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CBA: FCC to decide this week
https://advanced-television.com/2020/02/03/cba-fcc-to-decide-this-week/
Des rapports indiquent que la Commission fédérale des communications (FCC) annoncera cette semaine sa décision et ses principales propositions quant à la manière dont elle gérera une vente aux enchères de fréquences satellitaires en bande C au-dessus des États-Unis.
Un rapport de Bloomberg News ajoute que le président de la FCC, Ajit Pai, a l'intention de faire circuler une proposition de bande C (très probablement le 6 ou le 7 février) et de demander un vote lors de sa réunion prévue le 28 février.
Bloomberg indique spécifiquement que la FCC cherche à limiter les paiements aux opérateurs de satellites à "moins de" 10 milliards de dollars, bien que le rapport ne précise pas si cette somme comprend uniquement l'incitation financière ou si elle inclut également les coûts de relocalisation et de filtrage au sol.
Dans une note aux investisseurs, la Deutsche Bank déclare : "Le sujet du paiement en bande C reste fluide, différentes sources suggérant que le paiement de la FCC pourrait aller de "quelques milliards de dollars à un chiffre" à 5 milliards de dollars. Nous calculons que la part implicite du SES serait de 2 à 3 euros par action sur le produit net révisé de la bande C ; en ajoutant à notre évaluation de base du SES de 11 euros, nous obtiendrions une évaluation de 13 à 14 euros par rapport à la clôture de 10,5 euros le 30 janvier.
Entre-temps, le 31 janvier, le géant américain de l'aérospatiale Boeing s'est prononcé fermement en faveur de l'analyse coûts/bénéfices et a exhorté la FCC à "faire preuve de prudence" dans ses relations avec les opérateurs de satellites. "[Ils] doivent être rémunérés de manière adéquate", déclare Boeing et ajoute que l'industrie américaine des satellites est impatiente de recevoir des commandes pour de nouveaux satellites qui fourniront des emplois supplémentaires aux entreprises américaines telles que Boeing.
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En complément de la news précédente :
SES : LES FRÉQUENCES EXPLOITÉES PAR SES SERONT VENDUES AUX ENCHÈRES POUR LA 5G AUX ETATS-UNIS
mardi 19 novembre 2019 à 12h59
SES dévisse en Bourse après une décision du régulateur américain des télécoms
Le président du régulateur américain des télécommunications (la "FCC") Ajit Pai s'est prononcé en faveur d'un appel d'offres public pour libérer les fréquences de la bande C destinées à la 5G. Les opérateurs de satellite -notamment SES et Intelsat- accusent le coup, eux qui privilégiaient une vente de gré à gré pour ces actifs qu'ils exploitent actuellement.
L'information a fait l'effet d'un coup de tonnerre, pour les opérateurs de communication par satellite qui exploitent actuellement des fréquences faisant partie du spectre de la bande C, destinée à la 5G. Le régulateur américain des télécoms, dit "Federal Communications Commission (ou FCC)", a annoncé, par la voix de son président Ajit Pai, qu'il était en faveur d'un appel d'offres public pour libérer des fréquences de cette bande. Réunis au sein d'un consortium baptisé "C-Band Alliance", les opérateurs (SES, Inmarsat et Intelsat) proposaient pour leur part de vendre les fréquences concernées aux opérateurs télécoms souhaitant les utiliser pour les communications mobiles de cinquième génération. Le géant américain du secteur Verizon s'était d'ailleurs dit intéressé par le rachat de certains de ces actifs. La C-Band Alliance (CBA) prévoyait ainsi de retirer plusieurs milliards de dollars de la libération d'une partie du spectre de fréquence de la bande.
Ajit Pai a donc brisé leurs projets en déclarant lundi, sur Twitter, que la FCC voulait libérer une partie importante des fréquences pour accélérer le développement des services mobiles 5G tout en récupérant des recettes pour le gouvernement fédéral américain. "Après de longues délibérations et un examen approfondi des nombreux dossiers, j'ai conclu que la meilleure façon de faire avancer ces principes est d'organiser une vente aux enchères publique", a-t-il ajouté, dans un communiqué publié sur le réseau social.
