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Imerys - (Infos; Recos) - Page 2

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Ptitchat72 Ptitchat72
24/02/2022 17:46:40
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le 24/02/22 16:36
(CercleFinance.com) - Berenberg a renouvelé jeudi sa recommandation d'achat sur le titre Imerys, qu'il assortit d'un objectif de cours de 51 euros, suite à une rencontre avec l'équipe de direction du spécialiste français des minéraux.

'Le ton du management a été dans l'ensemble positif, avec la mention d'une demande solide sur les principaux marchés finaux du groupe', souligne l'intermédiaire allemand dans une note envoyée à ses clients.
'A l'exception notable du secteur de l'automobile, la direction est confiante dans sa capacité à répercuter ses hausses de coûts en 2022, tout en maintenant ses dépenses sous contrôle', ajoute-t-il.

  
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fipuaa fipuaa
20/02/2022 15:13:41
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20/02/2022 15:13:19
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Ptitchat72 Ptitchat72
16/02/2022 21:07:31
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16/02/2022 | 19:48
Paris (awp/afp) - Le groupe de minéraux industriels Imerys est resté très prudent mercredi sur la possibilité d'extraire rapidement du lithium de son gisement de kaolin de Beauvoir (Allier).

"Nous avons un projet en phase exploratoire minière et technique, et en 2022 nous avons l'intention de travailler sur le projet pour voir s'il peut avoir un sens économique et environnemental", a indiqué Sebastien Rouge, le directeur financier du groupe lors de la présentation des résultats d'Imerys pour 2021, en forte hausse, au cours d'une conférence téléphonique.
"Mais il n'y aura pas d'activité commerciale du lithium en 2022 (...) nous devons d'abord valider scientifiquement la présence et la quantité de lithium dans le gisement de kaolin", a-t-il ajouté.


Le groupe a reçu en 2021 "quelques centaines de milliers d'euros" de subventions publiques issues du plan France Relance, pour soutenir l'exploration de ce potentiel gisement.

"Ce gisement est connu depuis les années 70, s'il avait été facile et simple, le projet aurait été de l'avant", a commenté une source à l'intérieur du groupe.


Le lithium est un des composants les plus recherchés dans le monde actuellement pour la fabrication des batteries électriques automobiles, et son cours explose sur le marché mondial.


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RESULTAT :

- Imerys a annoncé mercredi un résultat net qui a été multiplié par huit en 2021, à 240 millions d'euros contre 30 millions d'euros l'an passé.
- Son chiffre d'affaires a progressé de 15,4% à 4,38 milliards d'euros, et le résultat d'exploitation courant a fait un bond de 51,5% à 452 millions d'euros.
- Le conseil d'administration a proposé un dividende de 1,55 euro par action, en hausse de 35% par rapport à celui de l'année précédente.
- Avec un excédent brut d'exploitation Ebitda de 761 millions d'euros l'an passé, le groupe a dépassé ses prévisions.
En novembre, il avait annoncé viser un excédent brut d'exploitation (Ebitda) courant compris entre 735 et 755 millions d'euros en 2021, soit une "amélioration significative" par rapport aux 631 millions d'euros enregistrés en 2020.

"Imerys a enregistré de solides résultats trimestriels au quatrième trimestre, marqué par une dynamique positive sur la plupart de nos marchés et une performance commerciale robuste" en dépit "de fortes contraintes logistiques et d'approvisionnement dans un contexte d'inflation record de nos coûts", a indiqué le directeur général du groupe Alessandro Dazza, cité dans le communiqué.
Pour 2022, le groupe table sur "le maintien d'une demande soutenue pour les solutions minérales de spécialité du groupe", a-t-il ajouté.


Confronté à une moindre acceptabilité des projets de carrières, le producteur de minéraux industriels Imerys se projette dans "l'après-mines". Il a lancé en 2021 la construction d'une extension de son centre de recherche lyonnais consacrée aux minéraux synthétiques.


Communiqué complet (16 pages) :

https://www.imerys.com/sites/imerys.com/files/2022/02/16/Imerys-communique-de-presse-resultats-annuels-17-fevrier-2022.pdf

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
26/01/2022 13:08:08
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rumeur de cession d'une activité très cyclique et qui sert des industries polluantes

le 26/01/22 à 11:58
Selon Bloomberg, l’entreprise qui extrait des minéraux industriels chercherait à se séparer de son activité de « solutions de haute température », qui servent à la protection des fourneaux industriels, des creusets ou des incinérateurs, utilisés par les sidérurgistes ou les cimentiers.

Le groupe, qui fournit aussi la construction et les aciéristes, travaillerait avec ses banquiers conseil (Morgan Stanley et Rothschild) pour évaluer l'intérêt de la part de sociétés industrielles ou de fonds de private equity pour sa filiale Calderys. Un montant de 900 millions d’euros est évoqué. Cette activité représente 20% des ventes d’Imerys.

