excellente analyse gars d' ain avec ses conséquences
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Suite de l'effet Papillon (III) : une singularité de la bourse chinoise...
Remarquons avec le plus grand intérêt ce constat alarmant "Sur les 90 millions d’investisseurs des Bourses chinoises, la quasi-totalité sont des particuliers et petits porteurs --à l’inverse des pays occidentaux, où dominent les investisseurs institutionnels."
La conséquence directe est qu'une fois rincé, le petit épargnant ne soutiendra plus la consommation intérieure... voilà où le bas va baisser plus que de raison...
Remarquons avec le plus grand intérêt ce constat alarmant "Sur les 90 millions d’investisseurs des Bourses chinoises, la quasi-totalité sont des particuliers et petits porteurs --à l’inverse des pays occidentaux, où dominent les investisseurs institutionnels."
La conséquence directe est qu'une fois rincé, le petit épargnant ne soutiendra plus la consommation intérieure... voilà où le bas va baisser plus que de raison...
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Les petits porteurs chinois se font rincer http://www.liberation.fr/economie/2015/08/24/bourses-chinoises-les-petits-actionnaires-suspendus-aux-interventions-de-pekin_1368655
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La dévaluation du tenge (Kazakhstan), papillon précurseur de crises pétrolières graves
NON, IL N'Y A PAS REDITE, PUISQUE L'ARTICLE QUI SUIT DATE du 11 février 2014 : soit pratiquement 4,5 mois avant le début de la chûte du pétrole de Juillet 2014.
Il est précisé dans l'article de la tribune que cette monnaie est beaucoup liée au rouble russe. Tout le monde a en mémoire les 2 dévaluations surprises récentes de Poutine.
La Russie n'a fait que plupart l'imiter et lui emboiter le pas.
On fait donc voir dans la nouvelle dévaluation du Tenge d'Aout 2015, un signal important d'une crise pétrolière à venir pour décembre 2015 / janvier 2016...
Il faudra donc bien voir ici aussi un signe précurseur important de dévaluation du rouble pour les 6 à 12 mois qui viennent avec les conséquences qui s'imposent...
Article "Le Kazakhstan dévalue sa monnaie, le tenge, de 19 %'"
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20140211trib000814776/le-kazakhstan-devalue-sa-monnaie-le-tenge-de-19-.html
NON, IL N'Y A PAS REDITE, PUISQUE L'ARTICLE QUI SUIT DATE du 11 février 2014 : soit pratiquement 4,5 mois avant le début de la chûte du pétrole de Juillet 2014.
Il est précisé dans l'article de la tribune que cette monnaie est beaucoup liée au rouble russe. Tout le monde a en mémoire les 2 dévaluations surprises récentes de Poutine.
La Russie n'a fait que plupart l'imiter et lui emboiter le pas.
On fait donc voir dans la nouvelle dévaluation du Tenge d'Aout 2015, un signal important d'une crise pétrolière à venir pour décembre 2015 / janvier 2016...
Il faudra donc bien voir ici aussi un signe précurseur important de dévaluation du rouble pour les 6 à 12 mois qui viennent avec les conséquences qui s'imposent...
Article "Le Kazakhstan dévalue sa monnaie, le tenge, de 19 %'"
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20140211trib000814776/le-kazakhstan-devalue-sa-monnaie-le-tenge-de-19-.html
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Attention à l'effet papillon dans un jeu mondial de dominos...
Notons "Le Kazakhstan se doit de faire face à un pétrole entre 30 et 40 dollars le baril", a déclaré le chef de l'Etat, prévenant que la faiblesse des prix du brut et des métaux pourrait se maintenir pendant cinq ans.
Selon lui, le Kazakhstan est aussi touché par la chute de la demande en Chine et en Russie, ses deux principaux marchés.
Notons encore pour le SSE (Shanghai) : "L'enfoncement des 3.500Pts préfigurerait une correction 'radicale' alors que le SSE sortirait d'un corridor 3.500/4.130.Le potentiel de baisse ainsi libéré serait de -600 à -650Pts, soit un effacement complet des gains annuels et un retracement du plancher des 2.850 du début du mois de décembre 2014
Vous noterez que certains parlaient de 2018 pour un retour haussier du pétrole, mais ici on parle déjà de 2021... La croissance mondiale sous-tend la croissance des états et des économies. Il faut aussi avoir à l'esprit que la croissance chinoise n'utilise pas les mêmes bases de calculs que nous, et donc pour maintenir le navire à flot, il leur faut des chiffres importants de l'ordre de 7% annuel. Un nette baisse des importations de pétrole signifie un fort ralentissement qui va s'étaler dans le temps.
