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hmed83 hmed83
09/03/2020 08:49:00
1

bjr les amis, ouverture en berne, la conférence n'a pas eu l'effet escompté. à suivre

  
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Bill17 Bill17
09/03/2020 08:13:55
0

AB science très commentée ce matin....

  
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nolimit nolimit
08/03/2020 23:21:38
0

Minimum ! On attend aussi Novacyt et Eurobio-S … les biotech ont la cote ...

  
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hmed83 hmed83
08/03/2020 20:21:02
3

Bonsoir les amis, je vois à travers les postes qu’il y a quelques tensions, alors que l’objectif est de s’entraider. Je rejoins la pensée qui dit le marché a tjrs raison, et nous souhaitons partager son avis peu importe qu’elle il soit à tord ou à raison. Ce que je pense de la suite, et ceci n’engage que moi et je en suis responsable d’aucune décision prise sur la base de ce que j’écris sauf la mienne, c’est que la conférence va avoir des effets lundi matin mais autant désirée, car ce qui a été dit est positif mais il a été balayer par les deux nouvelles précédentes à savoir le stade 2B/3, et l’augmentation du capital. En fait si vous voulez ces éléments positifs apportés par la conférence étaient presque attendus, un investisseur ne va pas s’engager si les résultats ne sont pas encourageant. Pronostic je pense que demain nous allons dépassé les 9,40, mais faites bien attention au retournement.

  
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BARONTI BARONTI
07/03/2020 17:47:26
1

Pour conclure

Ma planète = la bourse

Ta planète = un projet scientifique

Sous sommes sur un ou des forums boursiers...

Trouver l erreur....??

  
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Jdarry Jdarry
07/03/2020 17:13:24
0

Et a quelle heure ce dernier mot ? Quelle fiabilité pour une AT basee sur une raison volatile ? Que vaut un dernier mot ne durant qu'un instant T ? Pas plus qu'un résultat de match avant le suivant

Message complété le 07/03/2020 17:15:44 par son auteur.

Je coupe ici la file. BARONTI a raison, pour se comprendre, il faut vivre sur la même planete

  
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BARONTI BARONTI
07/03/2020 17:09:32
0

@jdarry , jp , 13 vents etc..


La spécialité de Monsieur Je Sais Tout, c'est la prétention d'enseigner aux gens leurs propres affaires et avec un magnifique entêtement. Il ne manque pas de connaissances, mais il n'admet pas que les autres puissent avoir raison, même dans ce qu'ils savent le mieux. Et aucune objection n'arrive à son entendement. Cela est si ridicule que l'on s'échauffe parfois à la contestation. Le mieux est de se taire, puisqu'on ne peut se rejoindre.

  
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Bill17 Bill17
07/03/2020 16:34:20
0

Je partage le point de vue de BARONTI en précisant "le marché dicte sa loi !"

Par conséquent , qu'il ait raison ou tort peu importe , au final c'est lui qui a le dernier mot!

Je n'invente rien ? ce principe s'impose à tous, c'est le principe de réalité.

Message complété le 07/03/2020 16:34:56 par son auteur.

Je n'invente rien ? ce principe s'impose à tous, c'est le principe de réalité.

Message complété le 07/03/2020 16:35:35 par son auteur.

Je n'invente rien , ce principe s'impose à tous, c'est le principe de réalité.

ha , quand ça veux pas!

  
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Jdarry Jdarry
07/03/2020 16:22:53
0

Selon Baronti le marche a tjs raison, mm quand il affiche sur une mm valeur moins 6% le matin et plus 1,5 en milieu d'am...car dit il les bios, c'est volatil

Baronti vient d'inventer le concept de raison volatile....fort, le bonhomme

  
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Jdarry Jdarry
07/03/2020 16:14:39
2

Bien lire ci dessous Baronti.

"Ce nouveau médicament potentiel, au mode d’action unique, vient de passer avec succès les essais cliniques de phase 2B/3 – étape ultime avant l’autorisation de mise sur le marché "

  
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Jdarry Jdarry
07/03/2020 16:11:34
2

Ça degoise allègrement ailleurs....si Moussy marchait sur les eaux Baronti affirmerait que c'est parce ce qu'il ne sait pas nager....

  
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BARONTI BARONTI
07/03/2020 14:47:00
0

Ca racole sur les forums ab science..🤔🤔😂😂😂

  
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manutoit manutoit
07/03/2020 14:38:34
0

Les Carnets du Business


Sclérose en plaques : le masitinib, game changer pour les patients et pour le marché ?



