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Brexit : Boris Johnson en quête d'un accord avec l'UE après des désave - Page 2

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gars d'ain gars d'ain
10/09/2019 16:29:41
2

Pour ceux qui l'on oublié, ça reste plus jamais d'actualité et L'Irlande pourrait bien de même...


L’Écosse votera à nouveau pour son indépendance après le Brexit

Par Auteur valeursactuelles.com / Mercredi 20 février 2019 à 20:09

https://www.valeursactuelles.com/monde/lecosse-votera-nouveau-pour-son-independance-apres-le-brexit-104129

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Selon la Première ministre écossaise Nicola Sturgeon, l’Écosse deviendra un pays indépendant après la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, à laquelle les Écossais sont majoritairement opposés.

L’Écosse lors d’un référendum d’autodétermination avait dit « non » à l’indépendance en 2014. Un vote qui a précédé l’élection de Nicola Sturgeon, la Première ministre actuelle. En visite à Paris lundi et mardi, elle dénonce la stratégie « profondément biaisée » de la Première ministre britannique Theresa May pour mettre en œuvre le Brexit, estimant qu’elle conduira à une sortie sans accord « si rien ne change », explique-t-elle dans le Monde.


« Le Brexit n’est pas une bonne idée »


La présence à Paris de Nicola Sturgeon se place dans le cadre de préparations en cas de sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, contre laquelle une majorité d’Écossais ont voté lors du référendum de juin 2016. La Première ministre plaide pour un report du Brexit qui laisserait le temps d’organiser un nouveau référendum ou de négocier « une relation beaucoup plus proche de l’UE en cas de sortie ». « Le Brexit n’est pas une bonne idée. Et la façon dont les négociations se sont déroulées, avec cette mauvaise approche, a rendu son issue encore pire », estime la dirigeante écossaise.


« Theresa May a vu son accord rejeté et, au lieu de changer son approche, elle a décidé de jouer la montre, dans l’espoir que les gens paniquent à mesure qu’augmente la probabilité d’un “no deal”. C’est une stratégie à haut risque qui n’a aucune garantie de succès » , déplore Nicola Sturgeon. L’Écosse ne pourrait pas se satisfaire d’une situation qu’elle n’a pas souhaitée et qui la pénaliserait sur le plan économique, prévient la dirigeante nationaliste. « Il y aura un autre référendum d’indépendance. La question est de savoir quand », assure-t-elle. « Je crois que l’Écosse deviendra un pays indépendant (...) Avec le Brexit, contre lequel nous avons voté, nous payons le prix de notre absence d’indépendance. »

  
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Pedru Pedru
10/09/2019 16:22:07
1

Peut-être jipes, mais sans vouloir te vexer il me semble que tu prends souvent tes désirs pour des réalités

Mais ne t’inquiète pas, MOI, je peux me tromper


  
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papygaga papygaga
10/09/2019 16:21:14
0
le goudron et les plumes !
le goudron et les plumes !
  
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jipes jipes
10/09/2019 16:01:43
1

On ira plutôt vers l'effondrement du parti socialiste en Grande-Bretagne.

  
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Antoine Antoine
10/09/2019 15:23:58
1

Et de prendre son indépendance vis a vis de la G B

  
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gars d'ain gars d'ain
10/09/2019 15:09:35
0

On pourrait aller jusqu'à l'éclatement du royaume Uni, l'Ecosse a plus beaucoup envie de faire des effort pour rester...

  
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robespaul robespaul
10/09/2019 15:01:25
0
un joli merdier ...
  
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robespaul robespaul
10/09/2019 15:01:25
0

Le Premier ministre britannique Boris Johnson sur une image tirée d'une vidéo fournie par le Parlement, le 9 septembre 2019 à Londres (PRU/AFP/-)

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a affirmé mardi vouloir se démener pour trouver un nouveau compromis en vue du divorce avec l'Union européenne, après une série de cinglants désaveux à la Chambre des Communes qui contrarient sa stratégie d'un Brexit coûte que coûte.