Ce n'est pas l'effondrement même du SSE (Shanghai) qui inquiète en lui-même, ce marché n'est pratiquement pas ouvert aux spéculateurs et investisseurs étrangers. Mais c'est bien l'origine de l'éffondrement, les raisons structurelles des bulles financières actuelles et leurs conséquences à terme sur une croissance en berne de l'économie chinoise qui préoccupent.
Article "Le Kazakhstan laisse flotter sa monnaie, qui s'effondre immédiatement"
http://fr.sputniknews.com/economie/20150820/1017682068.html
Article "SSE (Shanghai): retrace au point près les 3.507Pts."
http://www.abcbourse.com/marches/sse-shanghai-retrace-au-point-pres-les-3507pts_335256_PX4p
Notons "Le Kazakhstan se doit de faire face à un pétrole entre 30 et 40 dollars le baril", a déclaré le chef de l'Etat, prévenant que la faiblesse des prix du brut et des métaux pourrait se maintenir pendant cinq ans.
Selon lui, le Kazakhstan est aussi touché par la chute de la demande en Chine et en Russie, ses deux principaux marchés.
Notons encore pour le SSE (Shanghai) : "L'enfoncement des 3.500Pts préfigurerait une correction 'radicale' alors que le SSE sortirait d'un corridor 3.500/4.130.Le potentiel de baisse ainsi libéré serait de -600 à -650Pts, soit un effacement complet des gains annuels et un retracement du plancher des 2.850 du début du mois de décembre 2014
Vous noterez que certains parlaient de 2018 pour un retour haussier du pétrole, mais ici on parle déjà de 2021... La croissance mondiale sous-tend la croissance des états et des économies. Il faut aussi avoir à l'esprit que la croissance chinoise n'utilise pas les mêmes bases de calculs que nous, et donc pour maintenir le navire à flot, il leur faut des chiffres importants de l'ordre de 7% annuel. Un nette baisse des importations de pétrole signifie un fort ralentissement qui va s'étaler dans le temps.
Ce n'est pas l'effondrement même du SSE (Shanghai) qui inquiète en lui-même, ce marché n'est pratiquement pas ouvert aux spéculateurs et investisseurs étrangers. Mais c'est bien l'origine de l'éffondrement, les raisons structurelles des bulles financières actuelles et leurs conséquences à terme sur une croissance en berne de l'économie chinoise qui préoccupent.
Article "Le Kazakhstan laisse flotter sa monnaie, qui s'effondre immédiatement"
http://fr.sputniknews.com/economie/20150820/1017682068.html
Article "SSE (Shanghai): retrace au point près les 3.507Pts."
http://www.abcbourse.com/marches/sse-shanghai-retrace-au-point-pres-les-3507pts_335256_PX4p
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Si la devise du Kazakhstan s'écroule , la planète ne va pas s'en remettre , assurément
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"La panique boursière n'est qu'un des défis auxquels Pékin est confronté - Market Blog"
C'est le type même d'article qui me font sourire .
La situation de la Chine est connue , y compris par les gérants qui s'alarment subitement d'une croissance moins élevée du pays . On rêve , car n'importe qui sur la planète se satisferait de 4 ou 5% sans que cela remette quelque modèle économique en cause . Il faudra s'adapter à des chiffres plus logiques .
On s'alarme dans le même temps de la somme globale des prêts consentis avec un raisonnement abêtissant basé sur une valeur 0 des titres souscrits . Ben voyons !
La Chine qui a sciemment impulsé une faim d'actifs boursiers chez une population foncièrement joueuse doit simplement mettre un frein aux excès commis . En aucun cas le pays ne s'effondrera pour autant .
On devrait également mettre un frein à ces établissements spéculateurs qui passent en un instant d'une euphorie à la paranoïa et amplifient à loisir des mouvements déjà hors normes .
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salut CRI
le poids de la croissance chinoise dans le monde est trés important ; il a contribué à tirer cette croissance mondial.
vers le haut , n' oublies pas que la Chine a sur produit des logements , des centres commerciaux trop grands etc..., ce temps là est révolu ses besoins vont être moins importants , ce sont les autres pays qui vont en pâtir donc la croissance mondiale va ralentir sérieusement ce qui risque d' entrainer certains pays ayant des croissances molles en récession effet domino .