À la Bourse de New York, la sanction a été immédiate pour Intelsat, le titre du fournisseur de services de télécommunications par satellites basé aux Bermudes abandonnant 40,1% en clôture lundi. L'onde de choc s'est répercutée jusque sur le marché parisien, l'action SES cédant 20,5% à 11,7 euros peu avant 11h mardi, au plus bas depuis avril 2018.
La formule proposée par la CBA rétorquée
La réaction de la CBA ne s'est pas faite attendre. Dans une déclaration, les opérateurs membres de l'alliance ont ainsi déclaré que la décision de la FCC "représente une importante distanciation par rapport à la proposition de marché de la CBA". Cette dernière avait en effet déposé vendredi une proposition de contribution au Trésor américain auprès de la FCC, dans laquelle elle s’engageait à payer une partie des recettes nettes de sa vente aux enchères au Trésor américain, en utilisant une formule progressive dans une fourchette de 30 % à 75 % des recettes, en fonction du résultat des enchères. "Ce paiement au U.S. Treasury serait calculé après avoir pris en compte la déduction de tous les coûts encourus liés à la planification et la prise des mesures de mise en œuvre de la proposition de la CBA pour libérer 300 MHz du spectre" avaient précisé les opérateurs de satellites.
Par ailleurs, pour s'assurer que tous les Américains bénéficieront des avantages de la 5G, la CBA avait indiqué avoir initié des discussions avec les membres du Congrès "pour élaborer une proposition destinée à financer le déploiement d'un réseau 5G d'accès ouvert large bande en zone rurale, pouvant inclure une combinaison d'apport en capital et de contribution au spectre".
Pour les membres de la CBA, l'annonce de la FCC "ne mentionne pas l'engagement crucial des opérateurs satellite titulaires dans l'exécution de la tâche complexe de reconfiguration et de transition de leurs réseaux", principale mission du consortium. "L'annonce ne mentionne pas plus la modification fondamentale des droits conférés par les licences FCC existantes détenues par les membres de la CBA, qui seraient requises dans le cadre d'une enchère publique" relèvent-ils.
Un spectre de fréquences récupéré par les autorités
"Pour assurer les intérêts de sécurité nationale des États-Unis, le leadership américain en matière d'innovation de 5G et la croissance associée du PIB et de l'emploi, la pleine coopération des opérateurs de satellite sera requise pour garantir la libération de la bande C, tout en protégeant les services de diffusion titulaires qui font la joie de millions de foyers américains", pointe la CBA.
"Nous continuerons de travailler en coopération avec la FCC pour développer un plan alternatif et obtenir les meilleurs résultats pour le public américain, tout en protégeant les intérêts de nos utilisateurs et les droits de nos entreprises" conclut la CBA.
Pour rappel, les opérateurs étaient opposés au principe d'une enchère publique pour plusieurs raisons. Premièrement, ce système pourrait selon eux accroître les délais pour la monétisation de ces actifs. Ils considèrent par ailleurs que cela oblige la FCC à confisquer le spectre de fréquences qu'ils exploitent actuellement sans en être propriétaires. L'incertitude juridique autour de cette enchère publique est telle que les opérateurs estiment que la FCC risque de ne pas organiser la vente avant la mi-2021 au plus tôt.
De son côté, l'opérateur français Eutelsat, qui ne fait pas partie de cette alliance, "se réjouit de s'engager dans un dialogue qu'il espère fructueux et constructif avec la FCC pour définir une approche équitable et efficiente visant à faciliter une mise en oeuvre rapide de l'enchère et de la réaffectation des fréquences", a affirmé le groupe. Le titre Eutelsat Communications cède néanmoins 0,8%
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Voilà pourquoi c'est monté hier !
Le président de la FCC prononcera un discours à la Fondation pour l'innovation et les technologies de l'information.
