13h45 sera annoncé les nouveaux taux de la BCE... Prier pour un bon début.
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Faut pas rever si la chine veux investir en europe c'est qu'il y a du fric à se faire et faudra bientôt cultiver du riz plutôt que des pommes de terre.
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08/12/2011 | 02:50
La Chine a confiance en l'Europe et en l'euro
La Chine a confiance en l'euro et elle est prête à recourir à "divers moyens" pour aider l'Union à surmonter la crise de la dette, a déclaré jeudi le ministre des Affaires étrangères Yang Jiechi, à la veille d'un sommet européen jugé crucial pour l'avenir de la monnaie unique.
"En tant que partenaire stratégique au sens large et partenaire commercial de l'Union européenne, la Chine a confiance en l'Europe et en l'euro", a-t-il déclaré mercredi à son homologue allemand Guido Westerwelle lors d'une visite à Berlin, selon un communiqué diffusé sur le site de son ministère.
"Nous allons coopérer avec la communauté internationale pour continuer à recourir à divers moyens afin de soutenir les efforts de l'Union européenne face à la crise de la dette souveraine.
"Tous les pays du monde ont intérêt à ce que l'économie européenne reste stable et poursuive sa croissance", a ajouté Yang Jiechi.
La Chine, qui dispose des plus importantes réserves de devises au monde, est l'un des rares pays en mesure de racheter une part importante de la dette souveraine des Etats membres de l'UE.
Ils ne doivent toutefois pas s'attendre à la voir investir une part importante de ses réserves pour voler à leur secours, a averti vendredi le vice-ministre des Affaires étrangères Fu Ying. (Chris Buckley, Jean-Philippe Lefief pour le service français)
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Grande joie conditionné au 9 dec... la BCE et l'Allemangne accepte la monétisation...
Attention la pression monte déjà ce lundi, Eurosement...
50 années de construction contre une semaine de négociation,,, ça veut le coup, Non ?
PRESSE: La BCE prépare un plan de secours de EUR1.000 mds
Date: 05/12/2011 @ 08h27
Source: Dow Jones News
La Banque centrale européenne (BCE) prépare un plan d'injection de liquidités de 1.000 milliards d'euros pour la Zone Euro, avant une série de sommets de crise cette semaine, rapportait dimanche le Sunday Times, sans citer ses sources.
Selon l'article, ce plan sera mis en oeuvre si les dirigeants européens parviennent à se mettre d'accord sur une vaste réforme politique de la zone euro, imposant une surveillance stricte des budgets des Etats membres qui peinent à équilibrer leurs finances publiques.
La chancelière allemande Angela Merkel serait prête à ce que le mandat de la BCE soit élargi, de façon conditionnelle, pour juguler la crise de la dette souveraine de la zone euro.
-Geoffrey Rogow, Dow Jones Newswires
Attention la pression monte déjà ce lundi, Eurosement...
50 années de construction contre une semaine de négociation,,, ça veut le coup, Non ?
PRESSE: La BCE prépare un plan de secours de EUR1.000 mds
Date: 05/12/2011 @ 08h27
Source: Dow Jones News
La Banque centrale européenne (BCE) prépare un plan d'injection de liquidités de 1.000 milliards d'euros pour la Zone Euro, avant une série de sommets de crise cette semaine, rapportait dimanche le Sunday Times, sans citer ses sources.
Selon l'article, ce plan sera mis en oeuvre si les dirigeants européens parviennent à se mettre d'accord sur une vaste réforme politique de la zone euro, imposant une surveillance stricte des budgets des Etats membres qui peinent à équilibrer leurs finances publiques.
La chancelière allemande Angela Merkel serait prête à ce que le mandat de la BCE soit élargi, de façon conditionnelle, pour juguler la crise de la dette souveraine de la zone euro.
-Geoffrey Rogow, Dow Jones Newswires
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ça explose sur le NYSE !!!
Bon signe !!!
Rallye de Noël enclenché !!!
Bon signe !!!
Rallye de Noël enclenché !!!
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30 Novembre
Le verre à moitié plein se transforme en verre à moitié vide...les problèmes Macro seviennent sur le devant de la scène.
Le CAC et les indices étrangers vont consolider , selon toutes probabilités.
C'est déjà le cas en Chine.
Bonne journée tout le monde !!!
Le verre à moitié plein se transforme en verre à moitié vide...les problèmes Macro seviennent sur le devant de la scène.
Le CAC et les indices étrangers vont consolider , selon toutes probabilités.
C'est déjà le cas en Chine.
Bonne journée tout le monde !!!
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Bonne soirée tout le monde !!!
