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Message complété le 03/06/2013 13:52:22 par son auteur.
il prennent l'argent ou il est... mais regardent pas dans leurs poches..... oui je veux bien un ricard finalement.!!!
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Message complété le 03/06/2013 12:42:25 par son auteur.
Nous avons le plus grand nombre de ministres, d'hommes politiques en pourcentage de la population, le plus gros mille feuilles en institutions, le plus grand nombre d'agences d'état.
Nous ne supportons pas d'être les seconds.
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Jean-Marc Ayrault l'annoncera dans la journée, mais le choix du gouvernement
est désormais arrêté sur la réforme de la branche famille de la sécurité
sociale.
La réduction des allocations familiales en fonction du revenu est passée à la
trappe face à la grogne de nombreuses organisations syndicales et de parties
politiques. La facilité l'a aussi emporté car moduler les allocations familiales
cela veut dire renforcer fortement les effectifs des CAF pour calculer cette
modulation, faire des versements différenciés, etc. En ce sens c'est assez
logique.
C'est donc la voie de l'augmentation des impôts qui est choisie avec
l'abaissement du quotient familial de 2000 à 1500 euros par demi-part fiscale
supplémentaire. Au final cela ne touchera que les familles imposables au delà
d'un certain niveau, soit environ 10% des foyers fiscaux français. Pour une
famille de 2 enfants cela se traduira par une augmentation d'impôts d'environ
1000 euros par an dès 2014 (sur les revenus de 2013).
Les familles avec un seul enfant seront aussi mises à contribution ce qui
n'aurait pas été le cas avec la modulation des allocations familiales
puisqu'elles n'y ont pas droit.
Le gain pour l'Etat atteindra 915 millions d'euros en année pleine. A cela
s'ajoute toute une flopée de réductions autour de la PAJE (prestation d'accueil
du jeune enfant), de la prime de naissance, etc.
La promesse de stabilité fiscale promise par François Hollande il y a
quelques jours à peine est donc caduque, une fois de plus... la France
s'achemine doucement à la première place mondiale en terme de prélèvements
obligatoires, elle n'est aujourd'hui "que" deuxième derrière le Danemark.
© www.abcbourse.com
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