Moins de besoin en énergie style pétrole , moins de besoin de matières premières, moins de besoin en or cela se ressent sur les cours , bref on est en fin de cycle de fortes croissances parce qu' on sature tout simplement , il arrive un moment où devant tant d' innovation on ne parvient plus à progresser que par la baisse de l' emploi dans tous les pays
le poids de la croissance chinoise dans le monde est trés important ; il a contribué à tirer cette croissance mondial.
vers le haut , n' oublies pas que la Chine a sur produit des logements , des centres commerciaux trop grands etc..., ce temps là est révolu ses besoins vont être moins importants , ce sont les autres pays qui vont en pâtir donc la croissance mondiale va ralentir sérieusement ce qui risque d' entrainer certains pays ayant des croissances molles en récession effet domino .
Moins de besoin en énergie style pétrole , moins de besoin de matières premières, moins de besoin en or cela se ressent sur les cours , bref on est en fin de cycle de fortes croissances parce qu' on sature tout simplement , il arrive un moment où devant tant d' innovation on ne parvient plus à progresser que par la baisse de l' emploi dans tous les pays
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Parce que la Chine va revenir progressivement sur des taux de croissance tenables pour le niveau de son PIB actuel dont la croissance fût fulgurante .
Il va falloir s'y habituer , et sans doute les chinois les premiers .
Il me semble aberrant que les (mauvais) analystes puissent encore anticiper des 6 à 7% de hausse annuelle .
Ceci dit , il ne faudrait pas en déduire que cela puisse entraîner quelque récession impromptue , un PIB même avec 3 à 4 % par an servant toujours de locomotive .
Arrêtons donc de paniquer avec ce chiffon ...rouge !
Il va falloir s'y habituer , et sans doute les chinois les premiers .
Il me semble aberrant que les (mauvais) analystes puissent encore anticiper des 6 à 7% de hausse annuelle .
Ceci dit , il ne faudrait pas en déduire que cela puisse entraîner quelque récession impromptue , un PIB même avec 3 à 4 % par an servant toujours de locomotive .
Arrêtons donc de paniquer avec ce chiffon ...rouge !
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Pourquoi ce krach boursier en Chine ?
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Encore un peu d'eau au moulin...
Article " Le k r a c h du S S E : tous coupables!!!!!
Par Eric Lewin
La forte chute de la Bourse chinoises n'est pas une surprise : mon collègue et ami Philippe Béchade maintes fois évoqué la situation, vous a parlé des ratios stratosphérique du SSE (le PER du marché chinois dépassait les 70 à son top !) et la situation explosive du marché, et nous nous inquiétons de la folie boursière qui s’emparait des petits investisseurs lambda, qui ouvraient des comptes et investissaient sur des actions comme ils joueraient au casino.
Le Krach du SSE (l’indice chinois ayant perdu plus de 30% en un mois, je pense que l’on peut parler d’un krach) risque d’être suivi d'un net ralentissement de l'économie.
Les ventes de voitures ont, par exemple, d’ores et déjà reculé de 3,2% en juin dernier, la première baisse depuis deux ans. Le consommateur chinois risque également d'être touché de plein fouet : ils sont des millions (oui, les chiffres le montrent) de petits investisseurs qui, fraichement arrivés sur les marchés boursiers, viennent de se faire tondre de 35%.
Car en mai dernier, ils ont été près de 4 millions à ouvrir de nouveaux comptes boursiers chaque semaine. De même, sur 90 millions d'investisseurs en Chine, plus de 98% sont des particuliers, souvent habitués à voir les marchés monter en ligne droite. Cette consolidation entraine une destruction de richesses pour tous ces investisseurs et donc… une moindre consommation.
Dans ces conditions, et si la crise se poursuit, il pourrait être difficile d'atteindre les 7% de croissance espérés – qui représenterait cependant la plus faible croissance depuis 25 ans. Bien-sûr, ces chiffres feraient rêver dans l'Hexagone. Pourtant, il faut garder en tête qu’une hausse du PIB autour des 7% est à peine satisfaisant pour absorber les 10 millions de Chinois qui arrivent chaque année sur le marché du travail.
Pour ceux qui sont abonnés à La Lettre PEA, j'avais dit dans mon éditorial de juin dernier que la tendance haussière alors en place en Chine n'était pas saine... Nous voilà avec cette débâcle qui va sans doute ruiner de nouveaux épargnants et mettre à mal les prévisions de croissance.
Les autorités chinoises ont alors pris le taureau (ou plutôt l’ours) par les cornes, en suspendant les cours de Bourse et en interdisant aux gros fonds institutionnels de vendre des titres pendant 6 mois.
