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Retraites: Berger (CFDT) ne veut pas d'une réforme "financière" - Page 2

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CRI74 CRI74
02/09/2019 13:56:16
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Je rappelle aux gens qui seraient incapables de raisonner autrement qu'au travers d'éléments travestis par le seul aspect financier , que les retraites en France sont basées sur le principe de la répartition , à savoir la cotisation des actifs pour payer les retraités et que cela ne doit en aucun cas changer , quels que soient les états d'âmes

Les retraités d'aujourd'hui , qui ignoraient les 35h au passage , ont très largement cotisé pour ne pas voir leurs revenus atteints par des gestions approximatives voire spéculatives des fonds durement acquis

  
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Luncyan Luncyan
02/09/2019 13:15:53
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Pension minimum à 100% du smic MORT DE RIRE

Donc on gagne autant a etre vieux et rien faire qu’en se levant le matin pour porter des cartons à 5h du matin en roulant 1h pour se rendre au travail.


Je parle de vécu c’est ce que j’ai fais durant 4 mois et certains font ça toute la vie.

  
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JCROIPLU JCROIPLU
02/09/2019 13:12:40
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Dans son programme il y avait la suppression de 150.000 fonctionnaires aussi...
  
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JCROIPLU JCROIPLU
02/09/2019 13:12:40
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Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, le 10 décembre 2018 à l'Elysée (AFP/Archives/ludovic MARIN)

Une réforme des retraites guidée par l'aspect "financier" et qui prévoirait un allongement de la durée de cotisation ne serait pas acceptable pour la CFDT, a prévenu son secrétaire général Laurent Berger lundi sur France Inter.

Emmanuel Macron avait tendu la main la semaine dernière à la CFDT en affichant sa préférence pour la prise en compte de la durée de cotisation plutôt qu'un taux plein à un "âge pivot" de 64 ans unanimement rejeté, y compris par le premier syndicat français.

"Ce n'est pas un geste à notre égard, c'est une parole, ça reste une parole", a commenté sur France Inter Laurent Berger, relevant que le chef de l'Etat avait été depuis "un peu contredit par la porte-parole du gouvernement". Sibeth Ndiaye avait en effet souligné que l'idée d'âge pivot n'était pas "enterrée".

Comme on lui demandait si l'allongement de la cotisation était acceptable en cas de renoncement à cet âge d'équilibre, Laurent Berger a répondu: "non".

"La CFDT est claire, il n'y a pas besoin d'élément de réforme financier", a-t-il ajouté, rappelant que la réforme Touraine de 2013 prévoyait un passage à "43 ans de cotisation" en 2035.

"Il faut s'en tenir à cela, il n'y a pas besoin d'aller au-delà", a estimé le numéro un de la CFDT, qui s'est dit également "inquiet" du message que "le gouvernement commence à distiller" en "disant +il faudra l'équilibre en 2025+".

Laurent Berger a redit son soutien à un système de retraites par points. Mais avec "des conditions", a-t-il rappelé, citant les avancées attendues sur la pénibilité, les carrières longues, la retraite progressive, une pension minimum à "100% du Smic", les "discriminations dont sont victimes les femmes"...

"Je m'en tiens juste à ce qui a été dit par le président de la République dans son programme : une réforme systémique des retraites qualitative, qui ne se veut pas financière", a-t-il martelé.

Dans un rapport mi-juillet, le haut-commissaire Jean-Paul Delevoye préconisait la mise en place, à partir de 2025, d'un "système universel" fusionnant les 42 régimes existants. Il recommandait de fixer un "taux plein" à l'âge "pivot" de 64 ans assorti d'un système de décote/surcote.

Edouard Philippe lancera jeudi et vendredi une nouvelle phase de concertation sur la base du rapport Delevoye en recevant syndicats et patronat. Un processus de "concertation citoyenne" doit ensuite être engagé.

© 2019 AFP

  
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