Bassines: premiers affrontements entre manifestants et forces de l'ord
Cours temps réel: 8 065,15 -0,29%| Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
Il faut leur interdire toute la France rurale. Qu'ils restent à Paris, le Bois de Boulogne leur convient parfaitement.
|
Répondre
|
Dans le Lot et Garonne vous serez mal reçu...
Dans le Tarn et Garonne ça serait pire.!.
|
Répondre
|
Regardez moi ça comme c'est bô !
Des " manifestants" , cagoulés, masqués et avec des sacs a dos mystérieux... qui piétinement des champs (propriété privé au passage...) ...
Allez Zou ! La légion !....
|
Répondre
|
Au départ, ils ont arrêté les écolos et les gauchos :
je m'en foutais, j'étais ni l'un ni l'autre.
Puis ils ont ostracisé les "non-Vax" : j'étais docile et triple injecté.
Puis ils ont arrêté les réinformateurs : men foutais, j'étais pas sur les réseaux.
Puis ils m'ont arrêté...
|
Répondre
|
Ça y est presque. Oui presque UN MORT dans les affrontements ; les opposants à tout devraient se réjouir de prouver au monde entier que les forces de l’ordre sont vraiment des « tueurs ».
Seul petit bémol c’est que dans les deux cas de pronostics vitaux engagés il y a… un CRS. Et si c’était lui notre mort ?
Mais là on ne s’offusquerait pas, on n’en ferait pas grand cas ; les « flics » comme certains le clament haut et fort « faut les tuer ».
Il est stupéfiant de constater qu’un grand nombre de gens interrogés n’approuvent pas les violences mais… les comprennent. Finesse de la dialectique. Mais quand on comprend, on ne réprouve pas ; quand on ne réprouve pas on admet ; quand on admet on approuve et quand on approuve on appelle la violence.
Continuons comme ça et on les aura nos morts.
Pendant ce temps le Conseil Constitutionnel se réunit et « réfléchit » sous la houlette de monsieur Fabius qui paraît-il n’est pas un fan du président Macron. Du coup ayant un mois pour se prononcer pourquoi se priver de le taquiner un peu tout en restant douillettement sous les feux de la rampe journalistique ?
Résumons :
La retraite à 64 ans ? C’est non
Les éoliennes dans mon paysage ? C’est non
La ligne TGV près de chez moi ? C’est non
L’enfouissement des déchets nucléaires sur ma commune ? C’est non
Les mégabassines ? C’est non
La création de barrages hydrauliques ? C’est non
Un nouveau tracé de rocades ou d’autoroutes ? C’est non
L’extraction de lithium pour les batteries ? C’est non
La fracturation hydraulique ? C’est non
Mais nous ne sommes pas que négatifs car :
La retraite à 60 ans ? C’est oui
La semaine de 4 jours ? C’est oui
Le carburant et l’énergie subventionnés ? C’est oui
La suppression de la taxe d’habitation ? C’est oui.
Vous savez que l’Etat émet des OAT en rafale pour se financer ? J’m’en fout de toute façon je sais pas ce que c’est.
|
Répondre
|
31gol
« « Quand tu vois ces co nards à la télé, de suite, tu as envie de les nourrir avec de la terre asséchée . » »
Bonne idée.
Dans les régions d’extraction de minerais (fer, houille, autres,) les stériles sont stockés en énormes monts (terrils, haldes..) .
Pour leur faire comprendre les « méfaits » de l’agriculture , on pourrait leur faire bouffer ces stériles.
Pas tous les stériles , car certains sont classés monuments historiques.
|
Répondre
|
|
Répondre
|
|
Répondre
|
De premiers affrontements ont éclaté samedi entre manifestants et forces de l'ordre autour d'une réserve d'eau contestée en construction à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), où des milliers de personnes se sont mobilisées malgré l'interdiction du rassemblement.
Un long cortège avait commencé à défiler en fin de matinée, composé d'au moins 6.000 personnes selon la préfecture, "probablement un peu plus", et d'environ 25.000 selon les organisateurs - le collectif d'associations "Bassines non merci", le mouvement écologiste des Soulèvements de la Terre et la Confédération paysanne.
Plus de 3.000 gendarmes et policiers ont été mobilisés par les autorités, alors qu'"au moins un millier" d'activistes violents, "prêts à en découdre avec les forces de l'ordre", participent au rassemblement.
La manifestation, interdite comme la dernière qui avait donné lieu à des affrontements à l'automne, a convergé vers la "bassine" de Sainte-Soline, surnom donné par leurs adversaires à des réserves d'eau en construction dans la région pour l'irrigation agricole.
"Le but, c'est d'approcher et d'encercler la bassine pour faire stopper le chantier", a affirmé un membre des Soulèvements de la Terre au départ du cortège qui s'est ensuite scindé en plusieurs groupes à cette fin.
A l'approche du chantier, les affrontements ont éclaté rapidement entre forces de l'ordre et militants radicaux, avec des jets de projectiles et des tirs de mortier auxquels policiers et gendarmes ont riposté avec des gaz lacrymogènes et le canon à eau, selon des journalistes de l'AFP.
© 2023 AFP
|
Répondre
|