Michael Balderston 3 février 2020
https://www.tvtechnology.com/news/pai-to-unveil-c-band-auction-plan-feb-6
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WASHINGTON - L'avenir du spectre de la bande C commencera à se dessiner le jeudi 6 février, alors que le président de la FCC, Ajit Pai, doit annoncer ses plans pour la vente aux enchères de la bande C, qui vise à créer un espace pour le développement de la 5G.
bande c-satellites-2
M. Pai doit prononcer un discours le 6 février à la Fondation pour l'innovation et les technologies de l'information qui annoncera ses plans pour faire avancer le spectre de la bande C. Le 6 février sera le même jour où il partagera ces plans avec les commissaires de la FCC pour leur examen, selon la publication sœur de la TVT, Multichannel News.
On s'attend à ce que les plans de Pai consistent en une vente publique aux enchères de 280 MHz sur les 500 MHz qui constituent la bande C pour une utilisation future de la 5G, ainsi que 20 MHz pour une bande de garde. Toutefois, on ne sait pas encore quelle part du produit de la vente aux enchères ira aux opérateurs de satellites qui devront passer à un spectre plus petit, ainsi qu'aux opérateurs de câble et de radiodiffusion qui seraient touchés par ces changements.
Le discours de M. Pai aura lieu à partir de midi (heure de l'Est) le 6 février. Il sera disponible pour la diffusion en direct (livestream).
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Bill17
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Faites gaffe !
"One web Projet audacieux, risqué et couteux"...
Tout est là:
Bonne lecture
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**: Ceci n'est pas une incitation à acheter ou vendre...etc..etc
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Article : "La course à l'Internet de l'espace démarre cette nuit à Baïkonour"
Ce jeudi soir, la fusée Soyouz part mettre en orbite un premier lot de 34 satellites de la constellation OneWeb. Sauf pépin, une vingtaine de vols vont se déployer sur moins de deux ans pour une « révolution » spatiale....
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WaHou !!!!
Bien vu !!!
merci !
Message complété le 06/02/2020 17:34:06 par son auteur.
13,46€ et + 9,61%
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Bonjour a tous
vous avez vu des ordres de folies !
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Latéralisation pour passer la zone de barrage avant potentiel balancier haussier sur 15,92 euros.
Un nouveau graphe s'impose pour suivre SES . Décidément, c'est un abonnement aux retournement de situations.
Par rapport à mon précédent graphe, j'ai détecté un triple creux haussier en retournement : ce qui fait que l'on remonte vite.
Mais ce matin, on vient de se casser la tête sur l'ex-support en pointillés verts. Normal, on arrive dans une zone très compliqué que l'on va repasser potentiellement en latérale. A ce niveau, il faut que l'on passe la zone de barrage :
• L'ex support en pointillé vert
• La médiane baissière de fourchette
• Le support de mouvement baissier en gros pointillés rouge
• L'oblique baissière en rouge gras du dernier mouvement de baisse.
On peut pas tout repasser à la fois, on va donc latéraliser pour se décaler à droite où c'est plus favorable (ma flèche orange)
Comme la baisse est un vrai emmental de Gaps baissiers, on va avoir du travail pour reboucher tout ça à hausse. je penche donc pour un balancier haussier une fois la zone de barrage passée : cela nous conduirait en sortie de fourchette baissière vers 15,92 et juste sous le GAP baissier pour retourner vers 16,60 euros.
Pour attendre tout cela, on pourra aussi compter sur le dividende en avril qui devrait être maintenu...
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SES retourne sur 11,00 euros !
Ce matin encore, c'est haussier : 11,89 € et + 4,67%
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SES équipe la compagnie maritime Princess Cruises
03/02/2020 | 17:07
Princess Cruises va devenir la première flotte mondiale de navires de croisière à accéder rapidement au réseau de communications à haut débit et à faible latence de la constellation nouvelle génération O3b mPOWER de SES.
Princess Cruises est une marque phare du groupe Carnival Corporation & plc spécialisée dans les croisières.
SES permet une connectivité mondiale et haute performance à Princess Cruises à l'aide de son réseau orbite terrestre moyenne (MEO) et géostationnaire (GEO).
En conséquence, le princesse MedallionClass sera le premier navire de croisière à accéder au satellite O3b mPOWER révolutionnaire de SES système.
