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Le fascisme c'est quand une minorité impose ses volontés à une majorité.
Toute ressemblance avec un régime existant, ayant existé ou appelé à perdurer, est purement fortuite
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Pauvre type!
Message complété le 08/08/2020 18:45:16 par son auteur.
Dubaisan,
Tu es tellement intelligent que tu as été obligé de t'exiler, qui plus est, en Chine (mdr)
Même pas capable de faire ta vie en France.
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Le problème avec les réseaux sociaux, c'est que tous les cons s'érigent en libre penseurs alors qu'ils ne sont pas foutus d'aligner 3 mots correctement. C'est la Daechance … (contraction de Daech et de déchéance).
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Dubaisan,
Raisonnement déviant.
Je crois comprendre que le virus et sa menace mortelle sont utiliser pour détouner notre attention des vraies causes de la crise économique. Cette crise est là depuis plusieurs années (décennies?), ce virus est une aubaine pour faire paaser toutes les mesures qui en temps normal auraient déclencher des conflits sociaux
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Message complété le 08/08/2020 18:13:47 par son auteur.
pour détouRner notre attention
Message complété le 08/08/2020 18:17:28 par son auteur.
aubaine pour faire paSser
Message complété le 08/08/2020 18:21:43 par son auteur.
Y'en a assez de tout ces faux nez nazis qui écument les réseaux sociaux.Le pire c'est qu'ils sont tellement imbus de leur personne, qu'ils nous croit dupes de leurs manipulations grossières.
Message complété le 08/08/2020 18:28:55 par son auteur.
Faire dire autre chose , détourner, voire bayonner les dires ou écrits libres, est une methode éculée des fascites depuis la nuit des temps
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Si tu fais passer l'économie avant la vie, alors tu n'as rien compris à la vie.
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Opposer la vie est la mort dans une réduction aussi simpliste.
Bien tenté Schopenhauer ;)
Message complété le 08/08/2020 17:48:06 par son auteur.
Le problème c'est le système économique. Le virus n'est qu'un catalyseur.
C'est ce que j'essayais de dire
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Le virus s'attaque à la vie; Le reste ne sont que des problèmes de fric qui peuvent se résoudre facilement tant qu'on est pas mort.
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Peut être Dubaisan parce que le problème n'est pas le covid ? Et qu'aborder le sujet sous cet angle est mauvais ?
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Ce qui est inquiétant , c'est qu'il n'y a rien, aucun plan pour juguler cette épidémie.
Quand on ne s'attaque pas aux bonnes causes, on ne risque pas de trouver les bonnes solutions.
L'économie ne redémarrera pas tant que cette épidémie poursuivra son expansion et que les Etats dits "libéraux" ne prendront pas des mesures fortes pour la stopper.
Et tel que c'est parti, il va y en avoir pour des années à s'en remettre.
Au moins en Asie, ils ont tous compris….et là ça fonctionnera, au ralenti certes, mais ça fonctionnera.
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Ce qui est inquiétant, c'est que l'on va de plan de sauvetage en plan de sauvetage sans pour autant que l'économie aille mieux.Sera-t-on obligé de passer par un vrai crack pour que l'économie redémarre sur des bases plus saines?
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Donald Trump a affirmé vendredi soir être prêt à signer des décrets "d'ici la fin de la semaine" pour venir en aide aux millions d'Américains menacés d'expulsion et frappés par le chômage à cause de la pandémie, faute d'accord au Congrès.
La Maison Blanche et les démocrates du Congrès sont engagés depuis deux semaines dans des négociations pour parvenir à un nouveau gigantesque plan de soutien à l'économie.
A moins de trois mois de l'élection présidentielle, ces discussions n'ont jusqu'ici rien donné. Or un accord est nécessaire puisque les démocrates contrôlent la Chambre des représentants et les républicains le Sénat.
"Si les démocrates continuent de tenir ce soutien crucial en otage, j'agirai par mon autorité de président pour donner aux Américains le soutien dont ils ont besoin", a déclaré Donald Trump, lors d'une conférence de presse convoquée à la hâte dans la soirée à son golf de Bedminster, dans le New Jersey.
Après une nouvelle réunion infructueuse vendredi, ses conseillers avaient indiqué que des premiers décrets pourraient être adoptés dès "ce week-end" mais le président républicain n'a pas donné de date précise et a indiqué que les discussions se poursuivraient.
"Cela pourrait arriver d'ici la fin de la semaine, ils sont en train d'être rédigés par les avocats en ce moment", a-t-il déclaré. "Mon administration continue de travailler de bonne foi pour parvenir à un accord avec les démocrates du Congrès".
- "Faibles et insuffisants" -
Les décrets envisagés portent sur quatre grands points:
- Des coupes dans les charges salariales, qui s'appliqueraient "jusqu'à la fin de l'année et seraient rétroactives jusqu'au 1er juillet", a expliqué Donald Trump.
- Une allocation chômage prolongée "jusqu'à la fin de l'année" mais dont il n'a pas précisé le montant.
- Un prolongement du moratoire sur les expulsions de locataires.
- Une suspension du remboursement des emprunts étudiants.
"Cela serait bien de le faire avec les démocrates mais ils sont juste intéressés par une chose: protéger ceux qui ont mal géré des villes et Etats" démocrates, a affirmé le président républicain, en référence à l'aide qu'exige l'opposition pour les Etats et collectivités locales, démocrates comme républicains, en première ligne dans la réponse au Covid-19 dans ce pays fédéral.
Les décrets, "faibles et insuffisants", ne feront que reporter les paiements et ne seront donc "pas efficaces", avait mis en garde plus tôt le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer.
Toutes les parties se sont toutefois montrées prêtes vendredi à poursuivre les négociations.
Les démocrates avaient proposé dès le mois de mai des mesures à hauteur de 3.000 milliards de dollars, face à 1.000 milliards côté républicain.
- "Perdre son élan" -
"En l'absence d'aide budgétaire supplémentaire, l'économie dans son ensemble risque de perdre son élan", ont averti les analystes d'Oxford Economics.
Car les milliards de dollars distribués depuis le mois de mars ont permis à des entreprises de continuer à payer les salaires, ou à des ménages de continuer à consommer, évitant à des commerces de mettre la clé sous la porte.
Le plan titanesque de 2.200 milliards de dollars adopté fin mars incluait un moratoire pour empêcher les expulsions, et une aide de 600 dollars par semaine pour les chômeurs, en plus de celles allouées par les Etats.
Ces mesures sont arrivées à terme fin juillet. La prolongation de cette aide, qui a empêché des millions de foyers de tomber dans la pauvreté, ne fait pas débat.
Mais le montant de l'allocation chômage est l'un des grands points de désaccord: les républicains proposent de l'abaisser à 200 dollars, la Maison Blanche négocie 400 dollars, et les démocrates veulent conserver 600 dollars.
Le taux de chômage a continué à reculer en juillet, à 10,2% contre 11,1% en juin. Il est désormais bien loin des 14,7% du mois d'avril, mais toujours très supérieur aux 3,5% de février.
Les licenciements de mars et avril ont été si massifs que les emplois créés depuis mai laissent encore des dizaines de millions d'Américains sans travail.
Et le redressement de la première économie du monde, parti tambour battant à la fin du printemps à la faveur d'un assouplissement des mesures de confinement, a pris du plomb dans l'aile dès juin, lorsque le virus est reparti de plus belle dans une large partie du pays.
Résultat, l'économie américaine a créé 1,8 million d'emplois en juillet, un rythme très ralenti par rapport aux 4,8 millions de créations enregistrées en juin.
© 2020 AFP
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