Bonne soirée , Moisankarl !!!
Bonne soirée , Moisankarl !!!
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Source privé...
L'un des aspects frappants de la crise de l'euro est la rapidité avec laquelle l'impensable est devenu réalité. Jusqu'au sommet du G20 à Cannes le mois dernier, un éclatement de la Zone Euro était considéré comme un scénario extrême. A présent, tous les investisseurs du monde entier débattent des conséquences d'un possible démantèlement. La semaine dernière, l'autorité britannique des services financiers, la FSA, a ouvertement recommandé aux banques de préparer des plans d'urgence pour faire face à cette éventualité. Mais quelle est la marche à suivre pour les banques et les gouvernements?
Le fait est que les préparatifs reposent en grande partie sur des conjectures, compte tenu des incertitudes extrêmes et des diverses issues possibles ; les scénarios vont de la sortie d'un seul pays membre à une dissolution complète de la zone euro avec un retour aux devises nationales. Tout dépendra aussi de la Banque centrale européenne (BCE) : si elle s'en tient strictement à ses règles et refuse aux pays en défaut de paiement l'accès à ses facilités de financement, le démantèlement éventuel de la zone euro n'en sera qu'encore plus désordonné. Ce qui complique encore la situation, c'est que les décideurs européens et les banques évitent de discuter de plans d'urgence -- ou de s'engager par écrit -- par peur d'exacerber la crise.
Pour les banques, le problème majeur est celui du risque de "redénomination": il leur faut déterminer quels actifs et quels passifs sont le plus menacés par une conversion dans une nouvelle devise et prendre des mesures pour limiter leur exposition. Tout dépend du statut légal de leurs expositions transfrontalières: si des actifs sont détenus par des filiales à l'étranger et financés par des dépôts locaux dans les pays concernés, alors l'exposition de change nette pourrait être limitée. Mais si les banques ont accordé des prêts à l'étranger, financés par des dépôts dans leur devise nationale, elles pourraient alors être confrontées à un risque de conversion plus important. Elles pourraient tenter de minimiser leurs risques de change en transférant des actifs dans des juridictions plus sûres. Mais il leur faut mettre cela en balance avec le risque probablement accru de défaut dans ce cas, car le risque de change serait alors assumé par les clients.
Par ailleurs, les banquiers expliquent qu'il ne sera pas facile de déterminer comment relibeller les comptes. Unicredit (UCG.MI, UNCFF), par exemple, est la troisième banque d'Allemagne ainsi que la deuxième banque d'Italie. Comment le groupe devra-t-il décider quels clients payer en Deutsche marks et lesquels en lires? Cela dépendra-t-il de l'endroit où le compte a été ouvert? Ou du pays où vit le client? Ou de sa nationalité? Il s'agira là en fait de décisions politiques qu'il n'est pas facile pour les banques d'anticiper.
Les banques doivent également se pencher sur la manière dont un éclatement de la zone euro pourrait affecter leurs fonds propres et leurs financements. Le calendrier d'application des règles de Bâle III serait probablement suspendu, ce qui leur fournirait un répit. Des mesures de contrôle des capitaux pourraient permettre de limiter la fuite des dépôts pour les banques locales des pays sortant de la zone euro, mais ces mesures empêcheraient du même coup les banques étrangères de rapatrier leur argent. Une poignée seulement de banques européennes pourraient de façon réaliste espérer lever des capitaux privés. Coupés de la BCE, les gouvernements des pays sortants n'auraient plus d'autre possibilité pour recapitaliser leurs banques ou pour garantir le financement de ces dernières que de faire marcher la planche à billets dans leur nouvelle devise, ce qui soulèverait le spectre d'une inflation galopante.
Enfin, tout plan d'urgence doit considérer comment préserver le bon fonctionnement des mécanismes de paiement, sans lesquels un pays court le risque d'être plongé dans des troubles civils. D'autres unions monétaires ont déjà été dissolues auparavant, mais aucune impliquant des liens aussi étroits et complexes à la fois entre pays et entre gouvernements et banques. Introduire de nouveaux billets et de nouvelles pièces en devise nationale constitue un immense défi logistique; les pièces et les billets en euros n'ont été introduits que deux ans après la création de la monnaie unique. Le défi serait encore plus grand si l'euro cessait entièrement d'exister.
C'est peut-être pourquoi, même si l'heure est grave, nombre de ceux chargés d'élaborer des plans d'urgence continuent de penser que cette fois-ci, l'impensable est vraiment impensable, et que les dirigeants européens finiront par faire le nécessaire.