Le communiqué complet
Notons que : "Throughout 2020, Princess Cruises will host a series of events leveraging MedallionNet powered by SES to demonstrate that guests no longer need to worry about slow internet speeds and unreasonable connectivity costs. Planned events include:
• February 11, a record-breaking Vow Renewal onboard the Regal Princess, Royal Princess and Crown Princess will be shared with loved ones around the world during a massive pre-Valentine's Day ceremony.
• March 29, Grand Princess will become the first Princess MedallionClass Ship sailing exclusive Hawaii itineraries.
• June 15, Enchanted Princess will join the MedallionClass fleet.
• August 16, Emerald Princess will become the first to transform into a MedallionClass ship while sailing Alaskan itineraries.
• October 20, Coral Princess launch event from Los Angeles.
• December 20, Island Princess transforms into a MedallionClass ship and will be the first fully connected cruise ship to sail in the Middle East in early 2021.
"The future is now with real solutions and proven technology delivering real experiences to floating smart cities around the globe powering a coveted experience. SES integration into the Global Experience and Innovation team not only provides world-leading connectivity technology and fueling OceanMedallion capabilities, but most importantly provides expertise that is passionate about creating amazing experiences through the fusion of creativity, story, connectivity and media across the world," said John Padgett, chief experience and innovation officer for Carnival Corporation. "Our first joint creation, MedallionNet, has significantly elevated the cruise experience for our guests and crew, but more importantly stimulated the creation of leading-edge, cloud-based edge compute models that were previously considered impossible."
"The relentless focus of the Princess Cruises and Carnival Corporation's Global Experience and Innovation teams to create personalized, simplified and connected guest experiences inspired us to push the boundaries of the connectivity norm at sea, and set a higher benchmark for connected guest experiences," said JP Hemingway, CEO of SES Networks, the data-centric business unit of SES. "With MedallionNet, we helped deliver a new and holistic model that sets an entirely new standard for cruise ship connectivity around the world. By extending and expanding our Premier Innovation Partner relationship, we are leveraging our unprecedented position in multi-constellation satellite networks and consistently focusing on delivering high performance and pushing the envelope of what's possible."
Carnival Corporation's proprietary Ocean Guest Experience Platform is powered by the OceanMedallion and enabled by SES. The MedallionClass experience utilizing the OceanMedallion and the Ocean Guest Experience Platform is exclusive to Princess Cruises and being leveraged to enhance guest-crew interactions and deliver a high level of service personalization on an unprecedented scale.
The Medallion enables keyless stateroom entry, hassle-free payment, turn-by-turn shipboard wayfinding, shipmate locator and personalized itineraries; speeds up embarkation; facilitates on-demand services like ordering food, drinks and merchandise; powers anywhere wagering; and more. MedallionClass vacations currently are available for all guests sailing on six Princess Cruises Ships – Caribbean Princess, Crown Princess, Regal Princess, Royal Princess, Ruby Princess, and Sky Princess.
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SES : des opérateurs satellitaires en orbite basse
30/01/2020
Jadis havre de paix durant les périodes compliquées pour les indices boursiers, le secteur des opérateurs satellitaires est en grandes difficultés en bourse depuis plusieurs années. Sur 10 ans, SES, Eutelsat et Intelsat affichent des parcours très négatifs (hors dividendes), pendant que le STOXX Europe 600 gagne près de 70%.
Sur les dernières séances, les titres ont à nouveau piqué du nez à cause du débat en cours aux Etats-Unis sur le dédommagement dont bénéficieraient les opérateurs satellitaires s'ils libéraient une partie de la bande C au profit des communications 5G.
Sur 10 ans, les opérateurs satellitaires sont en berne
Les autorités américaines avaient déjà douché les espoirs d'Eutelsat, SES et autre Inmarsat l'année dernière, en optant pour un système d'enchères publiques à la place de négociations directes, et probablement débridées, entre opérateurs satellitaires et télécoms. Les derniers débats de janvier laissent penser de surcroît que les montants en jeu représenteront des milliards de dollars, mais pas des dizaines de milliards de dollars comme l'espéraient les propriétaires de satellites.