Vendredi 6 Mars 2020



C’est une avancée scientifique majeure et un succès important pour AB Science : le masitinib, sa molécule phare, au mode d’action unique, vient de réussir les essais cliniques de phase 3 pour les formes progressives de la SEP, qui restent jusqu’ici quasiment orphelines de traitements.



Sclérose en plaques : le masitinib, game changer pour les patients et pour le marché ?

2,5 millions de personnes dans le monde, dont environ 500 000 en Europe et autant aux Etats-Unis, vivent avec la sclérose en plaques (SEP, ou MS pour multiple sclerosis en anglais). En France, la maladie affecte plus de 100 000 patients. Diagnostiquée généralement entre 20 et 40 ans et touchant trois fois plus les femmes que les hommes, c’est la deuxième cause de handicap chez les jeunes adultes après les accidents de la route. Cette pathologie neurodégénérative peut porter atteinte à toutes les fonctions du système nerveux central : sensibilité, vision, motricité, parole, mémoire... Maladie auto-immune, elle est causée par un dysfonctionnement du système immunitaire, qui se met à attaquer la myéline, la gaine protectrice des neurones, entraînant un blocage de la transmission de l’influx nerveux et une neurodégénérescence (1).

Dans 85 % des cas, la SEP évolue d’abord par poussées, suivies de périodes de rémission durant lesquelles les symptômes disparaissent ; on parle de forme « récurrente rémittente » (RRMS). Mais dans 15 % des cas, la maladie se caractérise par une aggravation constante des symptômes dès leur apparition, sans poussées ni rémissions ; elle est qualifiée de « progressive primaire » (PPMS). Le plus souvent, au bout de plusieurs années, les patients atteints de la forme récurrente rémittente basculent dans une forme « secondairement progressive » (SPMS), marquée par une augmentation continue de l’invalidité. Une SPMS qui peut elle-même prendre deux formes : « active » si elle suit le même cycle de poussées et de rémissions que la forme rémittente, ou « non active » (nSPMS) lorsqu’elle évolue de manière continue comme la SEP progressive primaire. Cette dernière forme affecte 30 à 35 % des personnes atteintes de SEP (2).


Un vrai besoin de traitements pour les formes progressives

La plupart des traitements disponibles contre la maladie visent à réduire l’agressivité du système immunitaire contre le système nerveux. Il s’agit d’immunomodulateurs, peu toxiques et d’efficacité modérée, prescrits en première intention, ou d’immunosuppresseurs, utilisés en cas d’échec des premiers, mais dont le niveau de toxicité est plus élevé (3). Pour la forme rémittente, il existe une dizaine de traitements disponibles, qui peuvent permettre aux malades, même s’ils sont handicapés, de limiter la perte de leur espérance de vie à sept ans en moyenne ; la forme secondairement progressive active de la maladie étant traité à peu près de la même manière. Mais il n’existe aujourd’hui qu’un nombre très restreint de médicaments disponibles pour les SEP progressive primaire et secondairement progressive non-active de la maladie (4).

Seul un produit est enregistré dans la première – l’ocrelizumab de Roche – et deux pour la seconde – l’ocrelizumab et le siponimod de Novartis. Preuve de l’importance du besoin médical, l’ocrelizumab a réalisé un chiffre d’affaires de 2,9 milliards de dollars en 2018 pour sa première année pleine de commercialisation et fait déjà partie des blockbusters de Roche (5). Agissant en inhibant l’activité du système immunitaire, ces deux médicaments présentent néanmoins une certaine toxicité qui limite leur utilisation pour une durée supérieure à trois ans. Ce qui pose problème pour traiter une maladie chronique comme la sclérose en plaques.

Pour toutes les formes de SEP sans rémission, les attentes sont donc très importantes et le marché énorme. En Europe, le nombre de patients à traiter atteindrait 90 000 pour la PPMS et 260 000 pour la nSPMS. Et aux Etats-Unis, les chiffres seraient respectivement de 55 000 et de 170 000 personnes. Avec une hypothèse de prix de 60 000 € par an, le potentiel total pour ces deux grands marchés atteindrait donc 35 milliards de dollars.


