudi 9 juin, opposée à toute solution s'apparentant à un défaut de paiement de la Grèce pour résoudre le problème de sa dette. Une pétition de principe qui fait directement écho aux dernières positions de l'Allemagne sur le dossier chaud de ces dernières semaines.

«Notre position est claire et nous l'avons signifié aux gouvernements européens: pas d'événement de crédit, pas de défaut de paiement», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse suivant son annonce de maintien des taux directeurs de la zone euro, faite à Francfort. «Nous excluons toute participation des créanciers privés qui ne serait pas volontaire», a-t-il ajouté, alors que l'Allemagne réclame un rééchelonnement de la dette grecque dans lequel les banques seraient fortement impliquées.

Or, mercredi, Berlin, par l'entremise de Wolfgang Schäuble, a proposé de faire participer les créanciers privés à un nouveau plan de sauvetage de la Grèce, en prolongeant la durée de détention des obligations souveraines émises par le pays ? Seul point de consensus, la Grèce, qui a déjà reçu 110 milliards d'euros de soutien, doit bénéficier d'un nouveau plan de sauvetage, a reconnu jeudi Jean-Claude Trichet. mercredi encore, la ‘troïka' formée par la BCE, l'Union Européenne et le FMI, qui vient de dresser un constat sévère de l'évolution récente des finances publiques d'Athènes .

Entre les deux positions antagonistes de la BCE et de l'Allemagne, les observateurs attendent un rapprochement, qui pourrait venir de Paris. La position officielle de la France, un renouvellement des prêts des créanciers du pays (solution dite « Initiative de Vienne ») dès que les obligations arrivent à échéance, n'est pas à proprement parler un « défaut ». Même si le « volontariat » des créanciers placés face à l'hypothèse d'un défaut de paiement pur et simple peut se discuter. A Pékin, jeudi, la ministre des Finances française Christine Lagarde s'est dite favorable à toute solution qui préserverait précisément le « volontariat » des acteurs de ce dossier.
  
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sergen sergen
09/06/2011 16:11:04
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salut jcleb 70
détends toi ça va aller
ça va être un peu plus long que prévu mais ......
  
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jcleb70 jcleb70
09/06/2011 16:04:41
0
de plus la résistance des 39,7 a plusieurs fois été franchie... et il faut pas trop paniquer sur les news qui sortent chaque jour, mais je serre les fesses, pas facile...
  
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jcleb70 jcleb70
09/06/2011 16:02:59
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ce n'est pas si évident que ça
j'ai lu un article d'un expert qur abc bourse d'ailleurs qui disait qu'on avait sur estimé largement les capacités de banques, comme d'hab'
et que la grèce ne pourrait pas faire face à ses remboursements.... il avait l'air certain de voir l'action descendre fortement à court terme
ça tombe mal car 40 euros c'est pas cher et j'en ai acheté il y a 2 jours
je recherche l'article si je le retrouve, à moins que ce soit sur boursorama
  
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sergen sergen
09/06/2011 15:44:14
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bonjour jipes
merci de passer cette info
il n y a plus qu a attendre
je te souhaite une bonne fin de journée
a +
serge
  
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jipes jipes
09/06/2011 13:26:15
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Bonjour sergen,

Voila de quoi se rassurer. Bonne lecture.

DJ France: les banques supporteraient une restruct grecque -Fitch
08.06.11 11:27:28- DJFB

PARIS (Dow Jones)--Les banques françaises seraient en mesure de supporter
les pertes qui découleraient d'une restructuration de la dette souveraine
grecque sans risquer de voir leur note de crédit dégradée, car
leur taille et leurs ressources en capitaux rendent leur exposition
gérable, ont déclaré mardi les analystes de l'agence de notation
Fitch Ratings.