Résultat, après avoir déjà perdu 8,3% hier, SES sombre de 11% aujourd'hui à 10,41 EUR, portant sa baisse sur un an à plus de 30%. Eutelsat recule de 2,8% après 1% de baisse la veille.
Le secteur dans son ensemble est en souffrance.
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Des nouvelles de mon Switch d'investissement 30 Safran contre 419 SES
C'est comme si j'avais pris 10,78 euros par actions Safran (+ 323.57 euros)...
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du coup, je me suis lâché un peu ce soir avant la clôture ...
J'ai vendu 30 safran en plus value d'environ 1180% à 147,55 € (PRU = 11,71 euros) pour acheter 419 SES à 10,455 euros.
ça fait pas cher l'investissement, on verra bien et ça complétera les 6 qui me restaient...
Message complété le 30/01/2020 20:56:26 par son auteur.
Si ça baisse encore un peu. je tacherais de compléter à la baisse....
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Le point sur le secteur des satellites basses orbite à la ramasse depuis 2019...
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Lâché de couteau baissier
Retour en terrain connu ! et maintenant en terre inconnu : les 10,80 ont lâché cet après midi...
On vient de se poser sur la dent de fourchette intermédiaire en pointillés marron vers 10,50 : on tente une stabilisation.
Compte tenu de l'hémorragie baissière, on ne va pas trop le titre pourvoir remonter bien haut. Les news financières qui viendront pour l'instant ne sont d-pas nature à donner de la visibilité comptable et c'est bien cela qui est durement et lourdement sanctionné.
L'hémorragie baissière sur le RSI divergente du MACD dénote une franche spéculation baissière. On devrait voir des positions baissières en VAD s'afficher à la hausse cette fin de semaine.
On notera donc sur ce graphe le support de 2009 en gros pointillés rouges vers 10,20. Et s'il vient à passer tout droit, c'est direction 8,50 euros.
Coté indicateur, c'est la panade totale avec un RSI qui prend l'eau totale alors que le MACD était haussier et ne comprend manifestement pas ce qui arrive. On voit nettement en gros traits rouges la zone d'en,ferment baissier qui est active et qui pointe vers 8 euros.
La MM 20 rouge en reprise haussière ne devrait pas réussir à passer sur la MM 60 orange baissière alors que c'était le programme récent ... Echec baissier donc ...
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Retour en terrain connu ! C'est la baisse, et ça devrait faire mal... Lâcher de couteau baissier en cours.
En cause des gros doutes sur la pérennisation du chiffre d'affaire annuel et donc de la rentabilité.
Mon dernier graphe de 2018 a bien vécu ! on voit le dernier point à gauche sur le passage de l'oblique baissière et on anticipait une belle reprise haussière. tout cela a vécu...
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Financial Calendar de SES S.A.
• 26 February 2020 : 2019 Full Year Results Announcement
• 2 April 2020 : 2020 Annual General Meeting
• 7 May 2020 : 2020 Q1 Results Announcement
• 7 August 2020 : 2020 H1 Results Announcement
• 5 November 2020 : 2020 Q3 Results Announcement
https://www.ses.com/investors/financial-calendar
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Financial Calendar de SES S.A.
• 2018 Full Year Results Announcement : 27 February 2019
• 2019 Annual General Meeting : 4 April 2019
• 2019 Q1 Results Announcement : 26 April 2019
• 2019 H1 Results Announcement : 26 July 2019
• 2019 Q3 Results Announcement : 25 October 2019
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SES : Baisse du CA trimestriel T1 / 2018 à -11,7 %.
C'est pire que je l'avais annoncé : on retombe en terme de CA Trimestriel sur le 1er semestre 2015 à -11,7 %.
La perte de CA de -4,9 % est aggravé par des taux de change défavorable avec la hausse de l'euro. En volume CA, on perd 70 Md'euros. Le titre se redresse en bourse sur un GAP haussier, mais la bougie du jour montre que l'on peine à convaincre. On devrait rabaisser rapidement : la hausse a peut d'arguments pour tenir d'auant que l'on annonce "La marge consolidée inclut 10 à 12 millions d’euros de charge de restructuration attendue au premier semestre 2018."