« Une avancée scientifique majeure »

Parmi les innovations les plus prometteuses pour pallier ce déficit de traitements, le masitinib, développé par la biotech française AB Science, figure en première ligne. Ce nouveau médicament potentiel, au mode d’action unique, vient de passer avec succès les essais cliniques de phase 2B/3 – étape ultime avant l’autorisation de mise sur le marché – dans les formes progressives de la sclérose en plaques (PPMS et nSPMS), comme l’a annoncé AB Science, le 20 février dernier. Dans cette étude, menée auprès de 301 patients traités pendant 96 semaines (200 avec le masitinib et 101 avec un placebo), le masitinib, à la dose de 4,5 mg/kg/jour, a significativement ralenti la progression du handicap, mesurée par la durée pour atteindre un score EDSS de 7.0 (Expanded Disability Status Scale) – qui correspond à un handicap suffisamment grave pour que le patient se déplace avec un fauteuil roulant (6). La tolérance au traitement s’est révélée conforme au profil de risque connu du produit.

« Les patients atteints de sclérose en plaques progressive primaire (PPMS) et de sclérose en plaques secondairement progressive non-active (nSPMS) représentent la moitié de la population atteinte de sclérose en plaques. Bien que de nombreuses options thérapeutiques basées sur le ciblage des cellules B et des cellules T du système immunitaire acquis sont disponibles pour les patients atteints des formes rémittentes de la sclérose en plaques, ces traitements ont échoué ou n’ont pas obtenu de résultats concluants dans la PPMS et la nSPMS. Par conséquent, il existe toujours un besoin médical très important dans ces deux indications », explique le professeur Patrick Vermersch, directeur du département de neurologie à l’Université de Lille et coordonnateur de cette étude clinique.

« Les résultats de cette étude constituent une avancée scientifique majeure dans la mesure où c’est la première fois que cette nouvelle stratégie de ciblage du système immunitaire inné, via les mastocytes et la microglie, a significativement ralenti la progression du handicap clinique dans les formes progressives de sclérose en plaques », estime ce spécialiste de la maladie, qui a également été l’un des leaders du développement et de l’enregistrement de l’ocrelizumab (Roche).


Un positionnement unique, un potentiel considérable

Petite molécule de synthèse, le masitinib est un nouvel inhibiteur de kinases sélectif qui cible certaines cellules du système immunitaire – mastocytes et cellules microgliales – et inhibe ainsi l’activation du processus inflammatoire (7). Administré par voie orale, il génère un effet neuroprotecteur et ralentit la neurodégénérescence. Son mode d’action original se distingue de ceux des traitements déjà autorisés contre la sclérose en plaques qui, pour la plupart, ciblent les lymphocytes T (produits utilisés dans la forme rémittente) et les lymphocytes B (ocrelizumab dans les formes progressives), ou stimulent les interférons. Il présente le double intérêt de s’attaquer aux deux formes progressives de la maladie qui souffrent jusqu’ici d’un manque cruel de solutions thérapeutiques et d’autoriser, compte tenu de sa toxicité limitée, des traitements de longue durée (supérieurs à dix ans), nécessaires à la prise en charge de cette maladie chronique.

En raison de son mode d’action unique, le masitinib peut être développé dans un grand nombre de maladies inflammatoires, certaines maladies du système nerveux central, et même en oncologie. Cette annonce sur la SEP marque un deuxième succès majeur pour le programme neurologie d’AB Science. La biotech française a en effet déjà publié des résultats de phase 3 positifs dans la sclérose latérale amyotrophique (SLA), également connue sous le nom de maladie de Charcot (8). Parallèlement, AB Science attend, d’ici la fin du premier trimestre 2020, les résultats de son étude de phase 3 dans la maladie d’Alzheimer, menée sur 720 patients. En juin 2019, une analyse intérimaire, réalisée sur 75 % des patients, a montré que la probabilité de succès de cet essai clinique était supérieure à 80 % pour l’une des deux doses testées (9).

« Ce résultat positif dans les formes progressives de la sclérose en plaques constitue une nouvelle donnée clé qui valide encore davantage le mécanisme d’action du masitinib dans les maladies neurodégénératives (10). Il s’agit en effet de la seconde preuve apportée par le programme de développement du masitinib, après l’étude de phase 2B/3 positive du masitinib dans la SLA (11) », a ainsi souligné le professeur Olivier Hermine, président du comité scientifique d’AB Science et membre de l’Académie des Sciences. « Ces deux études démontrent clairement que le ciblage du système immunitaire inné via les macrophages/la microglie et les mastocytes – mécanisme d’action du masitinib – semble être l’une des stratégies pertinentes pour traiter les troubles dégénératifs ».