Ce point de vue va dans le sens du consensus qui se fait jour parmi les
analystes, selon lequel les banques françaises seraient capables, si la
Grèce venait à restructurer sa dette, d'en absorber l'impact sur
leurs résultats et n'enregistreraient alors qu'une légère baisse
de leurs ratios de fonds propres - une mesure clé de leur solidité
financière.

Le cours de Bourse des banques françaises, du fait de leur exposition
à l'économie grecque, a souffert ces dernières semaines des
inquiétudes des investisseurs quant aux conséquences d'une
éventuelle restructuration de la dette de la Grèce.

Selon les derniers chiffres publiés par la Banque des règlements
internationaux, c'est en effet le secteur bancaire français qui a la plus
forte exposition à la Grèce, de 56,7 milliards de dollars au total,
loin devant les banques allemandes, exposées à hauteur de 33,97
milliards de dollars.

Mais selon les chiffres de la BRI, les banques françaises, notamment
Crédit Agricole SA (ACA.FR) avec sa filiale grecque Emporiki, sont surtout
exposées au secteur privé, par le biais de prêts aux
particuliers et aux entreprises grecs. Leur exposition aux emprunts d'Etat,
plus risqués, n'atteint que 14 milliards de dollars, contre 22,65
milliards de dollars pour les banques allemandes.

Dans une note aux investisseurs, les analystes de Bernstein considèrent
la réaction négative du marché à ces chiffres comme
exagérée, les banques françaises ayant déjà
constitué des provisions pour couvrir leur exposition au secteur
privé.

Selon Bernstein, si la maturité des obligations grecques était
prolongée et si les versements réguliers d'intérêts à
leurs détenteurs étaient réduits, cela aurait un impact compris
entre 19 et 29 points de base sur le ratio de fonds propres Tier 1 de BNP
Paribas SA (BNP.FR), qui est la banque française dont l'exposition à
la dette souveraine est la plus élevée, à 5 milliards d'euros.

Selon le même scénario, l'impact sur le ratio Tier 1 serait compris
entre 15 et 23 points de base pour Société Générale SA
(GLE.FR) et entre 4 et 5 points de base dans le cas de Crédit Agricole.

Bien que l'exposition totale de Crédit Agricole à la Grèce
atteigne 24,5 milliards d'euros à cause de sa filiale Emporiki,
sixième banque du pays, son exposition aux emprunts d'Etat grecs n'est que
de 600 millions d'euros, soit la plus faible parmi les banques françaises.


Les analystes de Fitch soulignent néanmoins qu'une restructuration de la
dette grecque pourrait comporter des risques indirects pour les banques
françaises, sous la forme d'une hausse des coûts de financement et de
la constitution probable de provisions pour couvrir les risques des clients
détenant des contrats d'assurance vie investis en emprunts d'Etat grecs.

Ces risques sont normalement supportés par les détenteurs des
contrats d'assurance vie, mais les banques pourraient décider d'intervenir
si les pertes éventuelles devenaient trop élevées pour leurs
clients.

Les trois plus grandes banques françaises cotées ont toutes
déclaré dernièrement que leur exposition à la Grèce
restait gérable.

Le patron de BNP Paribas, Baudouin Prot, a assuré le mois dernier qu'une
éventuelle restructuration de la dette grecque aurait un impact
limité pour la banque. Selon ses estimations, si les obligations grecques
étaient restructurées sur la base des prix de fin mars, il en
coûterait à BNP Paribas environ 1 euro par action.

Crédit Agricole a estimé qu'en cas de réduction de 25% de la
valeur des obligations grecques détenues par le groupe, cela lui
coûterait environ 150 millions d'euros. Société
Générale, dont l'exposition est de 2,4 milliards d'euros, a
affirmé qu'elle pourrait absorber une restructuration quelle qu'elle soit.




-Elena Berton, Dow Jones Newswires; + 33 (0)1 40 17 17 65;
elena.berton@dowjones.com

(Version française Agnès Adourian)



(END) Dow Jones Newswires

08.06.2011
  
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