On croit rêver ! Cela montre évidemment l’immaturité totale du marché en Chine, mais également à quel point la Bourse chinoise est encore loin, très loin d’être saine. Remarquez, nos Fed et BCE font cela à peine plus subtilement en soutenant les cours avec des perfusions massives.
Mais c'est évidemment reculer pour mieux exploser en vol après.
Alors en Chine, les investisseurs ont cru ue la Bourse était un jeu d’argent comme un autre. Mais ils n’ont aps compris que là, les dés étaient pipés. La commission chinoise de régulation des marchés financiers avait laissé s'installer une surabondance de titres sur le marché, avait laissé s'introduire n’importe quelle société en Bourse malgré des bilans contestables. Et le gouvernement chinois n'a jamais voulu prendre le risque d'avertir la population que les marchés boursiers étaient complètement decorrelée de l'économie réelle. (Philippe Béchade a bien évidemment une idée sur la raison de ce silence).
Nul ne sait où iront les marchés chinois dans les prochaines semaines mais espérons que les évènements actuels serviront de détonateur à plus de régulation, moins d'amateurisme.
Article " Le k r a c h du S S E : tous coupables!!!!!
Par Eric Lewin
La forte chute de la Bourse chinoises n'est pas une surprise : mon collègue et ami Philippe Béchade maintes fois évoqué la situation, vous a parlé des ratios stratosphérique du SSE (le PER du marché chinois dépassait les 70 à son top !) et la situation explosive du marché, et nous nous inquiétons de la folie boursière qui s’emparait des petits investisseurs lambda, qui ouvraient des comptes et investissaient sur des actions comme ils joueraient au casino.
Le Krach du SSE (l’indice chinois ayant perdu plus de 30% en un mois, je pense que l’on peut parler d’un krach) risque d’être suivi d'un net ralentissement de l'économie.
Les ventes de voitures ont, par exemple, d’ores et déjà reculé de 3,2% en juin dernier, la première baisse depuis deux ans. Le consommateur chinois risque également d'être touché de plein fouet : ils sont des millions (oui, les chiffres le montrent) de petits investisseurs qui, fraichement arrivés sur les marchés boursiers, viennent de se faire tondre de 35%.
Car en mai dernier, ils ont été près de 4 millions à ouvrir de nouveaux comptes boursiers chaque semaine. De même, sur 90 millions d'investisseurs en Chine, plus de 98% sont des particuliers, souvent habitués à voir les marchés monter en ligne droite. Cette consolidation entraine une destruction de richesses pour tous ces investisseurs et donc… une moindre consommation.
Dans ces conditions, et si la crise se poursuit, il pourrait être difficile d'atteindre les 7% de croissance espérés – qui représenterait cependant la plus faible croissance depuis 25 ans. Bien-sûr, ces chiffres feraient rêver dans l'Hexagone. Pourtant, il faut garder en tête qu’une hausse du PIB autour des 7% est à peine satisfaisant pour absorber les 10 millions de Chinois qui arrivent chaque année sur le marché du travail.
Pour ceux qui sont abonnés à La Lettre PEA, j'avais dit dans mon éditorial de juin dernier que la tendance haussière alors en place en Chine n'était pas saine... Nous voilà avec cette débâcle qui va sans doute ruiner de nouveaux épargnants et mettre à mal les prévisions de croissance.
Les autorités chinoises ont alors pris le taureau (ou plutôt l’ours) par les cornes, en suspendant les cours de Bourse et en interdisant aux gros fonds institutionnels de vendre des titres pendant 6 mois.
On croit rêver ! Cela montre évidemment l’immaturité totale du marché en Chine, mais également à quel point la Bourse chinoise est encore loin, très loin d’être saine. Remarquez, nos Fed et BCE font cela à peine plus subtilement en soutenant les cours avec des perfusions massives.
Mais c'est évidemment reculer pour mieux exploser en vol après.
Alors en Chine, les investisseurs ont cru ue la Bourse était un jeu d’argent comme un autre. Mais ils n’ont aps compris que là, les dés étaient pipés. La commission chinoise de régulation des marchés financiers avait laissé s'installer une surabondance de titres sur le marché, avait laissé s'introduire n’importe quelle société en Bourse malgré des bilans contestables. Et le gouvernement chinois n'a jamais voulu prendre le risque d'avertir la population que les marchés boursiers étaient complètement decorrelée de l'économie réelle. (Philippe Béchade a bien évidemment une idée sur la raison de ce silence).