Si ces résultats positifs se traduisent prochainement par une autorisation de mise sur le marché, AB Science pourrait prendre une avance décisive dans la course à l’innovation qui caractérise aujourd’hui le marché en pleine effervescence des médicaments contre la sclérose en plaques. Au lendemain de l’annonce d’AB Science, l’action de la biotech française a d’ailleurs bondi de 26 % et a même enregistré une progression de 215 % depuis mi-novembre 2019 (12).


  
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BARONTI BARONTI
07/03/2020 11:54:32
0

Tous le monde sait que les bios c est volatiles....

Sauf toi.........

  
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Jdarry Jdarry
07/03/2020 11:39:58
0

Donc hier, dans la même journée, il avait raison le matin à -6 % et aussi à + 1,5 % en milieu d'am !!!..

  
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BARONTI BARONTI
06/03/2020 19:33:53
0

Je pense que 0PHENIX0 devrait vous donner son avis puisque il a toujours des avis....

Pour moi qui est vu la web conférence et avant de donner mon avis je lis les autres forums....

Ma réponse est seul le cours a raison...

Rv la semaine prochaine.

  
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hmed83 hmed83
06/03/2020 18:13:11
0

qu'est ce que vous retenez de cette conférence?


  
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MCFIVE MCFIVE
06/03/2020 17:27:59
0

TT A FAIT DAC. AVEC TOI HMED

  
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hmed83 hmed83
06/03/2020 16:47:49
0

merci les gars sauf que le dernier paragraphe est très important lol c'est un façon de dire "voila je vous averti je ne suis pas responsable des dégâts qui peuvent survenir, et dites que je n'ai rien dit". à suivre

  
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MCFIVE MCFIVE
06/03/2020 16:24:50
0

JE REMETS 1 LOUCHE

Science : AB Science tiendra une web conférence sur le masitinib dans les formes progressives de la sclérose en plaques le vendredi 6 mars 2020

Envoyer par e-mail

05/03/2020 | 19:26

Paris, 5 mars 2020, 18h30

AB Science tiendra une web conférence sur le masitinib

dans les formes progressives de la sclérose en plaques le vendredi 6 mars 2020

AB Science SA (NYSE Euronext - FR0010557264 - AB) tiendra une web conférence le 6 mars 2020 avec les principaux leaders d’opinion de cette maladie afin de discuter des résultats de l’étude de phase 2B/3 du masitinib publiés le 20 février dernier dans la sclérose en plaques progressive primaire (PPMS) et la sclérose en plaques secondairement progressive non-active (nSPMS), et du rôle du masitinib comme possible traitement dans cette indication.

Cette web conférence sera animée par quatre principaux leaders d’opinion :

Patrick Vermersch, MD, PhD (Université de Lille, France), leader d’opinion européen dans la sclérose en plaques,

Friedemann Paul, MD (Charité-Universitätsmedizin Berlin), leader d’opinion européen dans la sclérose en plaques,

Robert Fox (Centre Mellen pour la Sclérose en Plaques, clinique de Cleveland, Etats-Unis), leader d’opinion américain dans la sclérose en plaques,

Olivier Hermine, MD, PhD (Hôpital Necker, Paris, France), président du comité scientifique d’AB Science et membre de l’Académie des Sciences.

Durant cette web conférence, les principaux leaders d’opinion présenteront :

Les traitements actuels dans les formes progressives de la sclérose en plaques,

Les critères de différenciation du masitinib, qui s’expliquent par son mécanisme d’action qui cible le système immunitaire inné, via les mastocytes et la microglie,

Les résultats de l’étude de phase 2B/3 du masitinib récemment publiés dans les formes progressives de la sclérose en plaques.

Cette présentation sera suivie d’une session de questions/réponses avec les principaux leaders d’opinion et le management d’AB Science.

Le masitinib est un inhibiteur de tyrosine kinase conçu pour cibler les mastocytes et les macrophages de manière sélective, en inhibant les kinases c-Kit, Lyn, Fyn et MCSFR-1, ce qui peut avoir un large champ d’application dans les troubles neurodégénératifs tels que la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la sclérose en plaques et potentiellement la maladie d’Alzheimer. Le 20 février 2020, AB Science a annoncé que son étude de phase 2B/3 du masitinib dans la sclérose en plaques progressive primaire (PPMS) et la sclérose en plaques secondairement progressive non-active (nSPMS) avait atteint son objectif principal à la dose de 4,5 mg/kg/jour (p=0.0256).