« La division ‘solutions de haute température’ fournit des réfractaires monolithiques silico-alumineux », explique-t-on au sein du bureau d’analyses de la banque privée Oddo BHF, dans une note intitulée « Une solution (de haute température) pour lancer la rotation du portefeuille ». « Cette entité, est issue de la fusion entre Lafarge Réfractaire Monolithiques et Plibrico début 2005. Les réfractaires monolithiques comprennent des matériaux non formés (projetables) ou des formes préfabriquées pour les industriels dans le but de protéger fours, fourneaux industriels, creusets et incinérateurs des hautes températures. Ces industriels comprennent la sidérurgie, la fonderie, l’aluminium, le ciment, la production d'énergie, pétrochimie, construction et réparation de fours industriels. »

« Réveiller la belle endormie »
Pour les analystes Sven Edelfelt et Virginie Rousseau, cette rumeur, propre à « réveiller la belle endormie », est tout à fait cohérente avec la stratégie de l’entreprise et de son actionnaire de référence GBL. « Cette rumeur constitue la première étape d’un recentrage vers des activités moins cycliques pour mieux repositionner le groupe vers des métiers proches de la consommation courante et/ou pharmaceutiques. De plus, les activités réfractaires servent des industries moins ESG compatibles que d’autres segments du groupe. » Les industriels utilisent des fours réfractaires pour des activités polluantes comme l’acier, le ciment.

Oddo BHF recommande l'achat d'Imerys en Bourse, pour viser un objectif de cours de 50 euros.

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le 03/12/21 07:08
(CercleFinance.com) - Imerys annonce avoir signé un accord pour céder ses actifs de graphite naturel jugés non stratégiques à Northern Graphite Corporation, pour un montant d'environ 40 millions d'euros, accord qui devrait être finalisé dans les prochaines semaines.
Les actifs en question, à savoir sa mine et son usine de graphite naturel mise sous cocon en Namibie, ainsi que sa mine de graphite naturel au Lac des Iles (Canada), génèrent un chiffre d'affaires annuel d'environ 15 millions d'euros avec 50 salariés.

Imerys continuera toutefois, après cette transaction, à développer sa production de graphite naturel transformé à haute valeur ajoutée, principalement destiné aux polymères et aux applications industrielles à Terrebonne au Canada.

  
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fipuaa fipuaa
03/11/2021 09:27:19
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fipuaa fipuaa
03/11/2021 09:26:52
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a

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
02/11/2021 18:56:24
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O_O

On peut pas dire qu'elle ne respecte pas ses fibos

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
02/11/2021 18:29:33
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En attendant, encore et toujours, le procès sur le Talc aux Us (repoussé au 1er trimestre 2022 mini)

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02/11/2021 | 18:16
PARIS (Agefi-Dow Jones)--Même si Imerys profite toujours de la vigueur de la reprise économique, le groupe de minéraux doit jouer depuis ces dernières semaines contre la hausse de ses coûts de production, provoquée notamment par l'envolée des prix de l'énergie. "Il était impossible de se préparer à une telle amplitude", reconnait Alessandro Dazza, le directeur général d'Imerys dans un entretien accordé à l'agence Agefi-Dow Jones. Des discussions ont été engagées avec les clients pour répercuter la hausse des prix de l'énergie sur le prix de nos produits "mais ce rattrapage va prendre du temps", ajoute le dirigeant.

Au troisième trimestre, le mix prix du groupe a permis d'apporter 3,6 points de croissance au chiffre d'affaires. L'effet volume s'élève à 15%, pour une croissance chiffre d'affaires en données organiques de 18,6%, à 1,1 milliard d'euros. L'Ebitda (excédent brut d'exploitation) courant a atteint 194 millions d'euros, en hausse de 17,7 %, soit une marge de 17,5%, contre près de 20% au deuxième trimestre. Les coûts variables ont augmenté de 32 millions d'euros, conséquence de la hausse des des prix du fret, des matières premières, de l'énergie et des emballages.

Dans les conditions actuelles de marché, Imerys vise pour 2021 un Ebitda courant compris entre 735 et 755 millions d'euros en 2021, soit une amélioration significative par rapport aux 631 millions d'euros enregistrés en 2020.

Agefi-Dow Jones : Ce troisième trimestre est-il celui du retour à la normale pour Imerys ?
Alessandro Dazza : "Le deuxième trimestre 2021 avait connu une très forte reprise de l'activité (+30%), en comparaison à un printemps 2020 marqué par le premier confinement. Depuis, le rythme a eu tendance à se normaliser mais la croissance reste très forte (+18,6%), avec plus d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires au troisième trimestre et une profitabilité en amélioration. Cette croissance est portée par nos grands marchés, comme la construction, qui représente environ un tiers de notre chiffre d'affaires. Après la très forte reprise post-confinement, le secteur se tient bien. Les produits de grande consommation redémarrent tout comme, dans une moindre mesure, les minéraux pour la papeterie. En revanche, dans l'automobile, industrie pour laquelle nous fournissons par exemple des minéraux pour les peintures ou les plastiques, il y a une très forte baisse de la demande. Toute la filière souffre des pénuries, notamment de composants électroniques, et nous pensons que cela va durer en 2022."