Cette charge aura un impact négatif sur la marge semestrielle d'EBITA. Ajoutons encore que les prévisions sont données avec un dollar à 1,15 alors que l'on est à 1,22. Si l'on reste à ce niveau de change prochainement, SES devrait continuer de décevoir, même si une grand partie de la baisse est déjà intégrée.
Dernier point que je constate : au niveau actuel de bénéfice trimestriel, on se situe sur le niveau de dividende distribué dernièrement.
Communiqué de presse
https://www.businesswire.com/news/home/20180426007080/fr/
Faits marquants financiers
Le chiffre d’affaires publié ressort à 477,6 millions d’euros (T1 2017 : 540,6 millions d’euros), en baisse de 4,9 % à taux de change constants(1)
Le chiffre d’affaires récurrent(2) de 474.5 millions d’euros est stable en glissement annuel à taux de change constants (SES Vidéo s’inscrit en repli de 3,6 % et SES Networks en progression de 8,5 %)
La marge d’EBITDA s’élève à 63,7 % (T1 2017 : 66,2 %) ; et à 64,8% en excluant 5,0 millions d’euros de provisions liés à la restructuration en cours (T1 2017 : zéro)
Le résultat net s’établit à 98,2 millions d’euros (T1 2017 : 128,4 millions d’euros)
Les prévisions financières restent inchangées, toute mise à jour sera communiquée avec les résultats du premier semestre 2018, après la revue interne conduite par le nouveau directeur général et le nouveau directeur financier.
Steve Collar, Président et Directeur général, déclare : « Nous avons réalisé un solide début d’année 2018 pour le Groupe, avec des résultats trimestriels conformes à nos attentes. Je me réjouis particulièrement de voir se matérialiser, comme anticipé, la croissance du chiffre d’affaires récurrent de la division SES Networks, et ce, grâce à la robuste performance des segments de mobilité aéronautiques et gouvernementaux. SES fournit à plus de 351 millions de foyers leurs contenus vidéo. Aussi le nombre de chaînes distribuées par SES a augmenté de plus de 150 en un an pour quasiment atteindre 7800 chaînes».
« Nous continuons de nous concentrer sur l’exécution, comme démontré par les succès des trois derniers lancements réalisés dans le trimestre et par l’entrée en service de SES-15 en début de T1. Ce satellite est déjà devenu un élément majeur pour le marché aéronautique d’Amérique du Nord, avec notamment le transfert de plus de deux cents appareils vers ce satellite dans les deux semaines suivant sa mise en service ; et également avec l’augmentation substantielle de capacités souscrites par Global Eagle Entertainment pour pouvoir servir ses clients aéronautiques. SES-16/GovSat-1 a atteint sa position et a commencé à servir ses clients gouvernements à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. Lorsqu’il entrera en service plus tard dans l’année, SES-14 va permettre de continuer l’extension de nos capacités aéronautiques dans les Amériques. Vers la fin du second trimestre, les quatre satellites O3b récemment lancés, vont pouvoir fournir la capacité additionnelle fortement attendue pour notre réseau à faible latence. »
« Nous avons signé d’importants contrats durant le trimestre, avec notamment des renouvellements long-terme sur nos voisinages vidéo clés sécurisés à un niveau de prix stable. Nous avons également sécurisé d’importants engagements clients à travers toutes les verticales de Networks avec notamment l’Afrique (CETel) dans les services de données fixes et l’Asie (mu Space) ; dans les services mobilités : l’aéronautique (STECCOM) et le maritime (Carnival) ; et enfin dans les services gouvernementaux pour lesquels nous avons signé de multiples accords avec le Gouvernement Américain pour la fourniture de services par notre flotte géostationnaire (GEO) et en orbite moyenne (MEO), tout en étendant nos engagements pour servir les opérations humanitaires et de maintien de la paix. »
Faits marquants opérationnels
Le chiffre d’affaires consolidé s’élève à 477,6 millions d’euros (T1 2017 : 540,6 millions d’euros) et l’EBITDA à 304,4 millions d’euros (T1 2017 : 357,6 millions d’euros) sont en ligne avec les attentes de la compagnie. Le chiffre d’affaires récurrent (en excluant les recettes périodiques et des ‘Autres’ revenus) s’élève à 474,5 millions d’euros, ce qui constitue une évolution stable par rapport au premier trimestre 2017 à taux de change constants.