Informations sur la web conférence

Date: Vendredi 6 mars 2020. Etats-Unis: 11h30 ET; Europe 17h30 CET

Numéro depuis les Etats-Unis: 1-888-220-8451

Numéro depuis la France: 0 805 101 278

Numéro hors France et Etats-Unis: 1-856-344-9221

Numéro de conférence: 9713787

Lien vers le webcast et le replay disponible ici :

https://viavid.webcasts.com/starthere.jsp?ei=1287098&tp_key=ba20d13f6c

Informations sur la session de questions/réponses

Si vous souhaitez poser une question durant la session de questions/réponses, merci de soumettre votre question par e-mail en suivant le lien vers le webcast.

Biographies des principaux leaders d’opinion

Les leaders d’opinion suivants participeront à la web conférence :

Prof. Friedemann Paul, MD

Le Dr Paul est professeur de neuroimmunologie clinique et chef de la clinique de consultations externes de neuroimmunologie au Centre de Recherche expérimentale et Clinique. Il copréside le Centre de Recherche Clinique et Expérimentale de la Charité sur la sclérose en plaques. Ses principaux domaines de recherche sont les nouvelles techniques d'imagerie dans les troubles auto-immunes du système nerveux central, le système visuel dans les troubles neuro-immunologiques et la fatigue et la cognition dans la sclérose en plaques et les maladies apparentées. Le professeur Paul est l'auteur et le co-auteur de plus de 300 publications dans le domaine de la neuroimmunologie clinique et générale.

Robert J. Fox, MD

Le Dr Fox est neurologue au centre Mellen pour la sclérose en plaques, vice-président de la recherche à l'Institut de neurologie de la clinique de Cleveland et professeur de neurologie au Cleveland Clinic Lerner College of Medicine. Il a obtenu son diplôme de médecine à l’Université Johns Hopkins, une formation en neurologie à l’Université de Pennsylvanie, une maîtrise en recherche clinique de la Case Western Reserve University et une formation postdoctorale sur la sclérose en plaques à la clinique de Cleveland. Les axes de recherche actuels du Dr Fox se concentrent sur les essais cliniques dans la sclérose en plaques, les techniques d'IRM innovantes pour évaluer la régénération tissulaire après une blessure et les effets des traitements dans la sclérose en plaques, ainsi que la prise de décision des patients et leur tolérance au risque. Il a écrit plus de 200 publications revues par de pairs, chapitres de livres et livres. Il sert de conseiller pour de nombreux essais cliniques de phase I, II, III et IV, et notamment auprès de l’investigateur principal de l'essai de phase II SPRINT-MS du produit ibudilast financé par le NIH dans les forms progressives de la sclérose en plaques. En outre, il est directeur général du registre des patients NARCOMS MS, qui suit actuellement plus de 10 000 personnes atteintes de sclérose en plaques. Le Dr Fox est membre de divers comités consultatifs et d’évaluation pour la National MS Society (États-Unis), l’International Progressive MS Alliance, le General Advisory Council for the Cleveland Clinic Clinical Research Unit, le Editorial Board of Neurology and Multiple Sclerosis Journal, et est également consultant dans de l'industrie pharmaceutique.

Patrick Vermersch, MD, PhD

Patrick Vermersch, PhD, a étudié la médecine au CHU de Lille, France, où il a obtenu son diplôme en neurologie. Il a ensuite terminé ses études dans des domaines de recherche plus fondamentaux, principalement en biologie cellulaire entre 1990 et 1994 avec un doctorat axé sur les anomalies biochimiques associées à la maladie d'Alzheimer et à d'autres maladies neurodégénératives. Il a également mené des recherches liées à la caractérisation des anomalies post-transcriptionnelles des protéines Tau. Ses axes de recherche se sont ensuite orientés vers la sclérose en plaques. En 2000, il a créé avec des collègues le premier réseau de sclérose en plaques dans le nord de la France afin d’améliorer les soins et la recherche dans la sclérose en plaques. Le professeur Vermersch fait partie du département de neurologie à l'Université de Lille, qui traite de la sclérose en plaques et d’autres maladies neuroinflammatoires. Les principaux intérêts scientifiques du département sont la neuro-immunologie et les marqueurs de l’évolution de la maladie. En 2019, il est devenu membre du conseil d'administration de la Fondation européenne Charcot.