Nul ne sait où iront les marchés chinois dans les prochaines semaines mais espérons que les évènements actuels serviront de détonateur à plus de régulation, moins d'amateurisme.
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la bourse de Shanghai avait monté de 50% en quelques mois
elle a baissé de plus de 30% ces jours et retombe sur une situation normale
on est très loin d'un crash ,il faut que le marché chinois s'assainisse
elle a baissé de plus de 30% ces jours et retombe sur une situation normale
on est très loin d'un crash ,il faut que le marché chinois s'assainisse
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12 fois le PIB de la Grèce parti en fumée en quelques jours...
Notons "La Bourse de Shanghai s'est brièvement effondrée de plus de 8% mercredi 8 juillet, avant de modérer à grand peine ses pertes avant la fermeture, dans un climat de panique. Et ce malgré de nouvelles mesures d'urgence des autorités --dont la suspension des échanges sur plus de 40% des valeurs..."
Article "La Bourse de Shanghai est en pleine déconfiture (et même le gouvernement chinois n'y peut rien)"
http://www.huffingtonpost.fr/2015/07/08/bourse-shanghai-chine-krach_n_7750814.html
Notons "La Bourse de Shanghai s'est brièvement effondrée de plus de 8% mercredi 8 juillet, avant de modérer à grand peine ses pertes avant la fermeture, dans un climat de panique. Et ce malgré de nouvelles mesures d'urgence des autorités --dont la suspension des échanges sur plus de 40% des valeurs..."
Article "La Bourse de Shanghai est en pleine déconfiture (et même le gouvernement chinois n'y peut rien)"
http://www.huffingtonpost.fr/2015/07/08/bourse-shanghai-chine-krach_n_7750814.html
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tiens on en entend pas parler
écran de fumée entre eux et nous ?
écran de fumée entre eux et nous ?
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dormez tranquillement
tout va bien chez madame la marquise de la bourse hautatouprix
on risque de déplorer un petit problème
un trois fois rien
juste un problème
mais tout va bien
n'est-ce pas que les arbres vont au ciel
et que les racines sont dans la terre
tout va bien chez madame la marquise de la bourse hautatouprix
on risque de déplorer un petit problème
un trois fois rien
juste un problème
mais tout va bien
n'est-ce pas que les arbres vont au ciel
et que les racines sont dans la terre
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Et comme annoncé ça continue de plus belle... -5.77% de plus.
Après l'hyperspéculation, l'hyper lessivage : les derniers entrants sous l'effet moutonnier de la hausse verticale ont acheté n'importe quoi à n'importe quel prix. Il devait y avoir quelques nouveaux riches de moins... Attention donc à l'épidemie et la pandémie...parmi les investisseurs...
Notons "Shanghai a chuté de 5,77% ce vendredi (à 3.686) à l'issue d'une séance d'anthologie où le SSE a affiché -6% puis +0,3 puis de nouveau près de -6% (à 3.666) juste avant la clôture."
Les bourses asiatiques suivent de très près le dossier Grec et redoutent un krack mondial dont la Grèce serait le premier domino.
Article " Shanghai: un krach de -28% en 13 séances. "
http://www.abcbourse.com/marches/shanghai-un-krach-de-28-en-13-seances_331126_PX4p
Après l'hyperspéculation, l'hyper lessivage : les derniers entrants sous l'effet moutonnier de la hausse verticale ont acheté n'importe quoi à n'importe quel prix. Il devait y avoir quelques nouveaux riches de moins... Attention donc à l'épidemie et la pandémie...parmi les investisseurs...
Notons "Shanghai a chuté de 5,77% ce vendredi (à 3.686) à l'issue d'une séance d'anthologie où le SSE a affiché -6% puis +0,3 puis de nouveau près de -6% (à 3.666) juste avant la clôture."
Les bourses asiatiques suivent de très près le dossier Grec et redoutent un krack mondial dont la Grèce serait le premier domino.
Article " Shanghai: un krach de -28% en 13 séances. "
http://www.abcbourse.com/marches/shanghai-un-krach-de-28-en-13-seances_331126_PX4p
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Dans la foulée moins d un an les allemands. Prendront le même chemin. Patience
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La Chine : voyant économique au rouge...
