CAC 40: applaudit encore le bazooka sorti par Draghi. - Page 2
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Il y a un an, MD nous sortait son bazooka monétaire ,aucun résultat sur l' inflation c' est la faute aux prix des matières premières dont le pétrole est le fer de lance , autre résultat une croissance molle de la zone euro bref un bazooka monétaire qui n' aura servi en grande partie qu' à sauver les marchés financiers , un second bazooka est attendu que pourra t' il celui là contre un environnement économique mondiale en ralentissement dont certains pays sont déjà entrés en récession voire en dépression style Vénezuela, que pourra t' il contre une dette accrue des états , la réponse montrera les limites de son action , les marchés en tireront les conséquences , ceux çi ayant toujours le dernier mot .
On a bien vu les résultats du bazooka monétaire japonais : rien sauf pour la bourse , MD doit donc continuer à perfuser les marchés parce qu' il a mis la main dans un engrenage dont il ne peut plus s' en sortir
On a bien vu les résultats du bazooka monétaire japonais : rien sauf pour la bourse , MD doit donc continuer à perfuser les marchés parce qu' il a mis la main dans un engrenage dont il ne peut plus s' en sortir
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ce n' est pas moi qui a écrit çà c' est vieux de tante rose !
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La monnaie doit etre au service de l'emploi et non l'inverse. S'iln'ya pas assez de sous pour relancer l'emploi, ilfaut en fabriquer àcondition que l'emploi soit au service d'activités économiquement rentables C'est le boulot des banques que de créer chaque jour de la monnaie sous forme de prets pour financer des activités rentables au lieu de spéculer en bourse ou de financer des dépenses publiques non rentables ou inutiles .
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Draghi veut sauver la zone EURO Ilfinira par gagner
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encore faut il avoir des sousous pour tout cela, et donc vouloir travailler autant que les dits pays emergeants...
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aprés la recession et la stagnation ily aura forcemment la croissance, démographie mondiale oblige mais aussi désir d'améliorer l'instruction ,la formation , l'efficacité économique ,les conditions de vie et de survie à l'echelle mondiale QUI aurait pu prévoir ilya 20 ans l'accélération de nombreux pays émergents La demande mondiale de poduits et services ne peut que croitre sur le long terme
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Augustus
07/09/2012 16:56:40
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3600 après ploufff
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Petit à petit, le CAC40 redescend. Lol!
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le seul micro espoir des baissiers pour un retour sur 3300 c'est que l'Allemagne se rebiffe
Rien que d'écrire les allemands se rebiffent me fait rire lol
un allemand se rebiffe pas il obéit
Rien que d'écrire les allemands se rebiffent me fait rire lol
un allemand se rebiffe pas il obéit
Message complété le 07/09/2012 15:39:39 par son auteur.
La seule chose incompréhensible pour moi c'est comment il y a peu avec de la croissance nous étions à 3000
et comment maintenant pouvons nous être à 3550 alors qu'on prévoit une récession??
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ilse passe quelque chose de nouveau en Allemagne
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Fabrice Cousté se félicite aprés les déclarations de Mariio Draghi Ilest regrettable qu'il n'ait pas anticipé ces déclarations C'est pour cela que je lui reproche de trop coller au x marchés comme bon nombre de ses collégues
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tu voi encore 1 hausse lundi
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Bizarre les bazookas de Bearnanke , du gouverneur de la BOE , de Draghi sont tous réglés de la même façon.
Il a suffi que bernanke dise ou ne dise rien , et les autres marchent au même tempo.
Tout ceci est bien orchestré
Il a suffi que bernanke dise ou ne dise rien , et les autres marchent au même tempo.
Tout ceci est bien orchestré
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La chasse aux gogos est ouverte!
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Le Bazooka sorti par Draghi c' est un BULL-TRAP avec volumes pour confirmation .
Il a préparé le terrain hier , aujourd' hui ce sera le feu d' artifice final à la hausse avec une petite sauce lundi prochain comme les 27, 28 et 31 octobre 2011
Il a préparé le terrain hier , aujourd' hui ce sera le feu d' artifice final à la hausse avec une petite sauce lundi prochain comme les 27, 28 et 31 octobre 2011
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Le Bazooka sorti par Draghi : plutôt par Goldmann Sachs ( hypothèse délirante évidemment)
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(CercleFinance.com) - Les investisseurs affichent toujours leur soulagement au lendemain du discours du Président de la BCE et attendent avec impatience la confirmation des bons chiffres de l'emploi aux Etats-Unis.
A la mi-séance, le CAC 40 grimpe de 1,2% à 3550,6 points, tandis que le FTSE et le DAX avancent respectivement de 0,2% et 0,9%.
'Mario Draghi a sorti l'artillerie lourde pour apaiser durablement la crise de la zone euro', se félicite Fabrice Cousté, directeur général de CMC Markets France. 'Pour la première fois de son histoire, la BCE s'engage dans un programme de rachats illimité quantitativement, et direct, convergeant ainsi un peu plus vers la politique monétaire privilégiée par la Reserve Fédérale aux Etats-Unis', précise-t-il. 'De quoi offrir un peu plus de garanties aux investisseurs institutionnels pour racheter de nouveau de la dette souveraine européenne, une classe d'actifs qui n'inspirait vraiment plus confiance', renchérit-il.
Pour Barclays Bourse, 'une première étape est franchie avec à la clé une poursuite de la détente des taux en Europe du sud, ce qui permettra aux gouvernements concernés de poursuivre une politique d'assainissement des finances publiques sans l'épée de Damoclès de la flambée des coûts de refinancement'. Les gérants soulignent qu''il reste maintenant à trouver un cadre favorable pour un retour de la croissance en Europe'.