Le professeur Vermersch est actuellement vice-président de la recherche en biologie et santé à l'Université de Lille. Ses axes de recherche actuels sont les marqueurs pronostiques de la sclérose en plaques et la neuro-immunologie. Il participe à de nombreuses études dans la sclérose en plaques en tant que membre du comité scientifique. Il a écrit environ 400 publications en tant qu'auteur ou co-auteur.

Olivier Hermine, MD, PhD

Olivier Hermine, MD, PhD, est professeur d’hématologie à l’Université Paris V-René Descartes, chef du service d’hématologie adulte de l’hôpital Necker (Paris), membre de l’Académie des Sciences et auteur de plus de 700 publications internationales. Olivier Hermine est également co-fondateur d’AB Science et président de son comité scientifique.

À propos du masitinib

Le masitinib est un nouvel inhibiteur de tyrosine kinase, administré par voie orale, qui cible les mastocytes et les macrophages, cellules essentielles de l’immunité, par l’inhibition d’un nombre limité de kinases. En raison de son mode d’action unique, le masitinib peut être développé dans un grand nombre de pathologies, en oncologie, dans les maladies inflammatoires, et certaines maladies du système nerveux central. En oncologie, par son activité d’immunothérapie, le masitinib peut avoir un effet sur la survie, seul ou en association avec la chimiothérapie. Par son activité sur le mastocyte et les cellules microgliales et donc par son effet inhibiteur sur l’activation du processus inflammatoire, le masitinib peut avoir un effet sur les symptômes associés à certaines pathologies inflammatoires et du système nerveux central.

À propos d'AB Science

Fondée en 2001, AB Science est une société pharmaceutique spécialisée dans la recherche, le développement, et la commercialisation d'inhibiteurs de protéines kinases (IPK), une classe de protéines ciblées dont l'action est déterminante dans la signalisation cellulaire. Nos programmes ne ciblent que des pathologies à fort besoin médical, souvent mortelles avec un faible taux de survie, rares, ou résistantes à une première ligne de traitement.

AB Science a développé en propre un portefeuille de molécule et la molécule phare d'AB Science, le masitinib, a déjà fait l'objet d'un enregistrement en médecine vétérinaire et est développée chez l’homme en oncologie, dans les maladies neurodégénératives et dans les maladies inflammatoires. La Société a son siège à Paris et est cotée sur Euronext Paris (Ticker : AB).

Plus d'informations sur la Société sur le site Internet : www.ab-science.com

Déclarations prospectives – AB Science

Ce communiqué contient des déclarations prospectives. Ces déclarations ne constituent pas des faits historiques. Ces déclarations comprennent des projections et des estimations ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci reposent, des déclarations portant sur des projets, des objectifs, des intentions et des attentes concernant des résultats financiers, des événements, des opérations, des services futurs, le développement de produits et leur potentiel ou les performances futures.

Ces déclarations prospectives peuvent souvent être identifiées par les mots « s'attendre à », « anticiper », « croire », « avoir l'intention de », « estimer » ou « planifier », ainsi que par d'autres termes similaires. Bien qu’AB Science estime que ces déclarations prospectives sont raisonnables, les investisseurs sont alertés sur le fait que ces déclarations prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes, difficilement prévisibles et généralement en dehors du contrôle d’AB Science qui peuvent impliquer que les résultats et événements effectifs réalisés diffèrent significativement de ceux qui sont exprimés, induits ou prévus dans les informations et déclarations prospectives. Ces risques et incertitudes comprennent notamment les incertitudes inhérentes aux développements des produits de la Société, qui pourraient ne pas aboutir, ou à la délivrance par les autorités compétentes des autorisations de mise sur le marché ou plus généralement tous facteurs qui peuvent affecter la capacité de commercialisation des produits développés par AB Science ainsi que ceux qui sont développés ou identifiés dans les documents publics déposés par AB Science auprès de l'AMF, y compris ceux énumérés dans le chapitre 4 « Facteurs de risques » du document de référence d’AB Science enregistré auprès de l'AMF le 22 novembre 2016, sous le numéro R. 16-078. AB Science ne prend aucun engagement de mettre à jour les informations et déclarations prospectives sous réserve de la réglementation applicable notamment les articles 223-1 et suivants du règlement général de l’AMF.

Pour tout renseignement complémentaire, merci de contacter :

AB Science

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