Le dirigeant conservateur a déclaré qu'il allait "s'évertuer à obtenir un accord" d'ici à un sommet européen les 17 et 18 octobre à Bruxelles, juste après que les députés lui ont refusé tôt mardi l'organisation d'élections législatives anticipées.

Boris Johnson a réuni son conseil des ministres dans la matinée pour décider de la marche à suivre après une semaine éprouvante au Parlement, où il a essuyé camouflet sur camouflet et perdu la majorité absolue à la suite de défections et d'expulsions de députés rebelles de son Parti conservateur.

Il devait également rencontrer mardi Arlene Foster, la cheffe du parti unioniste nord-irlandais DUP allié au gouvernement, sur fond de rumeurs sur un possible assouplissement de la position britannique concernant le sort de la frontière irlandaise.

Londres et Bruxelles ne parviennent pas à s'entendre sur la manière de maintenir ouverte cette démarcation après le Brexit. Boris Johnson souhaite supprimer de l'accord de retrait négocié par celle qu'il a remplacée, Theresa May, une disposition qui empêcherait selon lui le Royaume-Uni de suivre une politique commerciale indépendante.

Mais pour l'Union européenne, faute de solution alternative crédible, il n'est pas question de revenir sur cette mesure, appelée "filet de sécurité" (ou "backstop" en anglais).


Les dates clés du Brexit en 2019 (AFP/Gal ROMA)

Cette clause prévoit que le Royaume-Uni tout entier reste dans un "territoire douanier unique" avec l'UE si une meilleure solution n'est pas trouvée à l'issue d'une période transitoire. Elle vise à empêcher un retour à une frontière physique entre l'Irlande du Nord, une province britannique, et la République d'Irlande, un Etat membre de l'Union européenne.

"Des divergences significatives demeurent", avaient constaté Boris Johnson et son homologue irlandais Leo Varadkar à l'issue d'une rencontre à Dublin.

Arlene Foster, qui refuse tout statut particulier pour l'Irlande du Nord, a quant à elle prévenu sur la chaîne de télévision Sky News que la province britannique ne devait pas être sacrifiée dans les discussions, car cela entraînerait "la rupture" du Royaume-Uni.

- "Pas de nouveau report" -

La séance de lundi à la Chambre des Communes, dont le président John Bercow a annoncé sa démission, était la dernière avant la suspension très controversée du Parlement pendant cinq semaines décidée par Boris Johnson, jusqu'au 14 octobre, deux semaines seulement avant le Brexit.


Les Premiers ministres irlandais Leo Varadkar et britannique Boris Johnson se rencontrent à Dublin le 9 septembre 2019 (AFP/Lorraine O'SULLIVAN)

Le cérémonial codifié marquant cette suspension s'est déroulé dans une ambiance électrique, au milieu des chants et des protestations acrimonieuses de l'opposition, dont des membres ont brandi des affichettes "Réduits au silence" et crié "Honte à vous !" en direction de leurs collègues tories.

Avant cela, les députés avaient mis en échec pour la deuxième fois en cinq jours la proposition de Boris Johnson d'appeler les électeurs aux urnes le 15 octobre.

Préalablement à tout scrutin, l'opposition veut s'assurer que la perspective d'un "no deal" et le chaos économique qu'il fait craindre sont écartés et que le Brexit sera repoussé de trois mois si aucun accord n'est trouvé d'ici au 19 octobre, comme le Parlement l'a voté la semaine dernière.

Envers et contre tout, Boris Johnson a martelé qu'il ne demanderait "pas de nouveau report", initialement prévu pour le 29 mars et déjà repoussé deux fois. Recours en justice, démission ou autre, il n'a pas expliqué comment il comptait s'y prendre.

"Le moment viendra où le peuple aura finalement l'occasion de rendre son verdict", a-t-il martelé.

Autre désaveu, la chambre basse a également voté lundi un texte contraignant le gouvernement à rendre publics des documents confidentiels sur l'impact d'un Brexit sans accord, qu'il est soupçonné d'avoir minimisé.

Tout nouvel ajournement devra encore être approuvé à l'unanimité des 27 autres Etats membres de l'Union européenne.

© 2019 AFP

  
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