L'un des aspects frappants de la crise de l'euro est la rapidité avec laquelle l'impensable est devenu réalité. Jusqu'au sommet du G20 à Cannes le mois dernier, un éclatement de la Zone Euro était considéré comme un scénario extrême. A présent, tous les investisseurs du monde entier débattent des conséquences d'un possible démantèlement. La semaine dernière, l'autorité britannique des services financiers, la FSA, a ouvertement recommandé aux banques de préparer des plans d'urgence pour faire face à cette éventualité. Mais quelle est la marche à suivre pour les banques et les gouvernements?
Le fait est que les préparatifs reposent en grande partie sur des conjectures, compte tenu des incertitudes extrêmes et des diverses issues possibles ; les scénarios vont de la sortie d'un seul pays membre à une dissolution complète de la zone euro avec un retour aux devises nationales. Tout dépendra aussi de la Banque centrale européenne (BCE) : si elle s'en tient strictement à ses règles et refuse aux pays en défaut de paiement l'accès à ses facilités de financement, le démantèlement éventuel de la zone euro n'en sera qu'encore plus désordonné. Ce qui complique encore la situation, c'est que les décideurs européens et les banques évitent de discuter de plans d'urgence -- ou de s'engager par écrit -- par peur d'exacerber la crise.
Pour les banques, le problème majeur est celui du risque de "redénomination": il leur faut déterminer quels actifs et quels passifs sont le plus menacés par une conversion dans une nouvelle devise et prendre des mesures pour limiter leur exposition. Tout dépend du statut légal de leurs expositions transfrontalières: si des actifs sont détenus par des filiales à l'étranger et financés par des dépôts locaux dans les pays concernés, alors l'exposition de change nette pourrait être limitée. Mais si les banques ont accordé des prêts à l'étranger, financés par des dépôts dans leur devise nationale, elles pourraient alors être confrontées à un risque de conversion plus important. Elles pourraient tenter de minimiser leurs risques de change en transférant des actifs dans des juridictions plus sûres. Mais il leur faut mettre cela en balance avec le risque probablement accru de défaut dans ce cas, car le risque de change serait alors assumé par les clients.
Par ailleurs, les banquiers expliquent qu'il ne sera pas facile de déterminer comment relibeller les comptes. Unicredit (UCG.MI, UNCFF), par exemple, est la troisième banque d'Allemagne ainsi que la deuxième banque d'Italie. Comment le groupe devra-t-il décider quels clients payer en Deutsche marks et lesquels en lires? Cela dépendra-t-il de l'endroit où le compte a été ouvert? Ou du pays où vit le client? Ou de sa nationalité? Il s'agira là en fait de décisions politiques qu'il n'est pas facile pour les banques d'anticiper.
Les banques doivent également se pencher sur la manière dont un éclatement de la zone euro pourrait affecter leurs fonds propres et leurs financements. Le calendrier d'application des règles de Bâle III serait probablement suspendu, ce qui leur fournirait un répit. Des mesures de contrôle des capitaux pourraient permettre de limiter la fuite des dépôts pour les banques locales des pays sortant de la zone euro, mais ces mesures empêcheraient du même coup les banques étrangères de rapatrier leur argent. Une poignée seulement de banques européennes pourraient de façon réaliste espérer lever des capitaux privés. Coupés de la BCE, les gouvernements des pays sortants n'auraient plus d'autre possibilité pour recapitaliser leurs banques ou pour garantir le financement de ces dernières que de faire marcher la planche à billets dans leur nouvelle devise, ce qui soulèverait le spectre d'une inflation galopante.
Enfin, tout plan d'urgence doit considérer comment préserver le bon fonctionnement des mécanismes de paiement, sans lesquels un pays court le risque d'être plongé dans des troubles civils. D'autres unions monétaires ont déjà été dissolues auparavant, mais aucune impliquant des liens aussi étroits et complexes à la fois entre pays et entre gouvernements et banques. Introduire de nouveaux billets et de nouvelles pièces en devise nationale constitue un immense défi logistique; les pièces et les billets en euros n'ont été introduits que deux ans après la création de la monnaie unique. Le défi serait encore plus grand si l'euro cessait entièrement d'exister.
C'est peut-être pourquoi, même si l'heure est grave, nombre de ceux chargés d'élaborer des plans d'urgence continuent de penser que cette fois-ci, l'impensable est vraiment impensable, et que les dirigeants européens finiront par faire le nécessaire.
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Pardon pour les fautes.
La Belgique a émis mardi pour 1,015 milliard d'obligations à trois et six mois à 2,185%
29/11/2011 @ 12h35
Source: Dow Jones News
La Belgique a émis mardi pour 1,015 milliard d'obligations à trois et six mois à 2,185%
29/11/2011 @ 12h35
Source: Dow Jones News
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L'augnetation du chomage???