Le chiffre d’affaires récurrent de SES Vidéo ressort à 321,5 millions d’euros, en baisse de 12,2 millions d’euros (ou de 3,6 %) par rapport au premier trimestre 2017, à taux de change constants, dont 9,2 millions d’euros sous l’effet conjugué de l’introduction de la norme IFRS 15 sur la comptabilisation des produits et de l’état de santé de la flotte. Les facteurs temporaires une fois retraité, le chiffre d’affaires récurrent s’inscrit en retrait de 0,9 % par rapport au premier trimestre 2017.
Le chiffre d’affaires récurrent de SES Networks s’établit à 153,0 millions d’euros, en progression de 12,0 millions d’euros (ou de 8,5 %) par rapport au premier trimestre 2017, à taux de change constants. Cette progression s’explique par une solide contribution des services de mobilité (+30,4 %) et des services aux administrations publiques (+13,0 %), tandis que la baisse du chiffre d’affaires des services de données fixes (-6,0 %) a été pénalisée par l’état de santé des satellites au second semestre 2017.
Le premier trimestre 2018 comprend 3,1 millions d’euros de recettes périodiques (entièrement réalisées par SES Vidéo) et d’’Autres’ revenus, contre 27,7 millions d’euros au premier trimestre 2017 à taux de change constants (lequel incluait une importante contribution provenant de la vente de capacité à Global Eagle Entertainment).
La marge d’EBITDA, qui s’élève à 63,7 % (T1 2017 : 66,2 %), inclut les dotations aux provisions de restructuration pour un montant de 5,0 millions d’euros, liées à l’actuel programme d’optimisation de SES. Excluant cet élément, la marge d’EBITDA s’établit à 64,8 %. Une nouvelle dotation aux provisions de 5-7 millions d’euros devrait être passée au deuxième trimestre 2018, portant le montant total à 10-12 millions d’euros.
Le résultat net part du Groupe s’élève à 98,2 millions d’euros (T1 2017 : 128,4 millions d’euros) et comprend une contribution fiscale positive exceptionnelle, liée à la comptabilisation d’un actif d’impôt différé, suite à l’entrée en service de SES-16/GovSat-1.
Le ratio d’endettement net sur EBITDA du Groupe (selon la méthodologie des agences de notation) s’établit à 3,41 fois (T1 2017 : 3,05 fois). Le ratio a augmenté par rapport au quatrième trimestre 2017 (3,27 fois) sous l’effet conjugué de la diminution de l’EBITDA glissant sur douze mois, due à la baisse du chiffre d’affaires (taux de change, recettes périodiques et Autres revenus), de la norme IFRS 15 sur la comptabilisation des produits et des provisions de restructuration ainsi qu’une proportion plus importante dans le trimestre des dépenses d’investissements et des charges d’intérêts. Le ratio d’endettement net sur EBITDA devrait être inférieur à 3,3 fois à la clôture de l’exercice 2018.
En mars 2018, SES a lancé avec succès une émission d’euro-obligations pour un montant de 500 millions d’euros, d’une durée de huit ans à un faible taux d’intérêt annuel de 1,625 %. Ce financement va permettre à SES de refinancer, à des conditions plus favorables, la dette arrivant à échéance.
Au 31 mars 2018, le carnet de commandes de SES s’élevait à 7,2 milliards d’euros (T1 2017 : 7,2 milliards d’euros à taux de change constants). Plus de 85 % du chiffre d’affaires attendu du Groupe pour 2018 est déjà sécurisé.
Les prévisions financières restent inchangées, toute mise à jour sera communiquée avec les résultats du premier semestre 2018, après la revue interne conduite par le nouveau directeur général et le nouveau directeur financier.
Reste du communiqué détaillé par secteur d'activité et prévisions 2018 /2020
https://www.businesswire.com/news/home/20180426007080/fr/
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