Agefi-Dow Jones : Comment Imerys s'adapte-t-il à cette chute de la production automobile ?
AD : "Nous avons augmenté nos stocks, à la demande de nos clients, pour pouvoir répondre le moment venu au redémarrage de leurs cadences. Nous avons également réduit la production de certains produits spécifiques. Cela a peu d'impact sur notre marge et il est largement compensé par la progression de l'activité dans les autres métiers. L'automobile reste un secteur prioritaire pour Imerys. Nous produisons deux éléments essentiels pour les batteries électriques, le graphite synthétique et le noir de carbone, qui permettent à l'énergie de circuler dans la batterie. Ce marché est promis à un fort développement au cours des dix prochaines années. Nous avons investi une centaine de millions d'euros cette année pour doubler notre capacité de production. Nous poursuivrons ces investissements en 2022 pour répondre à la croissance à deux chiffres de la demande."

Agefi-Dow Jones : Imerys souffre-t-il lui aussi de pénuries ?
AD : "Non, car la très grande majorité de nos matières premières vient de nos propres mines. En revanche, nous sommes confrontés à de fortes tensions logistiques. C'est une bataille de tous les jours pour trouver des containers ou des camions, débloquer des marchandises, gérer les retards... Compte tenu des tensions habituelles de fin d'année et du nouvel an chinois, nous ne voyons pas s'éteindre ce phénomène inédit avant la fin du premier trimestre 2022."

Agefi-Dow Jones : Les prix de l'énergie ont explosé ces derniers mois. Quelles sont les conséquences pour Imerys ?
AD : "Cette envolée soudaine a des conséquences pour l'industrie mondiale, et pour nous aussi, car il était impossible de se préparer à une telle amplitude. Il est possible de négocier sur des approvisionnements en matières premières mais sur l'énergie il y a peu de levier. L'impact est donc immédiat dans les comptes. Nous discutons avec nos grands clients pour répercuter la hausse des prix de l'énergie sur le prix de nos produits. Ils comprennent. Mais ce rattrapage va prendre du temps."

Agefi-Dow Jones : Vous avez pris la direction générale d'Imerys en février 2020, alors que la crise du Covid grondait, et après avoir quitté le groupe entre 2018 et 2020. Comment percevez-vous le groupe aujourd'hui après le plan de transformation engagé pendant votre absence ?
AD : "Ce plan était difficile mais nécessaire. Je suis très satisfait de l'organisation actuelle. La croissance que nous enregistrons depuis la fin 2020, supérieure à celle de nos comparables, démontre son efficacité. Notre portefeuille d'actifs est bien équilibré. Et même si nous sommes toujours attentifs à une évolution possible, nous ne voyons pas dans l'immédiat d'activité à céder."

Agefi-Dow Jones : Pourriez-vous le renforcer avec des acquisitions ?
AD : "En prenant en compte l'émission d'obligations durables de 300 millions d'euros réalisée en mai 2021, nous disposons de près de 2 milliards d'euros de liquidités. Cela nous donne les moyens de faire des acquisitions si nécessaires, comme Imerys l'a toujours fait dans le passé. Mais nous resterons prudents. Les valorisations ont tendance à fortement progresser, notamment sous l'effet de l'intérêt grandissant des fonds de private equity."

Agefi-Dow Jones : La crise récente a montré tout l'enjeu de l'accès aux matériaux. Comment Imerys sécurise-t-il ses approvisionnements ?
AD : "La course mondiale aux minerais ne s'est jamais arrêtée et il faut sans cesse anticiper les besoins. Notre portefeuille minier actuel nous offre une visibilité sur une dizaine d'années. C'est une bonne assurance pour le futur. Ceci étant, les ressources ne sont pas inépuisables. Nous devons travailler à les utiliser de la façon la plus optimale possible et à les réutiliser lorsque le recyclage est techniquement possible. Cela demande des investissements de R&D, une évolution de la demande de nos clients mais aussi de certaines réglementations. Cela fait partie de nos engagements environnementaux dont l'objectif principal vise à diminuer de 36% nos émissions de gaz à effet de serre relatives au chiffre d'affaires sur 10 ans. Nous sommes bien avancés et nous pourrions probablement dépasser cet objectif. Nous ferons un premier bilan dans les prochains mois. Ces investissements environnementaux ne sont pas engagés sur une simple logique de calcul financier, car ils ne sont pas nécessairement rentables rapidement, mais simplement parce que c'est la bonne chose à faire. De plus, je suis persuadé qu'à terme cela deviendra un véritable avantage compétitif".

  
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