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Plus les mausaises nouvelles (7%) sont là plus la pression augnement sur la BCE et sur la mise en place d'un QE, l'analogie avec l'augnetation du taux de chômage aux US plaidait pour le maintient du QE2 jadis. Enfin je pense...
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PARFAIT HAUSSE DU CAC!!!^^^^
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réussie, mais au-dessus de 7% 
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Adjudication réussi à 6.5Mrd pour l'italie...
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"Le calendrier des adjudications de dette est chargé mardi en Europe. Les intervenants du marché surveilleront en particulier l'émission de l'Italie, qui a prévu de placer jusqu'à 8 milliards d'euros de titres à long terme, à 11h00. La Belgique a quant à elle prévu d'émettre jusqu'à 2 milliards d'euros de dette à trois et six mois, à 11h30."
29/11/2011 @ 10h06
Source: Dow Jones News
29/11/2011 @ 10h06
Source: Dow Jones News
Message complété le 29/11/2011 10:19:26 par son auteur.
La baisse d'aujourd'huis est seulement dû à des prise de bénéf, je pense... Reste à savoir pour quelle raison elle est monté hier en dehors des variables purement techniques.
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D'où la baisse d'aujourd'hui? Hum!
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29/11/2011 @ 09h54
Source: Dow Jones News
Viviane-Reding vice-présidente de la Commission européenne a déclaré sur France inter ce mardi qu'il n'y a pas de crise de l'euro... OUF... elle estime également qu'il leur faut "montrer aux marchés que la politique REPRENT les choses en main [était] la seule réponse possible". "D'ailleurs, vous avez vu qu'après ce pacte dit secret, les marchés ont recommencé à montrer leur confiance"... Je suis heureux d'avoir été aussi naïf, et d'avoir vu la chose à court terme voir à la "microseconde"... mais tout de même pendant ce temps la ministre du Budget, Valérie Pécresse, a confirmé toujours ce mardi sur France 2 que la France et l'Allemagne travaillaient à une révision du pacte de stabilité européen visant à apporter "plus de discipline pour la zone euro", tout en avertissant que Paris s'opposait à une Zone Euro à deux vitesses...
Les marché n'ont quà bien se tenir... Non mais sans blague...
Source: Dow Jones News
Viviane-Reding vice-présidente de la Commission européenne a déclaré sur France inter ce mardi qu'il n'y a pas de crise de l'euro... OUF... elle estime également qu'il leur faut "montrer aux marchés que la politique REPRENT les choses en main [était] la seule réponse possible". "D'ailleurs, vous avez vu qu'après ce pacte dit secret, les marchés ont recommencé à montrer leur confiance"... Je suis heureux d'avoir été aussi naïf, et d'avoir vu la chose à court terme voir à la "microseconde"... mais tout de même pendant ce temps la ministre du Budget, Valérie Pécresse, a confirmé toujours ce mardi sur France 2 que la France et l'Allemagne travaillaient à une révision du pacte de stabilité européen visant à apporter "plus de discipline pour la zone euro", tout en avertissant que Paris s'opposait à une Zone Euro à deux vitesses...
Les marché n'ont quà bien se tenir... Non mais sans blague...
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C'est vrai , Rodolphe !!!
Bonne journée !!!
Bonne journée !!!
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on monte peut être sur des rumeurs mais quand on baisse c'est quasiment pareil, il ne faudrait pas l'oublier. Le CAC perdait 25% depuis le premier janvier, alors que depuis, la situation des entreprises est guère différente et en tout cas ne justifie en aucun cas une telle purge...
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29 Novembre 2011
Au lendemain d'une hausse de 5,30 % , les marchés vont se trouver confrontés aujourd'hui au retour du refoulé...
Aucune nouvelle susceptible de faire monter l'indice. Sauf à céder aux rumeurs et autres hypothèses.
Le CASE-SCHILLER publié aujourd'hui concerne la construction neuve , exclusivement.
En ce sens , il n'est PAS représentatif de l'état de l'immobilier US
Bonne journée !!!
Au lendemain d'une hausse de 5,30 % , les marchés vont se trouver confrontés aujourd'hui au retour du refoulé...
Aucune nouvelle susceptible de faire monter l'indice. Sauf à céder aux rumeurs et autres hypothèses.
Le CASE-SCHILLER publié aujourd'hui concerne la construction neuve , exclusivement.
En ce sens , il n'est PAS représentatif de l'état de l'immobilier US
Bonne journée !!!
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