Notons "Alors que la soutenabilité du modèle de croissance chinois soulève des interrogations, ce papier étudie l’impact potentiel d’un fort ralentissement de l’économie chinoise sur les autres pays, avec une attention particulière aux canaux des matières premières et du commerce. Après une énumération des différents arguments pointant vers un fort ralentissement – précédents historiques, surinvestissement, dynamique de la dette, et une potentielle bulle immobilière – nous nous concentrons sur un échantillon de 36 pays et utilisons un modèle global VAR adapté aux prévisions conditionnelles afin de simuler un fort ralentissement de l’économie chinoise.
Nous modélisons les métaux et le pétrole séparément pour tenir compte des différents facteurs les impactant, et nous identifions 3 canaux de transmission affectant les exportateurs de matière première : exports réels, effet revenu (via le prix des matières premières), investissement (une chute des prix réduisant les incitations à investir dans les secteurs minier et énergétique).
Nous analysons aussi le rôle d’amortisseur joué par le taux de change. D’après nos estimations, les pays émergents (Chine exclue) serait les plus fortement impactés avec une perte cumulée sur 5 ans d’environ 7,5 pourcent ; en particulier l’Asie du sud-est mais aussi les exportateurs de matière comme l’Amérique latine.
L’écart de croissance entre pays émergents et les avancés se réduirait considérablement, impliquant un recouplage partiel."
Article "Vers un recouplage ? Étude de l’impact mondial d’un fort ralentissement chinois au travers des canaux du commerce et des prix des matières premières. "
https://www.banque-france.fr/economie-et-statistiques/la-recherche/documents-de-travail/document/562-1.html
PDF (anglais) "Vers un recouplage ? Étude de l’impact mondial d’un fort ralentissement chinois au travers des canaux du commerce et des prix des matières premières.
https://www.banque-france.fr/uploads/tx_bdfdocumentstravail/DT-562.pdf
Notons "Alors que la soutenabilité du modèle de croissance chinois soulève des interrogations, ce papier étudie l’impact potentiel d’un fort ralentissement de l’économie chinoise sur les autres pays, avec une attention particulière aux canaux des matières premières et du commerce. Après une énumération des différents arguments pointant vers un fort ralentissement – précédents historiques, surinvestissement, dynamique de la dette, et une potentielle bulle immobilière – nous nous concentrons sur un échantillon de 36 pays et utilisons un modèle global VAR adapté aux prévisions conditionnelles afin de simuler un fort ralentissement de l’économie chinoise.
Nous modélisons les métaux et le pétrole séparément pour tenir compte des différents facteurs les impactant, et nous identifions 3 canaux de transmission affectant les exportateurs de matière première : exports réels, effet revenu (via le prix des matières premières), investissement (une chute des prix réduisant les incitations à investir dans les secteurs minier et énergétique).
Nous analysons aussi le rôle d’amortisseur joué par le taux de change. D’après nos estimations, les pays émergents (Chine exclue) serait les plus fortement impactés avec une perte cumulée sur 5 ans d’environ 7,5 pourcent ; en particulier l’Asie du sud-est mais aussi les exportateurs de matière comme l’Amérique latine.
L’écart de croissance entre pays émergents et les avancés se réduirait considérablement, impliquant un recouplage partiel."
Article "Vers un recouplage ? Étude de l’impact mondial d’un fort ralentissement chinois au travers des canaux du commerce et des prix des matières premières. "
https://www.banque-france.fr/economie-et-statistiques/la-recherche/documents-de-travail/document/562-1.html
PDF (anglais) "Vers un recouplage ? Étude de l’impact mondial d’un fort ralentissement chinois au travers des canaux du commerce et des prix des matières premières.
https://www.banque-france.fr/uploads/tx_bdfdocumentstravail/DT-562.pdf
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Un autre graphe fait avec ABCBourse...
Même constat... Mais les cotations finales divergent... Visiblement des retards d'acquisition de données...
Le China Shanghai Composite
https://www.abcbourse.com/graphes/eod?s=SSECOMp
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Même constat... Mais les cotations finales divergent... Visiblement des retards d'acquisition de données...
Le China Shanghai Composite
https://www.abcbourse.com/graphes/eod?s=SSECOMp
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La suite...
Article "SSE (Shanghai): comblement du 'gap' des 3.864Pts du 3 avril 2015"
http://www.abcbourse.com/marches/sse-shanghai-comblement-du-gap-des-3864pts-du-3-avril-_330945_PX4p
Article "SSE (Shanghai): comblement du 'gap' des 3.864Pts du 3 avril 2015"
http://www.abcbourse.com/marches/sse-shanghai-comblement-du-gap-des-3864pts-du-3-avril-_330945_PX4p
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