En terme d'analyse technique, les spécialistes indiquent que 'l'heure de vérité approche pour le CAC 40 qui se retrouve à quelques encablures de sa forte zone de résistance de moyen long terme actuellement vers 3530 points'.
'Son franchissement, confirmé par une clôture au-dessus des 3600 points, le plus haut atteint le 16 mars dernier, libérerait un potentiel minimum de 400 points pour un retour sur les 4000 points', précisent-t-ils enfin.
Désormais, le marché attend la publication du rapport officiel sur l'emploi américain pour août, à 14h30. Le consensus vise 120.000 créations de postes, tandis que les résultats de l'enquête mensuelle ADP publiés hier ont fait état de 201.000 emplois créés le mois dernier.
'En dépit de la bonne surprise annoncée par ADP, les créations d'emplois pourraient être restées peu nombreuses en août aux Etats-Unis', prévient Aurel BGC.
'Combinées avec une légère progression du salaire horaire moyen et la stabilisation des heures travaillées (malgré une baisse des heures supplémentaires dans l'industrie manufacturière, le revenu du travail des ménages sera orienté à la hausse', indique cependant le bureau d'études.
'De plus, malgré des créations d'emplois encore peu dynamique, le taux de chômage pourrait rebaisser un peu, semant la confusion dans les anticipations de politique monétaire pour la réunion du FOMC de la semaine prochaine', ajoute-t-il.
Après la décision de la BCE hier, les valeurs financières se classent en tête à Paris, à commencer par Crédit Agricole (+7,9% à 5,4 euros) qui bénéficie en outre d'un relèvement de recommandation de Morgan Stanley et J.P.Morgan.
Peugeot se place non loin derrière sur le CAC 40, grimpant de 4,8% à 6,3 euros, alors que le titre va être retiré de l'indice le 24 septembre prochain.
L'Oréal est à la peine, perdant 1,4% à moins de 100 euros, dans le sillage d'une dégradation de Morgan Stanley.
Air France s'adjuge 2,9% à 4,2 euros sur le SBF 120, après avoir annoncé un trafic en hausse de 0,6% en août.
Enfin, Neopost plonge de 6,5% à 39,5 euros, au lendemain de l'annonce d'un chiffre d'affaires de deuxième trimestre en recul de 2,2% à taux de change constants.
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A la mi-séance, le CAC 40 grimpe de 1,2% à 3550,6 points, tandis que le FTSE et le DAX avancent respectivement de 0,2% et 0,9%.
'Mario Draghi a sorti l'artillerie lourde pour apaiser durablement la crise de la zone euro', se félicite Fabrice Cousté, directeur général de CMC Markets France. 'Pour la première fois de son histoire, la BCE s'engage dans un programme de rachats illimité quantitativement, et direct, convergeant ainsi un peu plus vers la politique monétaire privilégiée par la Reserve Fédérale aux Etats-Unis', précise-t-il. 'De quoi offrir un peu plus de garanties aux investisseurs institutionnels pour racheter de nouveau de la dette souveraine européenne, une classe d'actifs qui n'inspirait vraiment plus confiance', renchérit-il.
Pour Barclays Bourse, 'une première étape est franchie avec à la clé une poursuite de la détente des taux en Europe du sud, ce qui permettra aux gouvernements concernés de poursuivre une politique d'assainissement des finances publiques sans l'épée de Damoclès de la flambée des coûts de refinancement'. Les gérants soulignent qu''il reste maintenant à trouver un cadre favorable pour un retour de la croissance en Europe'.
En terme d'analyse technique, les spécialistes indiquent que 'l'heure de vérité approche pour le CAC 40 qui se retrouve à quelques encablures de sa forte zone de résistance de moyen long terme actuellement vers 3530 points'.
'Son franchissement, confirmé par une clôture au-dessus des 3600 points, le plus haut atteint le 16 mars dernier, libérerait un potentiel minimum de 400 points pour un retour sur les 4000 points', précisent-t-ils enfin.
Désormais, le marché attend la publication du rapport officiel sur l'emploi américain pour août, à 14h30. Le consensus vise 120.000 créations de postes, tandis que les résultats de l'enquête mensuelle ADP publiés hier ont fait état de 201.000 emplois créés le mois dernier.
'En dépit de la bonne surprise annoncée par ADP, les créations d'emplois pourraient être restées peu nombreuses en août aux Etats-Unis', prévient Aurel BGC.
'Combinées avec une légère progression du salaire horaire moyen et la stabilisation des heures travaillées (malgré une baisse des heures supplémentaires dans l'industrie manufacturière, le revenu du travail des ménages sera orienté à la hausse', indique cependant le bureau d'études.
'De plus, malgré des créations d'emplois encore peu dynamique, le taux de chômage pourrait rebaisser un peu, semant la confusion dans les anticipations de politique monétaire pour la réunion du FOMC de la semaine prochaine', ajoute-t-il.
Après la décision de la BCE hier, les valeurs financières se classent en tête à Paris, à commencer par Crédit Agricole (+7,9% à 5,4 euros) qui bénéficie en outre d'un relèvement de recommandation de Morgan Stanley et J.P.Morgan.
Peugeot se place non loin derrière sur le CAC 40, grimpant de 4,8% à 6,3 euros, alors que le titre va être retiré de l'indice le 24 septembre prochain.
L'Oréal est à la peine, perdant 1,4% à moins de 100 euros, dans le sillage d'une dégradation de Morgan Stanley.
Air France s'adjuge 2,9% à 4,2 euros sur le SBF 120, après avoir annoncé un trafic en hausse de 0,6% en août.
Enfin, Neopost plonge de 6,5% à 39,5 euros, au lendemain de l'annonce d'un chiffre d'affaires de deuxième trimestre en recul de 2,2% à taux de change constants.
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